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Alt 06-29-2021, 10:17 PM   #1
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Standart prof d'equitation - 2

prof d'equitation - 2Le lendemain matin, Jean est arrivé au club vers 6h45, les traits tirés par ce réveil matinal. Sylvie était déjà en train de s'occuper des deux montures, sa jument à la robe presque noire, et un cheval bai brun. Jean a constaté qu'il s'agissait d'un entier et non d'un hongre.- Bonjour Sylvie.- Oh, Jean, tu es déjà là. Viens que je te fasse la bise. Les chevaux sont presque prêts et nous n'attendions plus que toi.Elle a déposé un baiser sur sa joue, à la limite des lèvres, puis, toute souriante, a sauté sur le dos du cheval prénommé Jolicoeur. - Allez, viens ! Mets ta bombe et monte sur Ardente. J'ai besoin de me dégourdir les jambes.- D'accord, je me dépêche. A répondu Jean.Quelques instants plus tard, il était lui aussi en selle, et ils partaient dans les chemins forestiers derrière le club. Ils ont trottés pendant une bonne demi-heure, dans des chemins un peu tortueux. Puis une longue ligne droite leur a fait face et Sylvie a lancé sur un air de défi.- Le dernier arrivé au bout a droit à un gage !- D'accord a répondu Jean en piquant sa monture qui partit au grand galop.Ils ont galopés comme des fous, la ligne droite devant bien faire dans les 2 à 3 kilomètres. Sylvie est arrivé la première, devançant Jean de quelques mètres tout au plus. Essoufflés, les chevaux respirant bruyamment, ils se sont regardé en riant. - J'ai gagné. Tu me dois mon gage dit Sylvie.- C'est vrai. Que veux-tu que je fasse alors ?- Je ne sais pas trop pour le moment. Viens, mettons pied à terre. Il y a un petit cours d'eau sur la droite,tu vois le chemin ? Prenons le, les chevaux pourront se détendre et boire !- D'accord, je te suis.Ils se sont engagés dans ce petit sentier s'enfonçant au milieu des arbres, et au bout de quelques mètres, une vingtaine tout au plus, ils ont débouchés dans une clairière. Au fond de celle-ci, s'écoulait un petit ruisseau. Ils y ont amenés les chevaux qui se sont désaltérés.- J'ai trouvé mon gage ! lui dit Sylvie. Il faut déjà attacher les chevaux.- D'accord. Je ne sais pas ce que tu me prépares, mais bon.Une fois les chevaux attachés à un arbre, elle s'est tourné vers lui et lui dit très sérieusement.- Voilà mon gage. Tu dois me présenter des affirmations me concernant. Pour chaque affirmation, si elle estvraie, je retire un vêtement, mais si elle est fausse, c'est toi qui le retires. Les chaussures et chaussettes comptent pour un seul vêtement. D'accord ?- Quoi ? Et si je refuse ?- Cela signifiera que tu n'as pas de parole. Tu as joué et je suis désolé, mais tu as perdu. Ou alors, je change de gage et je décide tout de suite que je veux te voir à poil.- Pour ton petit jeu, personne n'en saura rien ? demanda t'il après quelques instants de réflexion- Non personne. Cela restera entre nous. Et c'est aussi valable si tu gagnes.- Et qu'est-ce que tu appelles une affirmation te concernant ?- Par exemple, tu peux me dire : Tu es née un vendredi !- Ah, d'accord, je vois.- Bon, c'est d'accord ?- Mouais...- Alors avec mon slip et mon soutien-gorge, j'ai 6 vêtements. Et toi ?- Euh.. Moi, c'est quatre.- C'est bon, j'ai donc deux points d'avance et comme j'ai gagné la course c'est équitable non ? Celui à qui il reste des vêtements devra alors donner un gage à celui qui aura perdu. Toujours d'accord ?- Euh, oui. Mais on s'éloigne de plus en plus du trotting. Et on peut continuer longtemps comme cela.- Les chevaux ont besoin de souffler. Alors, je t'attends.Et Sylvie, souriante, s'est assise en tailleur dans l'herbe tout juste séchée par le soleil levant. Jean a fait de même et s'est mit à réfléchir. Que savait-il d'elle de façon certaine ? Pas grand chose à vrai dire. Il la regardait et soudain a su qu'elle serait sa première affirmation. Son accent ! Elle était sans doute de la région.- Tu es du coin !- C'est trop vague. Précise ce que tu entends par-là.- Et bien, tu es de la région.- C'est encore trop vague. Il me faut au minimum le département.- Oula ! Cela se complique. De l'Isère ?- Nord ou Sud de l'Isère ?- Sud je dirais. Mais vraiment au hasard.- Gagné. Je suis originaire des environs de Vizille. Pour l'instant tu es chanceux. Bon, alors je retire doncbottes et chaussettes.Et elle a joint le geste à la parole. Jean s'est concentré de plus en plus. Il avait presque refait son retard de vêtements.- Tu es une vraie blonde !- Encore gagné, c'est vrai. Bien vu. Je retire le pull.Jean a réfléchit un moment avant de poser sa troisième question. Pour l'instant il avait annulé son handicap de départ.- Bon. Je dirais que tes parents font de l'équitation.- Bravo. Mon père est cavalier lui aussi. Dis donc, à ce rythme la, je vais me retrouver à poil vite fait. Bon, ben j'enlève mon tee-shirt.Tout en restant assise, elle a ôté son vêtement. Jean pouvait apercevoir, au travers du tissu du soutien gorge, la tache un peu plus sombre des tétons. Pour l'instant tout se passait bien, il fallait que cela dure.- Tu as un petit ami 1- C'est faux. Enfin une erreur ! As ton tour maintenant.- C'est vrai ? Tu es vraiment seule ? Bon, ok, j'enlève les bottes.- Et les chaussettes aussi !- Oui, d'accord. dit il tout en décidant de ruser. Tu es au club depuis 3 ans.- C'est exact, mais trop facile. Je retire quand même le pantalon, mais à la prochaine question de ce canlý bahis style, je ne retire rien et ce sera à toi d'ôter un vêtement.Elle s'est mise debout, a défait la boucle de sa ceinture et a retiré son pantalon. Son slip blanc était fin, dégageant bien ses fesses et remontait sur ses hanches. Le tissu laissait lui aussi apparaître la zone un peu plus sombre de son pubis. Jean se dit qu'il avait presque gagné. Elle s'est de nouveau assise en tailleur, nullement gênée. Intérieurement, il constatait que même dans cette position, aucun poil ne dépassait de cette si petite culotte.- Tu n'as pas de soeur !Il avait entendu dire un jour par des membres du club qu'elle n'avait qu'un frère.- Faux à nouveau ! C'est une rumeur qui court mais c'est faux. J'ai un frère aîné et une soeur qui a 3 ans de moins que moi. Et tu ne peux plus me poser de question sur ce sujet. dit elle en riant.- Zut, j'étais sur d'avoir gagné. J'enlève mon tee-shirt.- Eh oui, on ne gagne pas à tous les coups. Maintenant que tu es torse nu, pose ta question suivante.- Bon alors réfléchissons un peu. Je dirais que ... tu es sortie avec Vincent !- Quoi ? Avec qui ?- Vincent, le moniteur de l'an dernier. Tu as couché avec lui non ?- Mais c'est complètement faux ! Qui a osé prétendre cela ?- Euh, personne, c'est moi qui pensais cela, c'est tout. Vous aviez l'air vraiment très proche.- Hahaha. C'est normal, on a fait notre monitorat ensemble.- Tu me jures qu'il ne s'est rien passé entre vous ? Zut, alors j'ai perdu ce coup. Bon, je n'ai pas le choix, le pantalon saute.Il s'est déculotté pour se retrouver en slip devant elle, un de ces nouveaux sous-vêtements aux formes échancrées.- Eh oui. Maintenant c'est moi qui ai un vêtement d'avance. lui dit elle- Bien, alors réfléchissons. Ah, voilà. Tu as dit à Coralie que je l'avais vu dans ce box !- Non pourquoi ?- Pourtant, à son regard hier soir, je l'aurais juré. C'est vrai ?- Oui, je te le jure... Tu me crois ?- Bien sur. Donc tu as encore gagnée. Dis moi donc quel est mon gage, pendant que je me déshabille.- Ecoute Jean, si cela te gêne, on en reste là. dit elle gentiment.- Non, j'ai joué et j'ai perdu. Choisis ton gage pendant que je l'enlève.Jean s'est mis debout devant Sylvie, toujours assise, et a fait glisser son slip vers le bas. Il bandait mou comme disent certain, sa queue semblant hésiter sur la conduite à tenir. Sylvie ne la quittait pas des yeux pendant qu'il ôtait son slip. Lorsque totalement nu, il s'est redressé devant elle, elle lui a parlé de son gage.- Bon, alors Jean, es tu toujours d'accord pour la suite ?- Oui. J'ai accepté de jouer et j'ai perdu. Et puis tu m'as jurée que tout cela resterait entre nous.- Ca c'est vrai.Intérieurement, Jean n'espérait qu'une chose, c'était qu'elle lui demande de lui faire l'amour. C'était cet espoir qui lui avait donné la témérité de se déshabiller. - Alors, j'aimerais que tu te branles pour moi.- Hein ? Quoi ?- Ben, je voudrais te montrer que je n'ai pas été dégouttée de te voir faire cela dans le box, lorsque je t'ai surpris. En fait, cela m'excite plutôt et j'aimerais vraiment que tu te masturbes devant moi.- Mais, là, comme cela ?- Je vais me déshabiller, si tu veux.- Euh... Oui, je préférerais... Mais, tu... Oh et puis zut. D'accord.- Vrai ? Tu acceptes ? Ouais !Elle a passé les mains dans son dos pour faire sauter l'attache de son soutien-gorge, avant de faire glisser les bretelles le long de ses bras, dégageant ses seins ronds et généreux. Elle s'est mise debout, a fait tomber son soutien-gorge sur le sol puis a posée ses deux mains sur ses hanches pour faire glisser la culotte vers le bas. Jean ne la quittait pas des yeux. Il a vu apparaître les premiers poils blonds de son pubis, constatant comme il l'avait pensé un peu plus tôt, qu'elle l'avait soigneusement rasé. Elle a fait descendre le bout de tissu jusqu'à ses chevilles, l'a complètement retiré, puis s'est redressée et, nue, les mains sur les hanches, elle a plongée sesyeux dans ceux de Jean.- Tu es vraiment très belle. lui dit il- Merci. Alors, et ton gage ?- Cela ne marche pas sur commande. Laisse moi te regarder un peu, avant.- D'accord. dit elle en s'asseyant de nouveau en tailleur.En s'installant de cette façon, elle ne cachait rien à Jean, de son anatomie. Il pouvait voir, entre ses cuisses croisées, sa vulve rosée, bien dégagée de tout poils. Et sa queue s'est redressée naturellement à cette vue. Il l'a empoignée de sa main droite et a commencé à se caresser, passant sa main sur ses couilles, pendant que la droitecoulissait lentement sur sa verge qui se décalottait. Son gland complètement dégagé, Sylvie s'est approchée et a crachée dessus, le lubrifiant de sa salive. Toujours gêné, il s'est branlé un peu plus rapidement, tout en regardant Sylvie restée devant lui, le visage à quelques centimètres de son sexe fièrement dressé. C'était la première fois qu'il se branlait devant quelqu'un et l'incongruité de cette scène l'excitait grandement. Il s'est dit qu'il netiendrait plus très longtemps. Mais il voulait quand même faire une dernière tentative.- Sylvie, tu ne voudrais pas, au moins, me sucer ?- Non, je veux que tu te branles. Ca me plait de te regarder. Mais, je veux bien te caresser les couilles.- Oh, oui, vas-y.Elle a avancée bahis siteleri une main vers son entrejambe tandis que Jean retirait la sienne. Il a sentit les doigts deSylvie glisser sur ses bourses, les emprisonnant petit à petit dans sa paume.- Comme elles sont douces !Elle a glissée un doigt vers son anus, déclenchant des sensations qu'il n'avait jamais connues.- Oh ! Je vais....- Oui Jean, laisses toi aller.- Ah ! Ah Sylvie !.Elle a raffermi sa prise sur ses couilles. Jean s'est cambré en grognant, pendant que le plaisir montait d'entre ses jambes. Le sperme a giclé de sa queue pour aller se poser dans les cheveux de Sylvie qui n'a pas bougée. Les jets de foutre suivant s'écrasèrent sur le sol et sur son torse. Lorsque l'orgasme de Jean a touché à sa fin, elle lui a prit la verge et, glissant le pouce tout du long, en a extirpé le reste de semence qui pouvait encore s'y cacher.- C'était bon ? lui demanda t'elle- Mouais. J'aurais préféré m'occuper de toi, ou que tu me suces.- Une prochaine fois.- C'est vrai ?- Oui, car de cela aussi j'en ai envie. Mais pour le moment, installes toi et regarde.- Que vas-tu faire ?- Me branler pour toi.- Quoi ?- Oui, je vais me masturber devant toi. Comme cela, tu verras qu'il n'y a vraiment pas de honte à avoir. Et puis, après le spectacle que tu viens de m'offrir, il me faut faire quelque chose, ou je vais violer tous mes élèves.Elle s'est dirigée vers les chevaux avant d'en revenir avec la cravache de Jean à la main. Elle s'est allongée alorssur le sol, les genoux relevés et les chevilles sur les fesses, juste en face de Jean, qui s'était assis. Puis, lentement, elle a écartée les cuisses, dévoilant à nouveau petit à petit sa délicieuse fente. Ses mains caressaient ses seins aux pointes dressées. Une de ses mains se dirigea vers son entrejambe mais a marquée un temps d'arrêt sur son ventre. Puis, elle a glissé entre les cuisses. Son majeur s'est insinué entre les lèvres de son sexe humide à larecherche de son petit bouton et s'est mit à l'astiquer. Elle poussait maintenant des petits soupirs de contentement. Puis, alors qu'avec deux doigts elle en écartait les lèvres, son majeur s'est glissé à l'intérieur de sa vulve, la pénétrant. Un frisson l'a parcourue. Elle ne regardait pas Jean, mais imaginait son regard. Sylvie s'activait de plusen plus vite, faisant maintenant entrer et sortir deux doigts de sa chatte humide. Son souffle était de plus en pluscourt et ses yeux s'étaient fermés. Tout en continuant à se pénétrer d'une main, elle a amenée lentement l'autre main au sommet de sa vulve et a entreprit de titiller son clitoris. Elle poussait de long soupir d'aise de plus en plus bruyant, laissant même échapper quelques cris. Elle se cambrait de plus en plus, enfonçant ses doigts encore plus profondément en elle. Quelques secondes plus tard, la cravache les avait remplacés. Elle poussait de longs soupirs, montant et descendant son bassin au rythme de la pénétration. Avec son autre main, elle se titillait le clitoris. Jean salivait de plus en plus devant ce spectacle inédit pour lui. Il voyait disparaître sa cravache sur une dizaine de centimètres, puis elle ressortait, brillante et humide. Sylvie ne soupirait plus, mais poussait maintenant des petits cris sans retenue. Brusquement, elle s'est cambrée, faisant pénétrer la cravache au plus profond de son intimité. Poussant un cri rauque, son corps fut pris de tremblements. Elle est restée ainsi quelques secondes, le dos arqué, respirant bruyamment, le corps secoué de frissons, puis s'est laissée retomber lourdement sur le sol. Elle a retiréle gode improvisé, laissant son jus s'écouler de sa chatte. Elle avait la respiration courte, les yeux fermés, mais le sourire aux lèvres.Jean n'aurait su dire combien de temps avait duré ce spectacle, mais il bandait à nouveau fermement. Alors qu'elle avait toujours les yeux fermés, il s'est mit à genoux et s'est rapproché d'elle, sur son coté gauche. Jean s'était placé à portée de sa main gauche qui caressait désormais ses seins. En ouvrant les yeux, elle l'a vu à ses cotés. Elle a avancé la main et s'est saisit de sa queue. Elle lui a caressé d'abord la verge, puis a descendu sa main et lui a saisit les couilles. Jean lui caressait le sein gauche, le trouvant doux et ferme, et a entreprit de lui caresser la poitrine, pendant qu'elle s'occupait de sa queue. Elle s'est glissée vers lui, tout en continuant de le branler. Puis elle s'est mise à genoux et lui a dit de s'allonger. Alors, elle a baissée son visage vers son bassinà la rencontre de ses bourses qu'elle a embrassée avant de les avaler. Jean a poussé un long soupir. Il y avait là autant de plaisir à cette caresse que de satisfaction de savoir qu'elle ne le repoussait pas. Tandis qu'elle lui léchait les couilles et qu'elle contenait à le branler, Jean a dirigé ses mains vers son entrejambe ouvert et désormaislibre. Il a commencé à la caresser, d'une façon un peu gauche au départ. Puis, prenant de plus en plus d'assurance,il a commencé à la pénétrer avec son index, tandis que son pouce s'activait sur le clitoris.Sylvie a abandonnée ses bourses et, remontant doucement son visage, a avalé sa verge. Elle l'a sucé quelques instants, engloutissant parfois totalement sa bite. Jean bahis þirketleri avait eu trop envie d'elle pour tenir longtemps et il le lui a fait savoir, tout en tentant de se dégager de sa succion.- Oh Sylvie. Doucement. Je crois que je vais venir.- Laisses toi aller. C'est souvent normal la première fois. Mais ne t'inquiètes pas, il y en aura d'autres.Et elle a engloutit à nouveau sa verge. Habilement, elle est parvenue à glisser une main sous ses bourses et elle le caressait des bords de l'anus jusqu'à la base de sa queue. Sa tête effectuait de petits mouvements de droite et de gauche tandis qu'elle avalait ou ressortait sa bite de sa bouche. Jean n'en pouvait plus et, poussant un grognement, il a jouit en déchargeant au fond de sa gorge. Elle n'a pas fait mine de se retirer, recevant la semence et l'avalant avec délectation. Il ne l'a pas remarqué, mais Sylvie a gardé les yeux rivés sur son visage durant toute son éjaculation. Jean donnait un coup de reins à chaque jet de sperme, s'enfonçant totalement dans cette bouche pour y répandre son foutre. Les joues creusées, elle l'aspirait, tentant d'en extraire jusqu'à la dernière goutte. Une dizaine de secondes plus tard, elle tournait vers Jean un visage radieux en disant :- C'était bon. De t'imaginer là, en train de me regarder, putain c'était bon. Viens m'embrasser. Mes lèvres aimeraient connaître le goût de ta bouche, après celui de ta bite et de ton foutre.Ils se sont embrassés passionnément, de longues minutes, serrés l'un contre l'autre, les mains courant sur leurscorps. Puis, Sylvie s'est levée pour aller se nettoyer au bord du ruisseau. Elle a retiré au mieux le sperme que répandu sur elle. Jean lui a prêté un mouchoir avec lequel elle s'est grossièrement essuyée. Après s'être rhabillés,ils sont remontés à cheval et sont retournés au club, lentement. En route, Jean la pressait de questions. Est-cequ'ils allaient recommencer, suçait t'elle souvent ses partenaires, avalait t'elle toujours le sperme, aimait t'elle cela, avait t'elle d'autres amants, pourrait t'il la baiser ?Elle a répondu à chacune calmement et sereinement. Il a su ainsi qu'elle aimait tailler des pipes, avaler leur semence, qu'en ce moment elle n'avait personne et que 'oui', il pourrait la baiser. En se quittant, ils se sont donnés rendez-vous pour le soir même, Sylvie l'invitant à dormir chez elle après le cours.Une fois Jean parti, pendant qu'elle s'occupait d'autres chevaux et qu'elle les faisait travailler dans la carrière, Sylvie ne pouvait pas s'empêcher de repenser à ce qu'elle avait fait ce matin. A priori il n'avait pas remarqué comme elle avait eu peur qu'il la repousse. C'était pour cela qu'elle avait finalement accepté de se caresser devant lui. Et comme elle avait été heureuse de pouvoir prendre sa verge dans ses mains. Elle l'avait trouvé douce, autant que sa main quand elle s'était posée sur son sein. C'était vraiment étrange de voir un garçon se masturber. Elle n'avait jamais imaginé la v******e d'une éjaculation. Et puis quand elle s'était approchée de lui, son sexe ne sentait pas aussi fort que d'autres, bien que ce ne soit pas toujours désagréable. Quand elle l'avait avalé, ellesavait que c'était un garçon propre. Cela aussi devenait rare. Et puis sa verge n'était pas disproportionnée. Elleétait assez longue, mais pas énorme. Elle repensait à ses bourses. C'était amusant, mais elles étaient toujours très douces. Etait-ce le cas uniquement chez ses amants qui n'avait pas été très nombreux, ou bien tous les hommesétaient ils comme cela ? Elle aimait vraiment les tenir dans ses mains, les caresser de ses doigts. Lui caresser la verge avait eu quelque chose d'excitant et d'impudique quand elle s'était mise à le branler.Elle aurait bien aimé voir son visage lorsqu'elle lui avait avalé les couilles. Elle adorait faire cela à ses amants. Une de ses amies lui avait dit qu'ils aimaient tous cela et elle n'avait jamais été contredite. Jean avait semble t'il aimé jouir dans sa gorge. Cela la gênait un peu car elle n'aimait pas vraiment le goût du sperme.Mais c'était tellement bon et fort de sentir l'homme que l'on aime lui donner ce qu'il a de plus précieux. Et cesentiment de le posséder tout entier, de pouvoir observer son visage au moment de l'orgasme, avec toutes ses crispations. Cet instant était pour elle le summum de la possession et dans ce moment là, elle prenait un plaisir intense dans la sensation de dominer totalement son amant. Elle avait même était tentée de lui pénétrer l'anus,mais au dernier moment elle s'était dit que c'était sans doute un peu précoce.Et elle avait jouit comme cela ne lui était jamais arrivé auparavant. Le plaisir avait été décuplé de l'imaginerlà, à ses cotés, en train de la regarder. Bon sang, elle avait presque failli s'évanouir de plaisir. Etait t'elle amoureuse ? Elle se le demandait depuis déjà longtemps, ne sachant pas si c'était juste du désir, de l'attirance ou de l'amour. Tout ce qu'elle savait c'est que quand Jean n'était pas là elle se sentait bien seule. Enfin, pour la première fois, elle ne pouvait pas envisager l'avenir sans l'avoir à ses cotés. Bien sur, il leur faudrait apprendre à se connaître un peu plus, mais ce matin elle s'était sentie à l'aise avec lui et en phase. Et il s'agissait d'un des moments les plus intimes qu'elle ait partagé avec un homme. Jamais avant elle ne s'était masturbé ainsi devantquelqu'un. Ses pensées vagabondèrent comme cela tout au long de la journée, jusqu'au soir.
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