admin

La soumission d'Anne -2-Nos voitures sont côte à côte. Coup de chance en cette jolie fin de mâtiné car les premiers touristes sont là. Anne cherche ses clefs dans son sac. Le sac des dames, une énigme pour les hommes car aussi petit soit-il, et c'était le cas, il semble toujours rempli comme une malle au trésor où trouver la moindre chose relève d'un exploit d'archéologue... Le précieux sésame trouvé, elle tente d'actionner le plip qui lui échappe des mains, rendues légèrement tremblantes par son trouble toujours présent. Ma présence juste derrière elle n'est sans doute pas étrangère à sa maladresse. Elle me regarde par dessus son épaule, attendant une directive. Elle est déjà dans son rôle. -Tu peux les ramasser. Elle commence à s'accroupir mais je l'arrête dans son geste.-Pas comme ça. Garde tes jambes tendues et ne plie pas les genoux.Elle s'exécute, écartant un peu ses jambes, relevant sa jupe à mi-cuisse et tend ses fesses moulées par le fin tissus vers le trottoir où une famille de touristes d'un horizon inconnu s'extasiait en regardant les colombages des maisons environnantes. Comme par un aimant attiré, le regard du père se posa sur la croupe tendue et se figea ainsi quelques secondes. Son peu discret intérêt eut pour effet de déclencher un coup de coude rageur de sa matrone mafflue, aux chaussures de sport mal assorties à un short informe et à un t-shirt bon marché. Anne se retourna et planta ses yeux sur le couple, sure de l'effet produit. Le boîtier récupéré, elle entreprit d'ouvrir la portière et de s'installer. D'un geste rapide de mon pied, je lui bloquais la jambe, l'obligeant à ouvrir ses cuisses et à révéler son buisson à tous. Le brave touriste avait beau essayer de regarder ailleurs, son regard en coin ne pouvait pas ignorer ce sexe qui s'offrait à lui. Il revivait « la » scène de Basic instinct en direct. Son meilleur souvenir de Bretagne et ce malgré les invectives de maman qui n'avait pas lâché le morceau.-Tu vas me suivre, on en a pour dix minutes à peine.-Oui Monsieur.Sa réponse est à peine audible mais son regard parle pour elle.Notre petit convoi s'engage sur les petites routes bordées de talus herbeux, croisant ici et là quelques marcheurs. S'ils avaient su que ce qu'ils prenaient pour un petit road-trip bucolique était un voyage vers la perversion, ils ne nous auraient sans doute pas salués.Anne suivait, l'esprit encombré, son imagination travaillant à plein régime. Elle suivait un inconnu, dans la campagne profonde, vers un endroit où il aurait tous pouvoirs sur elle. Cette idée l'effrayait kadıköy escort autant qu'elle l?excitait. Les sensation dans son bas ventre était un signe. Malgré elle, elle glissa sa main vers son sexe qu'elle trouva libre de toute entrave. Elle se souvint de son string laissé sur cette table bistrot et senti un pincement mêlé de honte et de plaisir. Ses doigts effleurèrent d'abord la douce toison qu'ils écartèrent sans effort pour trouver le bord déjà humides de ses grandes lèvres. La progression vers son clitoris tendu ne fut qu'une formalité. Ses petites lèvres carrément mouillées ne demandant qu'a s'ouvrir à sa caresse. Elle retira d'un coup sa main, comme si elle était prise en faute par la surveillante du dortoir de la pension catholique où, adolescente, elle avait passé quelques années. Le souvenir de la découverte du plaisir interdit la troubla davantage et elle se concentra sur les feux stop de ma voiture. Nous étions arrivés et elle n'avait pas vu la route.Nos véhicules parqués à l'entrée de la ferme, elle prit quelques instants pour se remettre un trait de rouge à lèvres. Ce n'était pas utile mais cela lui faisait gagner quelques secondes avant de fouler le gravier et de passer le portail, ce point de non retour, qui venait de claquer sur ses talons, faisant d'elle une proie sans défense. Elle ne m'entendait pas, ne voyait que la porte qui s'approchait dans le crissement caractéristique du gravier qui roulait sous ses sandales.J'ouvris la porte et repoussais les chiens qui me faisaient la fête comme si j'avais disparu des jours durant.-Je t'en prie, donne toi la peine d'entrer.Je m'efface pour la laisser passer. On n'oublie pas facilement des années d'éducation stricte.Comme souvent dans les longères, on entre directement dans la pièce à vivre. Chez nous, c'est le salon. La pièce est grande, c'était, il y a des années, l'étable. C'est maintenant une grande pièce où sur trois murs se trouvent des bibliothèques dont les innombrables ouvrages vont du sol au plafond.Un ensemble de fauteuils et un canapé « Stressless » entourent une grande table basse en bois, ramenée d'un voyage en Asie . Les fauteuils « Stressles » ont la particularité de pouvoir s'articuler à la manière d'un relax, offrants de nombreuses positions de repos, mais pas que... Anne est entrée. A quelques mètres, se trouve Angela, mon épouse et ma soumise en titre. Elle est grande, fine et blonde. Elle porte une simple robe d'été bleu marine üsküdar escort s 'arrêtant au dessus des genoux et une paire de tongs. C'est tout. Je sais qu'elle ne porte pas de sous vêtements, elle en a l'interdiction. Peu de bijoux, une bague de fiançailles et une alliance. A sa cheville gauche, une chaînette de petites billes d'or avec une médaille. Sur cette médaille, son prénom et mon n° de téléphone. Elle est mienne. La fermeture est sertie et elle ne peut l?ôter.Les deux femmes sont face à face.Quelques secondes se passent. Comme dans une mauvais western, elles se jaugent, se scrutent, se détaillent. Elles analysent les vêtements, la coiffure, le poids, la poitrine, tel un maquignon jugeant une bête au marché.Je ne dis rien. Toute parole viendrait gâcher cet instant de plaisir.Chacune veut dès à présent prendre le dessus, mais hélas pour Anne, les dès sont pipés. Elle n'aura pas le loisir de prendre la place de favorite. Elle est en bas de la chaîne alimentaire. Comme si elle en prenait conscience d'un coup, elle s'avance la main tendue vers celle à qui elle devra soumission.-Bonjour, je suis Anne-Je suis Angela.Leurs mains restent jointes plus longtemps que nécessaire. J'interromps cette joute en leurs demandant de s?asseoir.-Anne, tu sais pourquoi tu es là ?-Oui, Monsieur.-Regarde sur la table.Sur la table basse se trouvent deux chose. Une feuille de papier et un stylo ainsi qu'un collier de chien à double rangé de mailles métalliques muni d'une médaille et d'un petit cadenas.-Ce document est ton contrat de soumission. Tu vas le lire attentivement et le signer. Si tu n'es pas d'accord, nos routes s'arrêtent là.Elle se saisi du document, un contrat classique d'une vingtaine de lignes. Angela et moi l'observons détailler chaque commandement, et imaginer ses implications. Sans doute est-elle en deçà de la vérité mais qu'importe. -Monsieur qu'est-ce donc que le « safe word » ?-C'est un mot qui permet de stopper une action pour des raisons de sécurité. Il ne devra pas être employé à la légère car tu devras en justifier l'usage. Donne moi un chiffre entre 5 et 20.-12Très bien. Ce sera ton mot de sécurité. Ce sera aussi le nombre de coup de cravache en cas de punition. Comme tu devras compter, lorsque tu diras 12, la punition cessera. Est-ce clair ?Elle a du mal à avaler, son trouble est palpable et ses joues se parent d'un rose qui en dit long sur ses pensées. Elle regarde tour à tour la simple feuille de papier si lourde d'engagement, Angela, moi, les livres, faisant tuzla escort tourner le stylo entre ses doigts. Puis elle se penche sur la table base, permettant à son chemisier d'offrir à ma vue le sillon de ses seins emprisonnés dans leur gangue de dentelle, remplit les cases vides et signe, cette fois sans nous regarder, puis pose le stylo en gardant les yeux baissés.-Tu as signé librement. A partir de cet instant, tu m'appartiens. Tu me dois obéissance ainsi qu'à Angela que tu appelleras Madame. C'est clair ?-Oui Monsieur.Je laisse un instant de silence pour que sa réponse prenne toute sa valeur. Je récupère le contrat que je range dans un tiroir.-Maintenant, lève toi et reste debout face à nous.Elle obéit sans tarder. C'est vrai que l'ordre est simple et peu contraignant. Elle est là, debout devant nous, les mains derrière le dos, les jambes serrées. On la sent gênée, ne sachant pas trop comment se comporter. L'ambiance à changée d'un coup. Angela l'observe, la scrute devrais-je dire, sans compassion. Anne reste là, de plus en plus mal à l'aise, sous nos regards d?entomologistes.-déshabille toi.Elle enlève sa veste qu'elle pose délicatement sur un dossier.-Tout. Enlève tout.Elle défait un à un les boutons de son chemisier, puis le range avec sa veste. Elle marque un temps puis enlève son soutien-gorge pour libérer ses seins, qui pour ne pas très gros, n'en sont pas moins arrogants.Elle hésite. Seules restent sa jupe et ses sandales à talon.Elle fait descendre le zip de sa jupe qui tombe en tas à ses pieds, révélant son joli triangle qu'elle s'empresse de masquer en croisant ses mains devant.-Les bras le long du corps.C'est Angela qui a parlé, devançant mes paroles. En bonne soumise elle sait l'attitude à avoir devant son maître. Anne rougit mais obéit.-Croise tes mains derrière la tête .Elle ferme les yeux, place ses mains comme demandé, faisant remonter ses seins aux aréoles foncées dont les pointes sont maintenant tendues. Elle a un frisson mais ce n'est à cause de la température...Je me lève, saisi le collier et m'approche. Je sens son parfum, j'entends son souffle court qui fait légèrement bouger sa poitrine. Le collier froid que je lui passe autour du cou la fait sursauter un instant. Elle sait que le claquement du cadenas vient de sceller son sort.Ce simple geste déclenche une vague d'ondes dans son ventre et dans son sexe.Elle, fille d'officier de la Royale, fille d'une mère médecin, élevée chez les s?urs, ayant fait de brillantes études supérieures, se retrouve nue, seulement vêtue d'un collier de chien et de fines sandales qui laissent apparaître ses orteils aux ongles vernis de noir, devant deux étrangers qui vont abuser de son corps sans retenue. Cette image la transporte et elle sent couler dans son ventre une douce chaleur humide. A cet instant, elle se sent chienne et prête à tout pour son plaisir. Elle attend sans broncher la suite. Vite.