Mûres64/bonnes salopes pour giclerVoilà, je suis prête. Je me suis changée...tu peux entrer. Surprise! Tu ne t'attendais pas à me voir comme ça, mon jeune ami?Qu'est-ce que ça te fait une vieille grand-mère comme moi, la chatte à l'air? Eh bien oui, j'ai des besoins, je me branle tous les soirs, qu'est-ce que tu crois! Mais j'en ai marre de me fourrer des godes, j'aimerais une jeune queue bien dure comme la tienne qui vienne coulisser là-dedans...Allons, je comprends que je ne te fasses pas bander. Mais regarde: ma petite fille s'est installée, elle veut voir comment tu vas me la mettre. ça l'excite de savoir qu'une bonne tige va gicler en moi.Ne dis pas que ça ne te dit rien de me fourrer devant la petite. -Allez-y, vous me fait mouiller, tous les deux. Je n'ai jamais vu un truc pareil...touche-toi en me regardant, et fourre-là.-J'ai l'air toute déplumée, avec ma fente toute rasée. C'est vrai qu'on voit bien la queue qui rentre...Après toute une journée de travail, la jeune pharmacienne adore faire une petite visite chez sa patronne. Il n'y a plus de hiérarchie. C'est la dame qui est toute reconnaissante de passer sa langue sur la moule de Muriel. Muriel a sonné chez Marie-Laure. -Comment, déjà? Je ne suis pas prête... je voulais te préparer un petit souper.-Non, je ne suis même
güvenilir bahis pas passée chez moi. Oh, Marie-Laure, je n'arrête pas d'y penser! La dernière demi-heure, à la pharmacie, m'a parue un siècle! J'ai trop envie! Je vais vite me doucher, et j'ai envie...tout de suite...-Tu es une vraie petite diablesse! dit Marie-Laure, en embrassant sa jeune stagiaire. Muriel se douche en vitesse. A peine séchée, elle revient dans le salon. Marie-Laure n'a même pas fini de se déshabiller.-tu veux encore, comme la dernière fois? Tu veux que je sois ta chienne?-oui, j'ai envie de ta langue....je suis complètement accro à ta langue.-Petite salope, c'est toi qui me rend folle avec ta petite chatte. Je n'ai plus jamais fait dès choses comme ça depuis tellement d'année...et voilà que je me retrouve à te lécher, à faire la gouine. Je veux être ta chienne, je veux être ta langue de pute pour te faire couler.-Dis moi des mots cochons, ça me faire mouiller.-je ne peux pas te parler et te lécher, ma petite folle, dit la vieille dame.-Dis-moi que tu es ma pute, que tu es ma chienne.-oui, je suis ta pute. Parle-moi, je me touche pendant que je te suce.-Ton fils, il sait que sa mère adore fourrer sa langue dans la chatte d'une jeune fille?-non...oh.....ça m'excite, ce que tu dis....-tu imagines,
türkçe bahis si mes parents voyaient ce que tu me fais...comme tu me bouffes la moule?-Ah....je voudrais qu'on le fasse devant du monde.....-Continue de lécher, salope. On ira toutes les deux dans un club échangiste. Je veux que tu me suce le cul comme maintenant devant des hommes qui se branlent.-Oui....oui...-Je veux que tu me lèches le petit trou pendant que je me prends une bite.-Oui...tout ce que tu voudras-Aspire....putain, c'est bon que tu m'aspires....laisse talangue à l'intérieur, et bois mon jus!J'adore ce harem de vieilles salopes. C'est un ancien hôtel transformé en lieu de débauche à l'usage de ménagères et de dames mûres qui veulent se lâcher sexuellement.Ces trois copines se sont connues chez leur coiffeuse. Elles sont venues à trois pour se donner du courage, et restent ensemble pour sucer ou pour se faire enfiler sur un grand lit. Non seulement, ça les excite de tirer des pipes à de jeunes hommes, mais aussi de se regarder mutuellement en train de se dévergonder.Elles sont devenues amies avec une ménagère bien en chair, qui désirait d'urgence, et sans fioritures, se faire bourrer avec de bons coups de bites.-Restez avec nous dans la chambre, on ne va pas vous le voler, votre étalon. On va
güvenilir bahis siteleri juste le laisser venir dans nos bouches, à tour de rôle. nous ne sommes pas pressées. On a tout le week-end. On aime bien papoter sur le lit, regarder les autres couples, nous branlotter gentiment. Je fourre ma queue dans la bouche de la première dame.-Moi, c'est Christiane, dit-elle simplement. A sa demande, je fais quelques aller-et-retours dans sa bouche.Monique, la ménagère aux gros seins, observe la scène, la jambes ouvertes sur son fauteuil. Je la regarde en souriant, l'air de dire:-Oui, je n'oublie pas...nous nous sommes bien entendus, tout à l'heure dans le jardin...je vais vous baiser. J'arrive. Je viens encore un petit coup dans la bouche de Corine, et je m'avance, la queue bien tendue, vers la sympathique ménagère.sa vulve poilue semble humide. Elle est tellement ouverte, je pense que ma queue va s'introduire en elle d'un seul coup. C'est ce qu'elle veut. Une baise rapide, franche, sans fioriture. *quot;Et vous sentir gicler, j'y tiens*quot;.Elle gémit. Elle mouille. A force de se faire bourrer la chatte, elle est à moitié couchée sur sa chaise. Elle se reprend, maintient ses jambes bien ouvertes. Son vagin se contracte au fur et à mesure que mon sperme approche de l'ébullition.Le vagin de Monique me tire tout mon jus. Maintenant, la grosse dame, rouge, haletante, sourit en regardant la coulée de sperme qui s'échappe de sa chatte grise.-C'était bon. A tout à l'heure... -A tout à l'heure, Monique...dans le cul, peut-être?