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Alt 12-19-2020, 11:07 PM   #1
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Standart L'enseignement

L'enseignementUne jeune enseignante trop sageUne soirée d?hiver, à plus de vingt heures passées, les gens normaux sont chez eux, devant leur cheminée ou leur chauffage électrique, c?est selon, à boire leur apéro devant le J. T. de Laurence Ferrari.Nous, nous sommes une petite bande de quinze chanceux à être encore à la fac. Oui. L?administration universitaire est parfois surprenante, mais c?est ainsi : mon TD, auquel la présence est obligatoire, d?histoire des religions se déroule le mercredi soir de dix-neuf à vingt-et-une heures. C?est une pure arnaque, le cours est évidemment sous-intéressant. Les exposés ne sont suivis que par notre jeune enseignante, pendant que nous autres glandeurs préférons nous pencher sur un article passionnant issu de « 20 Minutes » ou sur une grille de mots fléchés de ce même journal.Levant les yeux de mon sudoku, je jette un ?il par la fenêtre. Il pleut. Et, bien évidemment, je visualise très rapidement mon parapluie resté sur ma table, dans mon appartement. J?en fais part à mes voisins et amis. S?en suit une passionnante discussion sur les effets de la pluie sur nos blondes chevelures. Discussion entrecoupée par quelques regards perçants de haine émanant de notre enseignante, qui, la pauvre, est gênée pour écouter le passionnant exposé sur Dieu sait ? c?est le cas de le dire ? quel texte d?un obscur moine bohémien du XIVème siècle.Alors que plus personne ne s?y attendait, notre professeur nous indique qu?il est l?heure de se séparer. Nous sommes tellement fatigués que personne n?est véritablement heureux d?en finir. Nous sortons néanmoins rapidement de la salle avec mes amis, descendons les escaliers, sortant de la fac, jusqu?à ce que nos chemins se séparent au coin de la rue. À l?abri de la pluie, nous discutons cinq minutes afin de savoir quelle torture serait la plus efficace pour en finir avec notre prof, quand celle-ci passe à notre niveau et se dirige vers la station de métro à une centaine de mètres :? Si elle nous a entendus, je pense qu?il faudra revoir notre note de TD à la baisse, dit un de mes camarades.? Tu penses qu?elle peut encore baisser ? lui fais-je remarquer.? Ta gueule?Sur cette sympathique preuve d?amitié et d?affection virile, nous nous quittons enfin. Le hasard fait que je dois me diriger vers la même station de métro que ma prof, que j?aperçois au loin. Elle marche d?un pas assez rapide et je ne peux que la comprendre, vu le temps et l?heure avancée. Comment définir cette brave femme ? Environ vingt-cinq ans, doctorante, petite brune assez banale, ni vilaine, ni belle, assez classique en somme. Pas très passionnante, s?il faut être honnête. Pas vraiment le genre de prof proche de ses élèves : elle fait son taf et c?est tout. Au bout de quelques instants, j?arrive à la station de métro. Comme à chaque fois que je suis pressé de rentrer, il y a justement une rame qui vient juste de s?en aller. Je sors mon Navigo, m?approche d?une des portes quand j?aperçois notre prof à un des guichets automatiques. Elle rouspète, chose assez habituelle d?après le peu que je la connais.? Un problème, madame ? dis-je, car je suis quand même un garçon bien élevé.? Ah, vous ici ! Eh bien. Il me manque cinquante centimes.? Ah, je veux bien vous avancer la monnaie si vous voulez, si vous daignez valoriser un peu ma note de TD. Non, je plaisantais, m?empressais-je de rajouter, figé sur place par son regard dédaigneux.? J?espère bien. Mais j?avoue que si vous aviez cinquante centimes? Je vous les rendrai la semaine prochaine.? Je vais voir ça.Je sors mon porte-monnaie et effectivement, une pièce de cinquante centimes s?y trouvait bien sagement. Disant adieu à une potentielle pause-café du lendemain matin, je lui envoie ma pièce à travers le petit hall de la station de métro. Elle me remercie d?un signe de tête, je valide mon passe et continue jusqu?au quai.J?imagine la tête de mes potes quand la prof me filera mes cinquante centimes le mercredi suivant. Nous sommes déjà à la fin du semestre et, petit à petit, une haine relativement réciproque s?est installée entre les étudiants et cette sympathique chargée de TD. Dans la liste des défauts qui lui sont imputables, on peut dire : froide, manque d?autorité alors qu?elle pense en avoir, de toute évidence, parfois sadique, timide. Et surtout, elle connaît très bien son sujet de cours, car elle semble très catholique. Ce qui donne un peu l?impression d?être en cours de catéchisme.Quelques secondes plus tard, ma prof me rejoint sur le quai désert :? Je vous remercie, j?aurais été un peu embêtée si j?avais dû rentrer chez moi à pied.? J?avoue, surtout sous ce magnifique temps.? Oui, me répond-elle imperceptiblement.On dirait que je l?intimide, alors qu?elle a à peu près six ou sept ans de plus que moi. J?en profite pour l?analyser de plus près ? précisons que je suis toujours au fond de la classe, ce qui n?est pas le plus pratique pour scruter l?enseignante ? et j?aperçois à son doigt une bague de fiançailles. Je me demande quel peut-être l?énergumène qui la lui a offerte.À ces heures indues, les rames de métro se font attendre pendant un temps certain. Assez rapidement s?installe une atmosphère un petit peu gênante à côté de mon enseignante, que je n?apprécie au demeurant pas beaucoup :? Alors, vous voulez faire quoi plus tard, comme travail ? me demande-t-elle soudainement.? Je ne sais pas encore vraiment. Sûrement pas dans l?histoire des religions, sans vouloir vous offusquer.? Roh, j?ai vraiment l?impression que mon cours ennuie tout le monde, me dit-elle mi-agacée, mi-déçue.Je me retiens de lui faire remarquer que ce n?est pas une impression.? Oh, disons que personnellement ce n?est pas ce que je préfère, mais c?est juste une question de goût, dis-je avec une grande diplomatie.? Oui, sans doute, me répond-elle comme si elle avait peur que je la mange.? Et vous, vous travaillez sur quoi ? Je veux dire, votre sujet de thèse ? prends-je la peine de m?enquérir.? La perception du Christ au sein de l?Église hussite.? Ah d?accord. Et ça avance bien ?? Oui, oui. Enfin sûrement encore un an de travail, je pense !? Ah ouais quand même. Ça occupe !? Oh que oui. Mes amis se plaignent de ne pas me voir très souvent, mes parents et mon fiancé aussi.Elle a donc bien un fiancé. Je suis en train de me dire que si elle est si croyante que ce que l?on imagine, elle est peut-être encore vierge. Cette idée me donne une violente envie d?éclater de rire.Une rame de métro arrive enfin, et nous montons dedans. Vide, évidemment. Comme il serait délicat de faire le gros asocial et de partir dans la direction opposée, je m?assieds en face de ma prof. Le temps que la rame reparte, je reprends mon analyse de sa personne. Elle pourrait être beaucoup plus jolie si elle changeait de coiffure ? ça part un peu dans tous les sens ? s?habillait un peu mieux ? un peu trop classique, pas très bien accordé ? et si elle perdait deux ou trois kilos. Cela dit, j?aperçois qu?elle a en fait une poitrine plutôt avantageuse. J?ai une petite pensée pour son fiancé qui, malheureusement pour lui, ne doit pas encore y avoir accès.Je cesse mon analyse de peur de me faire repérer. La rame démarre et s?enfonce dans le tunnel.? Vous avez votre propre appartement ? me demande-t-elle.? Oui, enfin si on peut appeler ça un appartement.? Pourquoi donc ? me répond-elle amusée.? Oh, vous savez, les étudiants, le rangement. Ça fait deux, quoi !? C?est vrai oui. Oh moi, c?est pareil, heureusement que mon fiancé vient chez moi de temps en temps, c?est le comble, mais il aime bien faire le ménage !? Eh ben, profitez-en, ce n?est pas tous les hommes qui sont comme ça.Cela m?amuse qu?elle me raconte sa vie, cela dit, je suis un peu pressé de pouvoir me débarrasser d?elle. Malheureusement, alors que nous arrivons dans une nouvelle station, elle trouve encore une nouvelle question à me poser :? Et le reste, les autres matières, ça se passe bien ?? Ça va, ça va.? Il n?y a qu?avec moi que vous n?écoutez pas en cours, alors ? me répond-elle en souriant, mais avec une pointe d?exaspération évidente.? Euh, réponds-je tout rouge. C?est-à-dire que l?horaire n?est pas des plus faciles.? Pour moi non plus, vous savez.? J?imagine bien.Cette conversation est absolument passionnante. Je scrute le plan des métros et réfléchis par quel chemin détourné je pourrais passer afin d?éviter de me coltiner cette jeune femme. Aucune idée ne me vient à l?esprit, et nous continuons le trajet.? Vous descendez à quel arrêt ? me demande-t-elle.? Je vais jusqu?au terminus.? Ah, moi aussi, sauf que je dois prendre une correspondance en bus.? Priez pour qu?il n?y ait pas grève.? Ça arrive parfois. Et là, je suis bonne pour la marche à pied.? Ça ne fait jamais de mal.Le métro devrait arriver dans environ dix minutes qu?il va bien falloir tuer comme on peut. Je ne sais pas si elle a envie de passer pour une prof sympathique, jeune ou aimable, toujours est-il qu?elle me relance :? Et vous avez d?autres passions à part vos études ?? Oh, je ne sais pas si le terme passion peut s?appliquer aux études. Mais sinon, ciné, musique. Comme tout le monde je pense ! Et vous ?? J?ai plus vraiment le temps de m?adonner à mes passions depuis que j?ai commencé ma thèse, mais avant je faisais de la danse. Modern Jazz. J?ai arrêté, ça se voit peut-être, me dit-elle écarlate.? Oh? Euh? Vous en avez fait longtemps ? essaye-je de rebondir le plus délicatement possible.? Dix ans. J?ai peur d?avoir tout oublié mais bon.? Ah oui.La situation est en fin de compte assez comique. Ça fera toujours quelques anecdotes à raconter à mes potes. Je me demande ce qu?elle va faire quand elle sera chez elle. Écrire des pages et des pages sur la divine religion chrétienne ? Probablement. Je n?arrive toujours pas à réaliser qu?elle est toujours vierge (du moins, c?est ce que je pense) à vingt-cinq ans. Pas avant le mariage. Quel dommage. Elle pourrait sûrement rendre quelqu?un heureux. L?idée m?amuse malgré moi, mais je constate, en la regardant de nouveau, qu?elle peut être un bon coup. Elle a un visage plutôt mignon, un peu fatigué et qui gagnerait à afficher un sourire plus souvent, mais pas désagréable. Et sa poitrine doit être sympathique aussi. Quatre-vingt-dix ? Quatre-vingt-quinze ? Probablement du C. Vraiment, je trouve ça dommage de ne pas les utiliser. Dieu est parfois injuste avec ses ouailles.Pendant le reste du trajet, nous restons dans un silence total, tout juste perturbé par l?entrée et la sortie de quelques personnes isolées. Malgré moi, je commence à m?imaginer des situations pas très catholiques avec cette, en fin de compte, charmante enseignante. Il faut reconnaître que ses lèvres sont très bien dessinées, assez fines mais charnues en même temps. Si ça se trouve, elle embrasse très bien. Peut-être même qu?elle pourrait en faire un autre usage, si elle savait.Nous arrivons enfin au terminus. Il était presque temps. Nous sortons de la rame et de la station. Un rideau de pluie nous tombe dessus :? Vous n?avez pas de parapluie ? me demande-t-elle inquiète.? Malheureusement, il a refusé de monter dans mon sac ce matin.? Mince, moi non plus.? Vous prenez votre bus où ?? Sur la petite place juste à côté d?ici.? Ah bon, je vais vous accompagner, ça doit être celui à côté de mon appart.Nous nous mettons alors en marche, rapidement, et en deux minutes, nous rejoignons son arrêt de bus. L?avancée se fait péniblement, sous une bonne grosse averse, mes cheveux ressemblent rapidement à une serpillière. Ceux de ma prof dégoulinent abondamment, et il semble que cela lui coule frénétiquement dans le cou et sur la poitrine. La voir s?énerver m?amuse et continue de me donner des idées quelque peu déplacées. Nous sommes trempés jusqu?aux os, surtout qu?il ne fait pas très chaud. Et pas de chance pour elle, son bus n?arrivera pas avant vingt minutes :? Pfiou, j?ai la poisse aujourd?hui. Je suis bonne pour poireauter vingt minutes sous ce temps, trempée.? La vie est dure, dis-je cruellement. Au pire, je peux vous héberger le temps que votre bus arrive, j?habite juste l?immeuble à côté.? J?avoue que ce n?est pas de refus.Je lui fais alors signe de me suivre. J?ouvre la porte de l?immeuble, avance dans le hall et appelle l?ascenseur. Ma prof est derrière moi, grelottante et trempée.? Avant de monter, il faut que je vous signale qu?il tombe souvent en panne. Alors si vous avez vraiment la poisse aujourd?hui?? Ça va le faire, vous n?inquiétez pas.Nous entrons alors dans la cabine. Et j?ai l?image de l?ascenseur qui s?arrêterait alors subitement, me laissant collé de longues minutes contre cette jeune femme. Cela pourrait être amusant, mais j?essaye de me calmer un petit peu tout de même. Nous arrivons finalement à bon port, j?ouvre mon appartement, et la laisse entrer.? Ah oui, effectivement. C?est organisé d?une façon singulière, me dit-elle.? Je vous avais prévenu ! La salle de bains est tout de suite à droite si vous voulez vous sécher les cheveux ou quoique ce soit.? Ok, je vous remercie, c?est vraiment gentil de votre part.? De rien, dis-je en m?éloignant vers la cuisine.J?enlève mon blouson qui est trempé, secoue mes cheveux tel un adorable labrador, me sers un verre de vin rouge et entend mon sèche-cheveux se mettre en branle. J?imagine tout d?un coup la une d?un journal : Une jeune enseignante électrocutée chez un de ses élèves et je pouffe de rire à cette idée. Je me pose dans le canapé et commence à réfléchir à ce que je pourrais bien manger. Je n?ai pas fait les courses depuis longtemps, donc je crois que je vais avoir le vice de se faire déplacer un pauvre livreur de pizza. Je prends mon téléphone, commande une Royale censée arriver dans un quart d?heure, et allume négligemment ma télévision. Vu cette heure avancée, tous les programmes du soir sont déjà bien entamés. J?éteins donc rapidement.Par un souci de générosité extraordinaire, je me lève et me dirige vers la salle de bains afin de demander à ma prof si elle souhaite manger quelque chose. J?ouvre la porte franchement, comme à mon habitude. Et surprise !? Oh, excusez-moi, je me suis permis de mettre mon pull et ma chemise à sécher sur votre radiateur, prononce-t-elle très vite tandis que, l?espace de deux secondes, le temps que je réagisse et le temps que je referme la porte, je contemple ce magnifique soutien-gorge en dentelle rouge très bien rempli, comme je me l?imaginais. Je pense que je ne verrai plus jamais ma prof de la même façon.? Euh, ok, pas de souci, dis-je derrière la porte. C?était juste pour vous demander si vous vouliez manger quelque chose ?? Non, non, c?est bon, dit-elle d?une voix forte pour couvrir le son du sèche-cheveux. Je ne vais pas m?imposer chez vous plus longtemps.Je lui dirais bien qu?elle peut rester tant qu?elle veut, surtout si elle reste comme elle est maintenant, mais je me retiens tout de même. Je retourne me mettre dans le canapé, me disant que d?ici quelques minutes, j?aurais une vision tout à fait satisfaisante dans mon esprit pour accompagner ma petite séance de plaisir solitaire. J?envoie un message à de mes potes :« La prof est chez moi et je peux t?assurer qu?elle est beaucoup plus charmante qu?en cours. Je te raconterai ça. »Au bout de quelques minutes d?images déplacées, ma prof resurgit dans mon salon, rhabillée et les cheveux secs.? Désolé pour tout à l?heure, c?était indépendant de ma volonté, dis-je amusé.? Non, non, c?est moi, j?aurais dû vous prévenir, me dit-elle rouge écarlate. Bon, je pense que mon bus ne va pas tarder, je vais vous laisser.? Vous pouvez prendre mon parapluie, sur la table de la cuisine, si vous voulez.? Vous allez faire comment vous, sans ? D?ailleurs vous feriez bien d?aller vous sécher les cheveux !? Vous inquiétez pas, j?ai l?habitude.? Ok. Décidément, vous me sauvez la mise ce soir !? Vous êtes tombée sur mon jour de bonté, dis-je en rigolant.Elle renfile sa veste, prend mon parapluie, et se dirige vers la porte. Je lui souhaite bonne soirée, un peu déçu qu?elle n?aille pas pour me faire la bise :? Et si vous croisez un livreur de pizza, dites-lui que c?est au cinquième !? Ok, d?accord, bonne soirée.Et je ferme la porte. Je me dirige vers la fenêtre, d?où j?ai une vue parfaite sur l?arrêt de bus. Au bout de quelques instants, ma prof surgit vers l?arrêt, se met à l?abri comme elle peut sous le minuscule abribus et attend. Mais toujours pas de bus à l?horizon (ni de livreur de pizza, soit dit en passant.)Au bout de trois minutes, je décide d?aller voir si les deux vont bientôt arriver (le bus et ma pizza), je me rhabille, descends à pied (maudit ascenseur) et ressors sous cette sublime pluie battante. Je vais en direction de l?abribus en courant :? Toujours pas de bus ?? Ah ! Pfff vous m?avez fait peur, dit-elle, toute rouge.? Ah, pardon. Enfin vous savez, le quartier est calme, y?a pas de méchants dans le coin.? Si vous le dites. Il n?y a pas l?air d?avoir de bus non plus !? Ni de pizza d?ailleurs.Je regarde vite fait les différentes affiches sous l?abribus et lui fais remarquer un détail fort amusant :? Vous avez vu que le bus ne circule pas après vingt et une heures trente cette semaine pour cause de travaux ? Et il est légèrement vingt et une heure cinquante. Vous avez dû rater le précédent de peu.? Oh merde ! dit-elle spontanément, ce qui m?étonne un peu venant d?elle. Eh bien c?est parti pour une petite demi-heure de marche à pied, ajoute-t-elle aigrie.? Vous feriez peut-être mieux d?y aller en nageant, vu le temps.Regard noir.? Vous savez, je n?ai pas encore fixé définitivement la note de votre exposé.Silence.? Je plaisantais, ne vous inquiétez pas ! me répond-elle moqueuse.? Ah. Je n?avais pas encore eu le loisir de découvrir la facette farceuse de votre personnalité, dis-je en pensant que je venais d?en voir une autre beaucoup plus intéressante il y a quelques minutes.? Oui. Bon, je vais y aller.? Euh, vraiment au pire, je peux vous héberger pour la nuit si vous voulez. J?peux vous préparer le canapé, dis-je, sublimement étonné de mon audace. Il est évident que je ne ferai pas ce genre d?offre à un quinquagénaire grisonnant.? Euh? dit-elle aussi rouge qu?une pivoine. C?est-à-dire que? je ne sais pas.? Eh bien décidez-vous car le petit homme en bleu qui attend devant le digicode est sûrement en train de tenir ma pizza.? Bon ok, si ça vous dérange vraiment pas.On retourne devant l?immeuble d?un pas assez pressé sur cette chaussée glissante. Trop glissante, car elle manque de s?affaler par terre et se ratt**** in extremis à ma main droite. Sensation gênante, mais très plaisante.? Ça va ?? Oui, c?est bon, allons-y.Je sens ses doigts glisser contre les miens, petit quart de seconde très agréable.? Bonjour, ça doit être pour moi la pizza, mon brave monsieur !? Quatrième gauche ?? Oui, c?est ça. Je vous dois combien ?Je lui paye tout de suite, att**** ma pizza et la tiens bien solidement, et moins d?une minute plus tard, je rentre dans mon appartement, avec ma pizza ET ma prof. Deux choses très appétissantes.? Bon, faites comme chez vous, lui dis-je amusé par la situation. Vous devez vous lever à quelle heure demain matin ?? Je ne sais pas, il faudrait que je repasse chez moi avant d?aller à la fac. Euh, six heures, ça ne vous dérange pas ?? Je suis d?un sommeil imperturbable, ne vous inquiétez pas pour moi. Bien. On va se partager cette pizza, je pense ?? C?est effectivement une bonne idée.En allant chercher des couverts à la cuisine, je suis en train de me dire qu?elle est en fait très sympathique, charmante et assez mignonne. Exactement le contraire de ce qu?elle est en classe. Allez comprendre ! Je reviens rapidement et la retrouve assise en tailleur sur mon canapé, regardant la pizza d?un air affamé. Je m?assois à côté d?elle, et nous commençons à manger cette délicieuse nourriture.? C?est la première fois que je mange chez un de mes élèves.? C?est la première fois qu?un enseignant mange chez moi.Nous rigolons tous les deux devant le comique de la situation, avant qu?elle ne reprenne :? Vous savez, je suis avant tout étudiante moi aussi ! On n?a que quelques années d?écart, je pense !? Vous avez quel âge ? Enfin si ce n?est pas indiscret !? Pas de problèmes ! J?ai vingt-six ans. Et vous dix-neuf, c?est ça ?? Ouais, c?est ça, dis-je songeur, trouvant que l?écart d?âge est tout à fait surmontable. J?avais raison sur votre âge !? Pourquoi, vous avez débattu de cette question avec vos turbulents camarades ? répond-elle amusée et un peu gênée.? Oh ben oui, vous savez, quand on? Euh enfin on parle de tout quoi !? Vous alliez dire :? Quand on s?ennuie, je me trompe ? dit-elle d?un air inquisiteur.? Euh? Non pas du tout.? Roh, soyez au moins honnête, je sais bien que mon cours n?est pas palpitant, dit-elle vraiment déçue cette fois.Comme tout gentleman qui se respecte, quand j?ai une jeune femme à côté de moi qui manifeste sa déception, j?ai envie de la consoler. Mais alors que je m?imaginais faire mille et une choses avec elle il y a quelques minutes, il apparaît beaucoup plus compliqué que prévu de s?approcher d?elle. Je parviens juste à poser ma main sur son épaule et lui dire :? Ne dites pas ça. Il doit bien y en avoir quelques-uns qui écoutent ! Tout le monde n?est pas comme moi !Ma remarque est tellement franche qu?elle ne peut s?empêcher de sourire.La discussion continue sur les autres enseignants que j?ai cette année tandis que nous finissons cette succulente pizza. C?est alors que j?entends un grand bruit venir de ma chambre.? Ça, ça c?est indubitablement le son d?une guitare qui tombe par terre. Je crois bien qu?elle tient en équilibre depuis ce matin faut dire.? Eh bien, allez la ramasser !? Oh, elle n?ira pas plus bas. À moins que vous vouliez que je vous improvise un air et que vous me dansiez quelques pas de jazz, lui dis-je en plaisantant.? J?aurais l?air ridicule vous savez, me répond-elle en rigolant.? Arrêtez de vous dévaloriser, c?est typiquement féminin, ça !? Ça y est, encore un macho.Ce petit échange de piques est très sympathique. Je trouve ma prof de plus en plus charmante au fur et à mesure que la soirée avance.? Excusez-moi. Vous allez peut-être dire que j?abuse de votre bonté, mais. Est-ce que je pourrais prendre une douche ? me demande-t-elle gênée.? Oui, oui, y?a pas de problèmes. Y?a du gel douche, tout ce qu?il faut. Prenez donc une serviette dans le placard, réponds-je en essayant de rendre mon regard le moins lubrique possible.? Ok, je vous remercie, vraiment.? Non mais de rien ! J?essayerai de ne pas venir vous déranger cette fois, dis-je à contrec?ur.? Vous ne rateriez pas grand-chose de toute façon, me dit-elle d?une voix complexée, mais avec aussi une pointe d?amusement ? ou de provocation ?? Dévalorisation féminine.Elle me sourit et lève les yeux au ciel avant de disparaître dans la salle de bains. Elle doit se glisser rapidement sous l?eau chaude de ma douche, puisque j?entends l?eau couler abondamment. C?est assez amusant de se dire que la prof d?histoire des religions, que je détestais potentiellement il y a encore quelques heures, est actuellement toute nue dans MA douche. Je repense à cette belle paire de seins ent****rçue furtivement tout à l?heure. S?apercevrait-elle de quelque chose si j?allais espionner discrètement en entrouvrant la porte ? Je me rends compte, que d?une manière assez inexpliquée, j?ai effectivement envie d?elle.J?essaye de me changer les idées en regardant quelques clips de pop sur une chaîne musicale. Au bout de quelques minutes, ma chère prof ressurgit à l?intérieur de mon salon, entièrement revêtue, malheureusement.? Ça va mieux ?? Oh, rien ne fait plus de bien qu?une bonne douche !? Oh, sûrement que si.? C?est-à-dire ?? Euh, j?disais ça comme ça ! me rendant compte que mes propos pouvaient être mal interprétés. Je vais aller faire comme vous, je crois. À tout de suite.Je m?éclipse à mon tour dans la salle de bains, me déshabille rapidement et fonce dans la douche me calmer les esprits. C?est ta prof. Elle est fiancée. Croyante. Elle n?a sûrement jamais rien fait de sa vie. Mais d?autres images surgissaient. Ses lèvres s?approchant des miennes. Mes mains caressant ses seins. L?eau chaude glisse sur son corps. Mon sexe durcit sous la douche. Je me retiens de m?adonner à une petite séance de plaisir. Je devrais peut-être sinon je ne vais pas dormir de la nuit, si elle reste ici.Je sors de ma douche. Je me rhabille. Et je retourne dans le salon. Elle est évidemment toujours là, et en fin de compte, toujours aussi séduisante.? Si je peux me permettre, vous avez reçu un message, dit-elle en pointant du doigt mon téléphone sur la table basse.Je le prends. Mon pote m?a répondu :« Vraiment ? T?es sûr que tu ne frises pas la faute de goût ? »Je lui réponds rapidement :« Vraiment, et elle dort chez moi ce soir, et je te promets que j?ai de bons goûts. Plus de détails demain : -P »? Vous avez peut-être envie d?aller dormir ? lui dis-je, plein d?attention.? J?avoue que je suis assez claquée. Je ne dors pas beaucoup en ce moment. En plus, mon fiancé vient dormir chez moi une nuit sur deux, me dit-elle d?un air presque blasé.? Tant que vous ne faites que dormir, il y a rien de fatigant.À l?instant même où je finis de dire cette phrase, je me rends compte que je viens de dépasser la ligne de la bienséance.? Pardon ? me demande-t-elle d?une voix oscillant entre l?offus**tion et la moquerie.? Euh, simple trait d?humour un peu déplacé, désolé, dis-je piteux.? Oh, il ne faut pas, répond-elle en riant.Femme qui rit, femme au lit ? Ce petit proverbe macho me revient à l?esprit et me fait rire.? Qu?y a-t-il ? me demande-t-elle.? Non rien, je repense à un truc. Enfin je veux dire, excusez-moi si je suis déplacé. Mais vous êtes croyante, non ?? Euh oui, effectivement, me répond-elle dubitative. Ça vous pose un problème ?? Non, pas du tout, dis-je écarlate.? Ah je crois que je comprends le rapport, dit-elle un sourire éclairant son visage. Vous pensez peut-être qu?étant croyante, et seulement fiancée, que je n?ai pas encore goûté aux joies de la chair ?Je ne peux m?empêcher de balbutier.? Ne vous inquiétez pas pour moi, la religion évolue, jeune homme ! me répond-elle malicieuse.? Ah bon? Je suis content pour vous alors ! Bien. Si vous voulez que je prépare votre lit, vous pourriez vous lever ?? Ah oui, bien sûr, je vais vous aider. Naturellement, cette petite conversation n?ira pas s?ébruiter dans les couloirs de la fac ? me dit-elle sérieusement.? Naturellement, lui dis-je de mon air le plus innocent possible.Nous préparons alors son lit. Elle a l?ingénieuse idée de se pencher un peu en avant en m?aidant pour les draps. Quelle merveilleuse poitrine ! Je contemple. Je contemple mais elle relève la tête vers moi. Je suis magnifiquement rodé.? Que regardez-vous ?? Euh?? Vous êtes loin d?être discret à dix-neuf ans, dit-elle mi-exaspérée mi-amusée, en se mettant à genoux sur le canapé-pas-encore-lit.Comment puis-je encore résister ? Sans prendre vraiment le temps de réfléchir, je me dis qu?il faut absolument que je tente quelque chose, comme si j?étais sûr qu?elle ne pouvait pas me dire « Non ».? C?est un fait. Enfin. Faut dire.Je m?approche d?elle petit à petit. Je la regarde dans les yeux. Je remarque que ses petites noisettes sont beaucoup plus malicieuses que ce que j?imaginais. Dans quelques instants, soit je corromps mon enseignante d?une manière fort agréable, soit elle m?en retourne une et ma réputation est foutue dans toute la fac. Mais en même temps? Moi, beau jeune homme de dix-neuf ans, elle, jeune enseignante. Tous les deux seuls chez moi. Je continue alors d?avancer. Je me retrouve alors à genoux, face à elle, proche d?elle.? Que vous êtes quand même?Mes mains semblent avancer d?elles même sur ses hanches. Tout comme mes lèvres de son visage. Je sens son souffle sur ma bouche. Tout se passe très vite. Elle ne bouge pas, j?aimerais bien qu?elle ait quand même un quart de réaction pour savoir ce que j?ai à faire. Tant pis, je ne peux plus faire marche arrière.? ? assez séduisante.Alors, la tenant fermement et doucement à la fois par les hanches, sentant ses seins frôler mon torse, j?approche délicatement mes lèvres sur les siennes pour un furtif petit baiser.? Euh, je vous arrête tout de suite. Euh non, je reste votre enseignante. Et je suis fiancée, je vous rappelle, je dois me marier l?année prochaine. Ça ne serait vraiment pas bien, dit-elle très rapidement.? Votre hiérarchie n?en saurait rien. Et vous avez dit vous même que la religion évoluait, lui dis-je en m?éloignant un petit peu mais en la tenant toujours par les hanches.J?y suis allé peut-être un peu rapidement, mais je ne pouvais plus m?arrêter. Contrairement à ce qu?elle dit, je vois bien qu?elle en meurt d?envie, elle aussi. Je ressens ce genre de choses.? C?est même plus une question de religion, mais juste de fidélité par rapport à mon fiancé, continue-t-elle de plus en plus fébrile. S?il vous plaît, lâchez-moi, dit-elle en essayant de se débattre faiblement.? Juste une fois. Vous allez vous marier l?année prochaine ? Profitez-en une dernière fois avant, non ? dis-je, convaincu qu?elle ne se défendra pas longtemps.? Ça fait six ans que je suis avec lui et je l?aime, vous comprenez cela ? me dit-elle d?une voix qu?elle veut autoritaire, comme en cours. En vain.? C?est le seul partenaire que vous ayez eu ?Ma main gauche toujours sur sa hanche, la droite remonte tout doucement sur son ventre. Elle n?ose pas me répondre tant qu?elle n?est pas sûre que ma main aille là où elle pense qu?elle va aller. Effectivement, je commence à effleurer sa poitrine du bout des doigts. Je rapproche ma bouche de son visage. Je dépose un minuscule baiser au coin de ses lèvres, puis un autre sur la joue, puis un dernier qui vient se poser dans son cou, en dessous de son oreille pendant que ma main droite continue de caresser lointainement son sein gauche.? Alors ? lui dis-je doucement à l?oreille.? Oui, c?est le seul. Arrêtez-ça, dit-elle fébrilement en référence aux petits baisers qui continuent de rencontrer son cou. J?ai toujours craint qu?un jour un élève veuille. Enfin, vous comprenez.? Qu?est-ce que vous craigniez ? J?ai l?air de quelqu?un qui va vous faire du mal ? lui dis-je pour la rassurer en la regardant dans les yeux.? Non, justement, soupire-t-elle.Je défais le premier bouton de sa chemise, puis le deuxième, laissant ainsi mon regard se faufiler un peu plus librement sur sa poitrine, avant de la reprendre de nouveau par les hanches. Elle a l?air franchement gênée, mais elle n?essaye plus de se soustraire à mes avances. Elle résiste beaucoup moins que ce que j?avais prévu. Comment une petite prof timide et d?apparence prude peut se laisser faire si facilement ? J?ai un peu de mal à réaliser ce qui se passe, mais je sais que je n?ai pas envie que cela s?arrête.? C?était pour ça que vous vous montrez désagréable en cours ? De peur que l?un d?entre nous tombe amoureux de vous ?? Oui, avoue-t-elle en évitant mon regard.Paradoxalement, alors qu?elle est plus âgée que moi et qu?elle est censée exercer une certaine autorité sur ma personne, j?ai clairement l?impression que je la domine, comme si c?était moi qui allait l?éduquer, ce soir. Très agréable changement des rôles.? Donc, vous êtes consciente que vous pouvez séduire. C?est paradoxal, tout cela, lui fis-je remarquer d?un air amusé.? Oh, à votre âge, vous pourriez draguer n?importe quoi? dit-elle désemparée.? Vous n?êtes vraiment pas n?importe quoi. Ces lèvres, ces seins. Je vous imagine très douce, très sensuelle, câline, avec peut-être une petite dose de folie, allez savoir, lui dis-je en caressant sa poitrine de ma main droite et en la rapprochant de moi de l?autre.? Vous dites n?importe quoi, dit-elle, le rouge de ses joues trahissant l?effet de mes compliments.Ma bouche est prête à frôler la sienne, tandis que je déboutonne un peu plus sa chemise, révélant ainsi parfaitement ce délicat sillon inter mammaire le long duquel je fais glisser mon doigt. Elle est à ma merci.? Une fois dans votre vie. Je prendrai soin de vous. Vous ne le regretterez pas. Maintenant, si vous voulez que j?arrête et qu?on n?en reste là, il suffit de dire « stop », et j?obéirai, dis-je cruellement.Tout en lui disant cela, j?ouvre le quatrième bouton de sa chemisette, maintenant à moitié défaite. Je glisse alors doucement mes mains à l?intérieur. Mes paumes se retrouvent rapidement à englober ses deux beaux seins chauds et doux. La dentelle frôle mes doigts, ses tétons pointent timidement en-dessous de mes mains. Je réalise que je suis en train de caresser la poitrine de ma prof d?histoire des religions, ce petit côté tabou m?excite encore plus. Sa peau est tiède, lisse, attend mes baisers. Je masse doucement ses seins par-dessus son soutien-gorge, l?amenant là où elle ne peut plus dire « non ».? Comment veux-tu que je t?arrête ? dit-elle vraiment troublée. Je ne peux pas reculer, maintenant.Elle vient de briser la barrière du tutoiement. Gardant ma main droite sur sa poitrine, j?entreprends de déboutonner le reste de sa chemise de l?autre main. Tout doucement, cherchant son regard des yeux. Ma main gauche glisse doucement sur son ventre, jusqu?à sa hanche. Sa peau est très douce. Cela donne irrémédiablement envie de l?embrasser longuement. Dire qu?il y a quelques heures, je ne la trouvais pas spécialement attirante. Elle cachait bien son jeu.? Tu le peux, sincèrement, lui dis-je d?une manière étrangement tendre. Je ne t?oblige à rien. J?ai juste envie de toi, de te donner du plaisir. Qu?on passe un bon moment tous les deux.Elle passe alors ses bras autour de mon cou, appuyant son front contre mon épaule gauche.? T?en as envie ? lui dis-je une dernière fois.? Évidemment que j?en ai envie, finit-elle par capituler.Redressant la tête et me regardant dans les yeux avec un regard brûlant, elle approche sa bouche de la mienne et fait glisser sa langue entre mes lèvres. Nos langues s?enroulent sensuellement l?une autour de l?autre, longuement. Victoire. Nos lèvres ne se quittent pas tout le long de ce baiser. J?étais certain qu?elle embrassait merveilleusement bien. Merveilleuse petite prof. J?ai du mal à quitter sa bouche. Elle m?embrasse comme si elle avait oublié toutes les barrières qui existaient entre nous.? J?ai envie de toi.Ces mots sortant de sa bouche. Avec ce regard de braise. À cet instant, je me demande s?il existe quelque chose de plus excitant. Alors, elle bascule en arrière, en une petite pirouette se retrouve allongée sur le dos, devant moi, les cuisses écartées, sa chemisière rouge défaite, son soutien-gorge en dentelle apparaissant largement à mon regard. Elle a un regard étonnamment aguicheur. Comme si tous ses doutes s?étaient évanouis durant notre baiser. J?avance prudemment vers elle, à quatre pattes. Quels seins ! Ma bouche plonge sur sa poitrine, embrasse sa dentelle. Ses tétons semblent durcir sous mes baisers. Ma langue glisse entre ces deux seins doux et fermes jusqu?à la base de son cou, avant que ma bouche ne remonte jusqu?à ses lèvres. Je m?allonge sur elle, doucement. Elle passe ses bras autour de mon cou, me caresse les cheveux. Elle referme ses cuisses autour de mon bassin, mon sexe dur s?écrase entre ses cuisses. Je sens ses seins contre mon torse. Je mets mes mains autour de son visage, lui caresse les joues, le front, les cheveux. Comment n?ai-je pas pu remarquer plus tôt à quel point elle était désirable ? Nos lèvres se joignent à nouveau dans un baiser langoureux, sa langue est douce, tiède et habile, elle joue avec ma langue, mes lèvres.? Tu mérites d?être comblée, tu sais.? Alors, vas-y, te gêne pas, me dit-elle droit dans les yeux, sans détour. Je suis toute à toi.C?est elle qui me déstabilise cette fois-ci.? Je pense qu?il va se passer un truc sympa qui nécessite un meilleur lit que celui-ci. Dans ma chambre.? Il suffit juste que je fasse attention à ta guitare en y allant ?? Je vais t?y emmener, ma belle.Je dépose un dernier baiser sur ses magnifiques petites lèvres, puis me relève, la prends dans mes bras et la porte jusqu?à mon lit, dans la pièce voisine. Cela semble l?amuser et l?exciter à la fois. Je l?allonge sur le dos. Elle est extrêmement désirable. Tout en elle, à cet instant, semble appeler à la débauche.? T?oublieras jamais ce moment, je te le promets, lui dis-je dans un sourire? Arrête de parler et occupe-toi de moi, me lance-t-elle, délicieusement provocante et tellement déroutante par rapport à ce que je connaissais d?elle.Elle écarte sa chemise doucement, me dévoilant entièrement cette belle dentelle rouge cachant sa magnifique poitrine. Elle fait glisser négligemment le bout de ses doigts sur ses seins, en se mordillant la lèvre. Il n?est plus question illegal bahis de moine écossais, de liturgie catholique ou de mariage l?année prochaine : elle est prête à s?abandonner totalement à moi.Je déboutonne ma chemise, sans me précipiter. Ses yeux me lancent un regard appréciateur. Elle attend que je vienne l?embrasser, que je m?occupe de ces seins. Je décide de la faire languir un petit peu. Dans ma pièce éclairée indirectement par la lumière du salon, je pense qu?elle discerne très facilement la bosse qui déforme à présent mon pantalon. Je jette ma chemise à travers la pièce et m?approche alors lentement sur le lit. À genoux. La fixant toujours des yeux. Puis je me penche doucement en sa direction, de façon à embrasser son nombril et à remonter très doucement en direction de ses seins. Je place mes mains de part et d?autres de ses hanches, dépose quelques baisers sur son ventre avant de taquiner son nombril de quelques coups de langues. Je la sens frissonner légèrement.Mes baisers parcourent sa peau et remontent tout doucement au même rythme que mes mains sur ses hanches. Je prends mon temps, savoure le contact de ma bouche sur sa peau. Elle passe négligemment sa main dans mes cheveux. Le temps semble s?arrêter quand enfin je saisis ses seins entre mes mains. Et ma bouche arrive jusqu?à cette belle pièce de lingerie que je rêve pourtant de lui retirer. Elle passe ses bras en arrière et att**** les barreaux du bout de mon lit. Formidable mouvement qui met particulièrement sa poitrine à son avantage. Elle me fixe avec son regard brûlant, et un petit sourire au coin des lèvres ; un sourire qui en dit long sur ses intentions, un sourire coquin comme je les aime. Mes mains tenant toujours fermement ses seins, je replonge mon visage vers son ventre et fais glisser ma langue depuis son nombril, lentement jusqu?à son cou, goûtant son corps délicieux. Je savoure, elle aussi. Arrivant au niveau de son cou, je m?allonge doucement sur elle. Elle doit sentir mon sexe buter contre le sien. Elle est entièrement à ma merci. Elle semble le savoir et apprécier.Mes lèvres rejoignent les siennes tandis que mes mains partent se positionner autour de sa tête. Elle sourit légèrement et ferme doucement les yeux, comme le fait toute femme s?apprêtant à recevoir un délicieux baiser. Encore une fois terriblement séduisante. Ma langue finit par s?immiscer entre ses lèvres et trouve rapidement la sienne. Sa langue rentre et sort de ma bouche dans un ballet très sensuel. Je la regarde tenir toujours fermement les barreaux en bois de mon lit. Cela me donne une idée. Accepterait-elle ?Déposant un dernier baiser sur lèvres tièdes et humides, je me relève doucement et me redresse.? Tu vas où ? me demande-t-elle un peu déçue.Tout en allant jusqu?à mon placard, je lui fais signe d?attendre deux petites secondes. J?ouvre mon étagère, en sort un foulard rouge et retourne vers mon amante du soir. Elle s?est entre-temps redressée, sur ses genoux, se tenant sur les mains, légèrement en arrière. Elle me regarde d?un air surpris mais intéressé. Je me redirige vers elle et me mets à genoux autour des siens, très proche d?elle. Je la regarde droit dans les yeux, prend son visage entre mes mains. Nous échangeons encore un baiser langoureux pendant lequel je fais glisser doucement sa chemise défaite sur ses épaules. Tout en ne quittant pas mes lèvres, elle réussit à la faire glisser le long de ses bras et à la retirer. Puis à l?envoyer valser à l?autre bout de la pièce.Ma prof est tout contre moi, je sens la chaleur de son ventre et de ses seins contre mon torse. Seul reste son soutien-gorge. Je la reprends par les hanches. La contemple et lui sourit. Ses mains se dirigent vers mon torse, glisse sur mon ventre.? Vous êtes vraiment un beau jeune homme, cher élève, me dit-elle en continuant de faire glisser ses mains sur mon corps.? Et vous êtes une charmante enseignante, madame, lui dis-je en retour, la faisant rougir encore un peu plus.Posant mon foulard à côté, mes mains glissent doucement depuis ses hanches jusque sur son dos, remontant lentement jusqu?à son soutien-gorge, pendant qu?elle continue de me parler de sa petite voix à la fois timide et provocante :? Je crois que vous n?avez peut-être pas tout à fait saisi mon topo sur les sept péchés capitaux.? Effectivement, j?ai beaucoup de mal à m?inquiéter des conséquences que peut avoir la luxure, lui réponds-je d?une voix tout autant pleine de sous-entendus.Je commence à arriver à son soutien-gorge et le dégrafe très lentement, pendant que notre petit jeu de rôles se poursuit.? Cela mérite probablement une sanction. Ainsi que pour votre insolence, continue-t-elle taquine.? Je ne crois pas, lui dis-je d?un air faussement désolé. En réalité, c?est plutôt vous qui allez être punie. Pour m?avoir fait tant souffrir en cours.? Et qu?allez-vous me faire ? Me manger ?? C?est effectivement plus que probable, lui dis-je dans un sourire.À ce moment, j?achève de dégrafer son soutien-gorge dont elle att**** aussitôt les bretelles pour les faire glisser le long de ses bras nus. Lentement. Quand ses bretelles arrivent au bout de ses bras, elle se plaque contre moi, s?avançant vers moi, joueuse, afin de me cacher ses seins nus quelques secondes de plus.? Tssss tsss patience, jeune homme ! me dit-elle en plaquant ses lèvres contre les miennes.Pour toute réponse, mes mains bifurquent très rapidement sur ses seins que je caresse doucement. Ils sont magnifiques, doux, ses tétons roulent entre mes mains. Elle arrête de vouloir m?embrasser et se recule légèrement, me laissant contempler cette belle poitrine. Doucement, je les pèse, les masse, les caresse. Je joue furtivement avec ses tétons. Elle ferme les yeux, penche la tête en avant, se mordille la lèvre. Ma prof a des seins exceptionnels. Je me penche pour l?embrasser quand soudain, je remarque ses mains s?agitent. Et je vois rapidement, glisser de son annulaire, sa bague de fiançailles. Je n?ai même pas le temps de constater à quel point ce geste m?excite qu?elle est déjà en train de m?embrasser à pleine bouche, ses bras autour de mon cou, les miens autour de son ventre, ses seins butant contre mon torse. Je sens alors sa main droite caresser la bosse sur mon pantalon. Elle n?est pas vierge, mais ça doit faire longtemps qu?elle n?a rien fait. Comment peut-on laisser une femme pareille en manque ?? Attache-moi, me susurre-t-elle à l?oreille aussitôt que notre baiser s?achève.Imagine-t-elle à quel point elle m?excite à ce moment ? Je ne peux pas ne pas lui obéir. Je m?écarte alors, la laisse s?allonger rapidement. Elle passe ses bras derrière sa tête, les poignets l?un contre l?autre, me priant presque de l?attacher. À califourchon autour de son ventre, je me penche alors, att**** ses mains, les approche d?un barreau et noue fermement mais doucement mon foulard autour de ses poignets.Je me recule alors à genoux afin de regarder ce chef d??uvre scandaleux : ma prof, à moitié nue, attachée aux barreaux de mon lit, me suppliant du regard afin que je vienne m?occuper de ses seins. Et quels seins ! Ronds, généreux, les tétons légèrement dressés. Ça va vraiment pouvoir commencer.Je m?approche alors lentement d?elle, prenant mon temps. Le désir se lit clairement dans ses yeux. Moment tellement excitant. Il y a quelques heures, cette femme me laissait totalement indifférent, et maintenant, je m?apprête à aller embrasser ses seins, son corps, son intimité. Je baisse alors la tête tout doucement sur son buste. Ma bouche est à quelques centimètres de son sein droit. Ma main droite remonte tout doucement sur son sein gauche. Mes lèvres frôlent son téton une première fois, puis une seconde fois avant de glisser sur le reste de cette magnifique création féminine. Ma main droite commence à jouer avec son autre sein, mes doigts font de petits cercles lents autour de son téton qui durcit au fil de mes caresses. Je relève juste la tête pour regarder son visage, elle a les yeux fermés, sa lèvre inférieure toujours légèrement pincée. Plus bas, ses cuisses semblent se frotter l?une contre l?autre. J?imagine sa frustration d?avoir les mains liées.Ma langue commence à glisser timidement sur son sein, en cercles concentriques se rapprochant inexorablement de son téton, tandis que ma main caresse son autre sein de manière un petit peu plus insistante. J?apprécie la chaleur, la texture, le goût de la peau de cette petite prof. Je prends alors son téton entre mes lèvres, et lui inflige quelques délicates pressions tout en le stimulant du bout de la langue. Je le tête, le suce, fait tourner ma langue autour, appuie légèrement dessus. Son autre téton continue de se dresser sous ma main, j?estime qu?il a lui aussi le droit de recevoir quelques baisers. Je me place à califourchon sur mon enseignante, l?empêchant ainsi de remuer les cuisses comme elle commençait à le faire. Je me penche, le visage au niveau de ses seins. Je sens son ventre chaud sous mon torse, le rythme de sa respiration qui augmente progressivement. Mes caresses tactiles se concentrent maintenant sur son sein droit tandis que ma bouche plonge sur l?autre, le léchant, le suçant, le goûtant. Ma langue joue avec son téton, ne parvient pas à le quitter tellement le contact est agréable. Mes mains remontent sur ses seins, les caressent, tandis que ma langue glisse de l?un à l?autre. Je fais rouler ses tétons entre mes doigts, entre mes lèvres.Je suis là, dans ma chambre, en train de lécher les seins de ma prof, et je sais que je ne vais pas longtemps pouvoir m?en contenter. J?ai envie de sentir ses seins sous mon torse pendant que je serais en train de me fondre dans son bas-ventre, envie de les prendre dans mes mains pendant qu?elle serait à quatre pattes en train de sentir mon sexe entrer et sortir de son corps bouillant d?excitation. Ces images défilant dans ma tête m?excitent davantage, je m?occupe de ses seins avec plus d?ardeur, les malaxant et les mordillant légèrement. Ma prof a toujours les yeux fermés, sa respiration s?accélère, je sens ses cuisses vouloir se libérer de mon emprise. Tout en continuant de lécher sa poitrine, je me demande à quoi elle pense à ce moment. Se sent-elle coupable ? L?interdit ? le double interdit, même ? l?excite-t-elle davantage ? Son futur mari ne peut pas s?imaginer que sa promise est en train de coucher avec un de ses élèves, un de ses élèves perturbateurs qui l?énervent prodigieusement, mais qui au fond, elle doit se l?avouer à elle-même, l?attirent follement.Je me relève doucement et m?approche de son visage. Ma main droite continue de caresser alternativement ses seins. Ma bouche s?approche de la sienne. Sans qu?elle ouvre les yeux, sa langue se faufile entre mes lèvres, presque sauvagement. Nous nous embrassons de manière passionnée, nos langues dansent ensemble comme mon index et mon majeur avec son téton. Elle entrouvre les yeux et nous cessons de nous embrasser. Ma main a commencé à quitter sa poitrine et à glisser lentement le long de son ventre. Elle me fixe dans les yeux, consciente de la direction que je prends. Mais rien dans son attitude ne signifie qu?elle ne veut pas aller plus loin. Au contraire, son regard semble m?encourager. Son corps frissonne au moment où je passe sur son nombril. Ses lèvres frôlent toujours les miennes, quand enfin ma main arrive au niveau de son jean. Déposant un dernier baiser sur ses lèvres humides, ma bouche commence à glisser le long de son cou. Mon pouce et mon index parviennent à vaincre le bouton de son pantalon. Mes baisers rejoignent ses seins. Les lèchent doucement, calmement, tandis que mes deux doigts saisissent la tirette de sa fermeture éclair. Ma bouche quitte ses seins et s?aventure sur ses hanches, sur son ventre. J?alterne entre baisers et petits coups de langues.L?atmosphère de la pièce est pleine de chaleur, de sexualité, de tabou, d?excitation. Le temps semble s?arrêter. Doucement, je fais descendre sa fermeture éclair jusqu?au bout, tout en continuant mes caresses buccales sur ses hanches. Mes doigts reposent sur le bas-ventre de ma prof. Sans jeter de coup d??il pour l?instant, je sens au toucher qu?il s?agit encore de dentelle. Un shorty peut-être. Je dois me retenir pour ne pas aller voir immédiatement ce dont il s?agit. Je veux y aller doucement. Mais quand même? Comment une fille d?apparence si quelconque, si timide, peut-elle s?acheter de la lingerie comme celle-ci ? Comment pouvais-je imaginer la coquine qui se cachait sous cette façade si catholique ?N?y tenant plus, je me lève, me tiens debout au pied du lit. Ma prof, attachée les bras en arrière, se mordillant toujours la lèvre, un air provocateur en ma direction, les seins humides et les tétons dressés, le pantalon défait, attendant que je lui retire cet obstacle à notre plaisir charnel. Je saisis son pantalon par la taille, elle redresse légèrement le bassin afin que je puisse faire glisser ce jean sous ses fesses. J?entre-aperçois ce tissu de dentelle rouge cachant à mes yeux les délices de sa féminité. J?ai déjà tellement envie de l?embrasser, de le visiter. Elle étend ses jambes et je fais descendre son jean progressivement. Je suis en train de déshabiller ma petite prof. J?avais raison. C?était bien un shorty. Terriblement sexy et absolument pas chrétien. Ses cuisses nues? diaboliquement sensuelles.C?est à peine si je m?aperçois que j?ai fini de lui retirer son pantalon. Ma prof, seulement vêtue d?un shorty est dans mon lit. Elle écarte largement les cuisses, outrageusement. Ce sexe, à portée de mes caresses, de mes baisers, de ma virilité. Ma prof lance un coup d??il en direction de la bosse de mon pantalon. Je comprends tout de suite, et retire ce jean, ni trop rapidement, car j?ai envie de la frustrer encore un petit peu, ni trop lentement, car je suis pressé de goûter à sa féminité. Je me retrouve en boxer, sous ses yeux, sous ces cuisses qui n?attendent que moi, ce corps presque nu que je n?aurais pas pu espérer posséder si certaines barrières n?avaient pas été auparavant détruites.Les genoux sur le bord de mon lit, fasciné par le regard excité et provocateur que me lance ma prof presque nue, je commence à baisser doucement la tête en direction de ses cuisses. Mon visage s?approche petit à petit de ses cuisses. Mes lèvres les frôlent, repartent, reviennent. J?essaye de la faire languir mais j?ai moi-même beaucoup de mal à ne pas me jeter sur elle. Je commence à l?embrasser à mi-cuisses. Je sens cette peau intime sous mes lèvres, cette peau tiède et ferme. Je commence à sentir cette odeur caractéristique de femme excitée, cette odeur terriblement excitante, cette odeur de sexe. Toujours au niveau de ses cuisses, ma langue commence à glisser entre mes lèvres. J?ai envie de la goûter, de la lécher. Mes bras glissent sous ses cuisses et mes mains se positionnent en bas de ses hanches. Je relève la tête et la contemple, toujours attachée, les yeux maintenant fermées, les lèvres pincées, attendant que je la déshabille complètement.Mes baisers remontent progressivement le long de ses cuisses, ma langue glisse furtivement sur sa peau. Très rapidement ma bouche parvient au dernier bout de tissu me séparant de son intimité. Ma langue vient buter contre cette dernière barrière. Je m?avance légèrement. Mon visage est totalement en face de ce shorty rose qui ne demande qu?à être arraché. Mon nez, ma bouche viennent se poser à l?endroit où se trouve son sexe. Je le sens, je le respire, je l?embrasse par-dessus le tissu. Je sens ma jeune enseignante frissonner lors de ce premier baiser. Je ne sens pas que de la dentelle sur ma bouche, je sens ses lèvres intimes en-dessous, je devinerai presque son clito. J?ai tellement envie de plonger ma langue entre ses lèvres, la faire gémir, l?avaler, lécher cette petite chatte qui ne m?était pas destinée. Je sens cette douce chaleur sous mon visage, ma main droite glisse sur ses fesses et vient se poser sur son minou. Ma prof est chaude, ma prof est vaincue.Je devrais me relever, et enlever son shorty. Mais je n?ai pas envie de lui donner ce plaisir maintenant. J?ai envie de la faire attendre, de lui faire désirer cet adultère immoral encore un petit peu. Je me redresse, afin de mieux m?allonger précautionneusement sur elle. Mon sexe bandé dans son boxer bute férocement entre ses cuisses. Ses seins s?écrasent sous mon torse. Je sens sa respiration augmenter, la chaleur de sa peau contre la mienne. Un étudiant et sa jeune prof, presque nus, l?un sur l?autre. Je prends ma tête entre mes mains. Ma bouche contre la sienne, je lui murmure :? Si j?avais imaginé que t?étais si coquine, si sexy, je serais allé plus tôt vers toi.Je sens ses cuisses se refermer autour de mon bassin. Mon sexe me fait presque mal à force de buter contre son bas-ventre.? Il fallait venir, me dit-elle dans un souffle.? C?est vrai ça ? Tu fantasmes sur tes étudiants ? T?imagines si ça se savait ? Tu as intérêt à être une merveilleuse amante. Mais j?en doute pas une seconde, ne t?inquiète pas.Je dépose un baiser sur ses lèvres, avant de me dégager de son étreinte. Je la sais à ma merci, prête à tout.À genoux à côté d?elle, je la contemple. Elle me regarde, se demandant ce que je vais lui faire. Ma main gauche se dirige alors vers son visage, l?index tendu. Je le fais glisser le long de ses lèvres humides. Elle entrouvre la bouche et aspire mon doigt sans même que je ne la force. Mon doigt pénètre sa bouche. Je sens sa douce langue chaude glisser autour de mon doigt, l?enrouler, le sucer. Elle titille le bout. Je sais que ce n?est qu?un avant-goût. Elle m?a l?air expert en gâteries. Elle suce mon doigt d?un regard faussement innocent, comme une enfant sucerait une Chupa-Chups. Elle est à craquer. Et à croquer.Mon autre main a également envie de visiter d?autres lèvres. Ma main glisse rapidement sur son ventre. Je la sens suffisamment chaude pour ne pas perdre encore plus de temps en préliminaires. Ma main se fixe à son entrejambe, mon index et mon majeur s?unissent le long de sa fente encore vêtue et s?appliquent à réaliser quelques petites pressions sur son minou. Doucement, pour ne pas lui faire mal. La sentant relaxée, continuant de sucer négligemment mon doigt, mes doigts s?activent un peu plus énergiquement. Je la sens frissonner timidement. Je retire mon doigt de sa bouche. Tout en la masturbant légèrement, je me demande si elle-même se laisse aller à quelques séances d?onanisme. Je l?imagine, jeune adolescente dans un internat pour jeunes filles, le soir dans son lit, glisser sa main à l?intérieur de son pyjama pour s?adonner à de coupables caresses. Ou peut-être même, mon imagination s?emballe, qu?elle et ses petites camarades de dortoir s?entraidaient pour parvenir au plaisir, à l?insu des s?urs ne les surveillant plus à ces heures avancées de la nuit. Serait-il obscène d?imaginer deux ou trois jeunes filles d?un internat catholique découvrir le corps de leurs copines à l?aide de leurs doigts et de leurs bouches aventureuses. Ma petite prof aurait-elle découvert les joies du sexe pour la première fois avec une autre fille ?Cette perspective m?excite encore plus. Mes doigts continuent de s?agiter sur son shorty. Est-ce moi ou deviendrait-il timidement humide ? Je décide alors de m?allonger sur le flanc, à ses côtés. Ma main droite remonte sur son ventre, sur ses seins toujours aussi charmants. Nos langues se rejoignent dans un nouveau baiser pendant que ma main caresse doucement ses seins. Avant de redescendre sur son ventre, sur son nombril. Mes doigts parviennent de nouveau à son shorty, sauf que cette fois, ils glissent à l?intérieur de celui-ci. Sa peau est encore plus chaude que sur le reste de son corps. Je sens ses lèvres sous mes doigts. Lisses. Cette petite coquine s?épile le maillot. Continuant de l?embrasser langoureusement, mon index et mon majeur s?unissent de nouveau pour caresser directement son petit minou. Je sens son clito glisser sous mes doigts qui commencent à s?agiter entre ses petites lèvres. Je la fouille doucement. Dire que je suis en train de caresser la chatte de ma petite prof d?histoire des religions. Elle est chaude, humide, sa mouille imprègne mes doigts comme sa salive imprègne ma langue.Tout en continuant de caresser son intimité, je lui susurre :? Tu sais quoi ? J?ai très envie de t?embrasser partout. Mais j?ai envie de te punir un peu.Elle me regarde, un peu ailleurs, gémissant timidement à mes caresses.? T?es une prof un peu dure des fois. Alors. Je vais te détacher. Et c?est toi qui va mener le jeu maintenant.Je fais doucement glisser son clito entre mes doigts, ce qui ne facilite pas son élocution.? Ok. Détache-moi, commence-t-elle en respirant fortement. Mets-toi sur le dos. Et obéis à ton enseignante.Je ne me fais pas prier. Mes doigts quittent sa petite grotte sexuelle. Je défais le foulard attaché à ses poignets, le jette à terre, la regarde dans les yeux. Et m?allonge pendant qu?elle se relève. Je suis sur le dos. Mon sexe bande toujours terriblement dans mon boxer. Je suis pressé de voir ce qu?elle va faire. Elle ne semble pas hésiter à dominer. Elle se met entièrement debout sur mon lit, les pieds de part et d?autre de mon bassin. Mon Dieu qu?elle est sexy, tout me semble parfait en elle. Ses seins, ses hanches, ses cuisses. Ses pouces glissent dans son shorty, qu?elle fait légèrement descendre. Son sexe m?apparaît petit à petit, puis entièrement. Son shorty glisse au niveau de ses genoux, elle se penche pour le faire glisser le long de ses jambes, le retire délicatement du bout de ses pieds, avant de le jeter à travers la pièce. Elle se redresse alors, les cuisses légèrement écartées. Ses lèvres sont merveilleusement dessinées. Son sexe nu me semble être comme une affiche vantant les mérites du cunnilingus. J?ai juste envie de la lécher. Elle me regarde, d?en haut, provocante, nue, sexy. De ma prof, je ne reconnais que son sourire à la fois narquois et timide. C?est à elle de décider de la suite des événements.Ma prof vient se mettre à califourchon autour de mes cuisses, mon sexe bandé dans mon boxer butant contre son minou chaud et nu. J?aimerais tellement qu?elle retire ce boxer que je puisse sentir son sexe contre le mien, qu?elle le fasse glisser entre ses cuisses. Les yeux rivés sur ma queue encore cachée, elle fait glisser doucement ses doigts sur le nylon. Ses caresses sont très lentes et me font légèrement frissonner. J?ai envie qu?elle se penche, qu?elle l?embrasse, mais je sais qu?elle ne le fera pas tout de suite. Elle a envie de me faire attendre autant que je l?ai fait attendre moi-même. Elle prend mon sexe en mains à travers le tissu, le serre doucement contre son minou. J?ai l?impression qu?elle le fait frotter doucement contre son clito. Je ne vois pas ses yeux, mais je pense qu?ils sont fermés. Son bassin ondule légèrement, ses seins bougent timidement. Je ne sais pas ce qu?elle va faire.Une minute s?écoule, silencieuse. Tendue, si je puis dire. Puis elle s?avance doucement à genoux. Elle n?ose pas me regarder, trouvant peut-être elle-même trop osée ce qu?elle va faire. A-t-elle l?habitude d?échanger les rôles avec son fiancé ? De dominer ? Ou fait-elle semblant d?être timide ? Toujours est-il qu?elle vient se mettre à califourchon autour de mon visage, ses cuisses largement écartées, présentant son sexe tiède et humide en face de ma bouche. Placé ainsi, je ne vois plus d?elle que son bas-ventre, son sexe et ses cuisses. Son odeur si féminine envahit l?atmosphère, je sens son sexe excité, cette fragrance légère, douce, tiède et salée. Je me positionne du mieux que je peux. Je ne l?embrasse pas tout de suite. Je savoure son odeur. Mon nez glisse le long de ses cuisses, de ses grandes lèvres, effleure son clitoris. Elle se penche en avant, appuyant ses avant-bras sur le dessus des barreaux de mon lit, reposant son front sur ses bras. Je passe mon bras droit entre ses cuisses, lui caresse doucement les hanches tandis que je dépose un premier baiser sur son sexe nu. Contact humide et salé sur mes lèvres qui en redemandent. Mes baisers se perdent tout autour de sa fente, la contournant pour le moment. Mon bras gauche repose sur sa cuisse, caresse ses hanches, remonte jusqu?à ses seins. Je savoure, car je sais que l?instant d?après, je serai en train de faire un cunni à ma petite prof et le mal sera fait.Une autre minute s?écoule. Lentement. C?est maintenant ma langue qui glisse entre ses cuisses en évitant les zones très sensibles. Lécher une femme dans une zone si intime est toujours excitant, mais le faire avec une prof fait partie de ces tabous décuplant la sensation. Est-ce mon imagination, mais j?ai l?impression de l?entendre susurrer un petit « Lèche-moi ! » auquel je ne peux pas résister.Ma langue se positionne alors tout en bas de son minou et commence à remonter très doucement. Elle frissonne. Je savoure enfin sa mouille dans ma bouche. Elle est exquise. C?est vraiment le genre de femme que l?on envie de manger toute crue. Mon visage plaqué entre ses cuisses, ma langue commence à descendre et monter doucement le long de son sexe, puis titille délicatement son clito que je sens progressivement se gonfler légèrement. Je le contourne, reviens dessus, le titille, fait un détour sur ses grandes lèvres, reviens, tourne ma langue consciencieusement autour de son clito une demi-minute, m?arrête, l?embrasse, recommence à la lécher de bas en haut. Je joue avec elle, la léchant farouchement par d?autres puis m?arrêtant suffisamment longtemps pour faire monter la frustration avant de recommencer en accélérant progressivement la cadence de mes coups de langue. La chatte de ma petite prof est entièrement à ma merci, je l?entends gémir timidement. Quel bonheur d?entendre ce timbre de voix d?ordinaire prétendument autoritaire se transformer en de petits soupirs de plaisir.Tout en continuant de lécher son petit minou de mieux en mieux lubrifié, ma main droite quitte sa hanche pour se diriger vers mon boxer. Je n?y tiens plus et libère délicatement mon sexe, je commence à me branler doucement. Pendant ce temps-là, ma langue titille l?entrée de son vagin, je glisse un tout petit peu à l?intérieur. Je prends plaisir à la fouiller de ma langue pendant que mon nez glisse de fait contre son clito. Sa main droite quitte les barreaux de mon lit pour venir se poser dans mes cheveux. Elle appuie délicatement ma tête entre ses cuisses. Elle en réclame plus et elle a bien raison de le faire car je suis tout à fait disposé à lui faire tout ce qu?elle veut ce soir. Elle tient entre ses cuisses la solution de son ordinaire frustration sexuelle.Ma langue continue ses explorations dans son intimité. Mon visage est couvert de sa mouille, son goût ne quitte plus mes papilles, c?est un véritable festin vivant qui glisse dans ma bouche. Je la lèche, suce son clito, écarte ses petites lèvres. De la main droite, je continue de m?occuper de moi-même, de l?autre, je caresse ses reins, mes mains s?égarent en bas de son dos, glissant le long de sa colonne jusqu?au à la naissance de ses fesses au demeurant très douces. Elle se redresse alors complètement et place son autre main dans mes cheveux. Je sens son sexe, je respire son sexe, je bois son sexe, elle fait de moi son objet de plaisir sexuel. Elle gémit un peu plus fort qu?avant, vibre à chaque coup de langue sur son clito, se laisse abondamment lécher sa petite chatte par son étudiant qui ne se fait pas prier.Puis, ayant envie de la frustrer un peu plus, j?arrête alors de la lécher. Je laisse néanmoins la langue sortie. C?est un petit test que j?aime bien faire, de voir la réaction de la fille avec qui je suis. Je suis presque certain de la sienne. Je sais qu?elle comprend et elle sait ce qu?elle a à faire. Elle att**** les barreaux avec ses mains, se tient fermement, et commence à faire onduler son bassin sur mon visage. Ainsi elle frotte son minou elle-même contre ma langue, c?est elle qui cherche le contact, qui réclame le cunni. Je la laisse faire, la sens se démener sur ma langue, j?imagine ses seins ballotter. Elle frotte son sexe sur ma langue, déborde sur mon visage. Elle mène la danse et semble aimer ça.Mais au bout d?un certain temps, cette belle demoiselle s?épuise et arrête ses mouvements. Prend son temps pour reprendre sa respiration. Halète. Puis elle tourne la tête et s?aperçoit que je ne l?ai pas attendue pour me dévêtir. Un sourire s?affiche sur son visage. Elle se retire. Me regarde dans les yeux. Je m?attends à ce qu?elle me remercie à sa façon du plaisir que je viens de lui donner. Mais non.? Vous êtes toujours pressé de ne pas respecter les consignes. Je devais dominer, maintenant, non. Dommage pour vous.Elle dit cela d?un ton à la fois autoritaire et doux, avec un petit sourire en coin m?invitant à la suivre, maintenant qu?elle s?en va en direction du salon.Je me lève alors de mon lit, en profite pour me débarrasser pleinement de mon boxer. Je surgis alors dans le salon, le sexe bandé au maximum. Ma prof est de dos. Elle est devant la fenêtre. Je n?en crois pas mes yeux. On a beau être dans une grande ville et être tous anonymes, je trouve cela osé de sa part de se balader toute nue au vu de tous, devant la fenêtre, même s?il est tard et qu?il pleut toujours des cordes. N?importe qui pourrait la voir depuis la place. N?importe qui devrait pouvoir voir ses seins, son minou, ses cheveux défaits. Et le sourire coquin qu?elle doit arborer, imaginant l?effet que son audace doit avoir sur moi.Je m?approche d?elle. Me colle contre elle, mon sexe butant durement à la naissance de ses fesses. Je sens sa peau contre mon membre, je la sens frissonner en même temps que moi. Mes mains se dirigent sur les hanches, avant de partir, l?une sur ses seins, l?autre entre ses cuisses. Je caresse négligemment ses seins et son minou, devant la fenêtre, devant les éventuels passants nous prenant pour un couple normal que nous ne sommes pas. Je dépose quelques baisers dans sa nuque, dans son cou, sur sa joue, avant de lui susurrer :? Toi non plus, tu n?as pas respecté les règles, ma belle. Tu avais un foulard pour m?en empêcher. Tu ne l?as pas fait. Assume les conséquences.? Tu vas me punir ? dit-elle doucement.? Il se peut que oui.? Et si je ne me laisse pas faire ? répond-elle à la fois timide et joueuse.? Je te ferai comprendre que tu ne peux pas faire autrement.? Tu sais, c?est mal de forcer son enseignante si elle n?a pas envie, répond-elle de plus en plus joueuse.Sa main gauche passe alors dans son dos, et saisit mon sexe tout doucement.? Tu as de la chance, j?ai très envie ce soir, finit-elle en commençant à remuer son poignet le long de ma queue.Ma prof laisse filer ses doigts le long de mon sexe, le saisit afin de faire quelques légers va-et-vient, le caresse doucement mais sûrement. C?est très agréable de sentir sa main sur mon membre. Une main inconnue, interdite. Mais aussi sensuelle et experte. Ma main droite glisse entre ses cuisses, sur ses hanches, sur ses fesses, remonte sur ses seins. Elle me branle doucement. Ma queue se durcit encore, bute contre ses fesses quand elle la lâche, avant de mieux la reprendre. Je me demande à quoi peut penser une jeune prof tenant dans sa main le sexe bandé d?un de ses étudiants qui parcourt son corps de caresses.Elle se penche légèrement en avant, m?obligeant à reculer un petit peu. Elle appuie sa main droite contre la fenêtre, me caressant toujours de l?autre main, et se cambre légèrement, de façon à ce que mon sexe vienne buter contre son minou. Ma queue glisse sur ses petites lèvres. Le contact est chaud, humide, très excitant. De sa main, elle fait glisser mon sexe le long de sa fente. Mon gland joue avec son clito, sa mouille humidifie mon sexe très excité. Ma main droite vient se poser sur ses fesses, je la tiens fermement. Je pourrai la prendre directement, glisser d?un coup entre ses lèvres, faire de longs va-et-vient dans son bas-ventre. Elle sent que j?en ai envie, fait glisser le bout de mon gland à l?entrée de son vagin avant de le remmener sur son clito.? Tu imagines, tu pourrais me prendre comme ça. Comme une chienne. N?importe qui pouvant nous voir, me dit-elle d?une voix à laquelle il est dur de résister. Tu pourrais glisser en moi. En levrette. Les passants verraient mes seins ballotter au rythme de tes coups de reins.? Je crois que j?imagine très bien.Les paroles crues de ma prof m?excitent profondément. Effectivement, je pourrais la prendre tout de suite. Mais je crois qu?elle sait lire dans mes pensées.? Mais d?abord, tu voudrais peut-être que je me mette à genoux ?Sans me laisser le temps de répondre, elle lâche mon sexe, se retourne, et se met effectivement à genoux, dos à la fenêtre. Elle ferme les yeux, met ses mains sur ses genoux, ouvre la bouche, sort sa langue. Elle lèche le bout de mon gland, sa langue tournant autour de manière ordonnée. La chaleur humide de sa langue envahit le bout de mon sexe. Je prends ma queue en main, la fais glisser sur le visage de ma prof. Elle ferme les yeux, sourit. Mon sexe glisse sur ses joues, son nez, le long de ses lèvres, sur son menton. Elle tire la langue de temps en temps pour lécher mon sexe quand il passe à proximité de sa bouche. J?imagine ma petite prof avec le visage couvert de ma semence. Je me demande aussi comment je pourrais ne pas me jeter sur elle lors du prochain cours, lorsqu?elle aura l?air tout innocent devant notre classe, personne à part moi n?imaginant ce dont elle est capable.Cessant d?être passive, ses mains quittent ses genoux pour venir se poser en haut de mes cuisses. Toujours les yeux fermés, elle ouvre grand la bouche et avance son visage pour gober mon sexe entre ses lèvres, le plus loin possible. Mon sexe disparaît dans sa bouche, je sens ses lèvres se serrer sur ma queue, sa langue glisse sur mon gland. Je mets mes mains sur sa tête, caresse doucement ses cheveux pendant qu?elle fait lentement reculer sa tête, ses lèvres glissant le long de mon sexe. Elle rouvre alors les yeux, les levant en direction des miens, avant d?avancer de nouveau sa tête pour prendre mon sexe dans sa bouche. Le regard érotique, sa bouche pleine, son air faussement innocent me donnent envie de faire de longs va-et-vient dans sa bouche en tenant fermement sa tête, mais je la laisse faire pour l?instant. Elle garde mon gland dans sa bouche, le tête doucement comme un enfant. Sa langue titille le bout de mon gland. Je soutiens son regard qui commence à me rendre fou. Elle me suce doucement, tout en gardant ses mains sur mes hanches. Divinement agréable.Elle lève mon sexe vers le haut avec son visage, fait glisser sa langue le long de ma queue jusqu?à mes testicules qu?elle lèche doucement. Mon sexe repose sur son visage. Je regarde par la fenêtre. Des voitures passent sur la place. Si les passagers levaient la tête, ils verraient une jeune enseignante sucer un de ses élèves, trompant son fiancé, mettant peut-être en péril sa carrière, aimant le sexe comme personne n?imaginait qu?elle puisse l?aimer. Puis elle prend enfin mon sexe dans sa main droite, le lèche doucement tout en me branlant.? J?aime beaucoup ta queue. Cela mérite largement un petit bonus sur ton exposé.Elle me regarde toujours droit dans les yeux. Ses lèvres font quelques va-et-vient autour de mon sexe, puis ma prof décide de se relever, tout en gardant ma queue dans sa main droite. Elle est maintenant face à moi, collée contre moi, sa main continuant de me branler, ma queue butant entre son minou et son nombril. Son visage s?approche du mien, ses lèvres cherchent les miennes, sa langue se faufile dans ma bouche avant de jouer avec la mienne. Sa main gauche vient caresser doucement mes bourses, les massant, les pesants. Ses seins contre mon torse, ses mains entre mes cuisses, sa langue contre la mienne, ma prof se donne entièrement à moi. Et à mon avis, elle est loin d?oublier les interdits entre nous : ces tabous semblent plutôt l?exciter, y compris imaginer son futur mari, seul et cocu.Elle arrête de m?embrasser, me regarde sensuellement, puis fait quelques petits pas, tout en gardant mon sexe dans sa main. Je suis obligé de la suivre : elle me mène littéralement par le bout de la queue. Je comprends alors qu?à ce moment précis, elle me domine beaucoup plus que si elle m?avait attaché les poignets aux barreaux du lit. Elle est beaucoup plus rusée et coquine que ce que je pensais : elle contrôle tout, et elle est seule à décider de la suite des événements. Cela m?excite beaucoup de voir cette facette de sa personnalité, et il me semble qu?elle prend elle-même un malin plaisir à découvrir ce qu?elle est capable de faire avec un homme.Elle recule doucement, caressant mon sexe et mes bourses d?une manière délicieusement illegal bahis siteleri provocante, me regardant avec un air libertin. J?avance en la suivant, savourant ses caresses et la vision de ses courbes. Elle arrive jusqu?au canapé, et elle me fait signe de m?asseoir confortablement. Elle lâche mon sexe, et je m?exécute.Je suis maintenant assis, elle est toujours debout devant moi, me regarde d?un air satisfait, puis fait demi-tour et se dirige vers le meuble où j?ai laissé mon téléphone. Je suis toujours excité mais je me demande ce qu?elle prépare. Elle marche, nue, dans mon appartement, comme s?il n?y avait rien de plus normal à cela. Elle prend mon téléphone, et revient vers moi. Je la regarde d?un air qui doit sûrement être un peu ahuri :? Tu te demandes ce que je fais ? me dit-elle en souriant et en examinant mon portable.? J?avoue, dis-je perplexe mais toujours fasciné par son corps nu et terriblement excitant.? Eh bien. Il m?a l?air assez moderne ton téléphone. Il doit sûrement faire appareil photo. Peut-être même fait-il des vidéos.? Euh oui. Enfin c?est un téléphone, quoi, dis-je un peu plus sceptique.Elle me tend mon téléphone, se penche vers moi, dépose un baiser sur mes lèvres, avant d?ajouter :? Fais-en bon usage, j?aime bien les souvenirs.Ma prof se met alors à genoux devant moi. Je ne comprends pas tout ce qui se passe, mais je me laisse faire. J?écarte les jambes pour faciliter sa position. Sans me donner le temps de dire « Ouf », elle prend mon sexe en main puis en bouche et commence à faire de longs va-et-vient, d?une manière étrangement énergique pour quelqu?un d?aussi calme et doux. Pendant que mon sexe rentre et sort de la bouche de ma prof, pendant que je sens ses lèvres, sa langue, glisser sur ma queue, pendant que je sens son souffle sur mon bas-ventre et ses cheveux noirs caresser mes cuisses, je repense à ce qu?elle veut que je fasse : que je prenne des photos, voire des vidéos, d?elle nue en train de me sucer. Elle veut que j?aie une preuve de son méfait, la preuve de son infidélité, la preuve qu?elle couche avec un de ses étudiants, la preuve qu?elle renie ici la moralité chrétienne dans laquelle on l?a éduquée. Je n?en reviens pas, mais cela m?excite encore davantage.Je savoure la fabuleuse fellation de ma prof. Je n?ai pas eu énormément de partenaires, mais je crois que je n?ai jamais été aussi excité qu?à ce moment précis. Je la regarde s?activer consciencieusement sur mon sexe, sa main droite me branlant énergiquement. Ma queue entre et sort régulièrement de sa bouche, cette même bouche si prompte à me faire des reproches lorsque nous sommes en cours. De la main gauche, je caresse ses cheveux du bout des doigts, tandis que de la main droite, je prépare mon téléphone à se transformer en appareil photo. Ma prof arrête alors de me sucer, tire la langue autant qu?elle peut et titille mon sexe doucement. Elle regarde l?objectif comme un mannequin professionnel : j?appuie sur OK, première photo. Puis elle prend mon sexe dans sa bouche, autant que possible, tout en me regardant de son regard de braise : deuxième photo. Elle soulève mon sexe, lèche mes testicules, ma queue reposant sur sa joue : troisième photo.Elle garde mon membre dans sa main droite, me regarde et me dit alors d?une voix faussement inquiète, vraiment provocatrice :? Tu vas en faire quoi de ces photos ? Les montrer à tes copains ? Les mettre sur Internet ? Les envoyer à mon fiancé ?? Peut-être? Si tu ne mets pas de bonnes notes, je serais obligé d?utiliser les grands moyens, lui réponds-je en la regardant de haut.? Ou surtout quand tu seras tout seul le soir, tu t?amuseras en repensant à moi ! me rétorque-t-elle avec une voix enfantine, les yeux pétillants, la moue boudeuse.Elle recommence alors à me sucer, et je décide de savourer ses caresses. Mais avant de fermer les yeux, je réalise que sa main gauche est passée sous le canapé. La coquine se caresse ! J?aimerais tellement qu?elle me raconte sa jeunesse, je suis sûr que j?apprendrais des choses que je ne soupçonne même pas.Je ne pense plus à rien. Les deux minutes qui suivent, je savoure juste la chaude douceur humide de sa bouche autour de ma queue. Par moment, elle accélère, puis elle ralentit, lèche mon gland, reprend mon sexe en bouche, etc. Je me demande si elle me laisserait venir entre ses lèvres. Elle en serait capable. Lui demander directement casserait l?ambiance. Peut-être se rend-elle compte que j?en meurs d?envie, elle accélère un petit peu la cadence. Son poignet s?agite progressivement, sa bouche s?active, ses cheveux et ses seins se balancent un peu plus. Je suis quasiment sûr qu?elle se caresse de la même manière. Je sens une chaleur douce s?emparer de mon bas-ventre. Si elle continue comme cela, elle s?engage à recevoir quelques giclées qu?elle aura amplement méritées. Elle accélère, elle accélère.Puis elle s?arrête subitement. Je rouvre les yeux. Elle tient toujours mon sexe dans sa main, me regarde avec un air malicieux, l?air d?un enfant qui viendrait de faire une bêtise et qui en serait fier. C?est évidemment frustrant, mais aussi terriblement excitant, cette façon qu?elle a de montrer que la gent féminine peut également dominer la gent masculine. Elle lâche alors mon sexe, se lève doucement, fixe mes yeux avec une troublante sensualité, s?approche de moi, pose un genou sur le canapé, puis l?autre, avant de s?avancer tout contre moi. La chaleur de sa peau m?enivre. Inévitablement, ma queue vient reposer entre ses cuisses. Elle les écarte doucement, s?avance encore un peu plus. Elle passe son bras droit derrière ma nuque, approche son visage du mien. Je mets ma main gauche sur sa nuque, la main droite sur ses fesses. Sa bouche s?approche de la mienne. Elle prend mon sexe de sa main gauche et le fait glisser tout doucement le long de son minou. Je suis à deux doigts de pénétrer ma prof, de lui faire l?amour, de la faire jouir, de la corrompre de la plus belle manière qui soit.? Tu t?imaginais déjà m?en mettre plein la bouche ? me dit-elle doucement, en plaquant ses lèvres contre les miennes.Je ne réponds rien, n?étant plus en état de répondre quoi que ce soit. Mais évidemment que j?en avais envie.? Je ne me suis pas sentie aussi bien depuis très longtemps, me confie-t-elle d?une voix douce. J?ai très très envie que tu me prennes, continue-t-elle dans un petit gémissement.Cette magnifique jeune enseignante, nue, chaude, contre moi, avec ces mots si excitants. Sa bouche se colle à la mienne, sa langue se faufile entre mes lèvres. Elle m?embrasse passionnément. Ma main, sur ses fesses, essaye de la pousser vers moi afin de succomber à la tentation. Ma queue s?apprête à rentrer doucement dans son minou. Quand ma petite prof décide de se lever une nouvelle fois, tout doucement, toujours en me regardant :? J?ai une autre idée, me dit-elle alors d?un air coquin.Encore une fois, ma prof domine et mène la danse. Dès le moment où j?ai compris que la soirée allait être beaucoup plus chaude que prévu, je pensais (prétentieusement) que j?aurais affaire à une jeune femme timide et que j?allais lui apprendre des choses. Je me rends compte à quel point j?étais loin de la réalité. Je suis toujours assis sur mon canapé, le sexe bandé au maximum, quand ma prof reprend :? Tu viens dans la salle de bain ? me dit-elle de sa voix douce et pleine de sous-entendus.Je mets un peu de temps pour redescendre sur Terre, et quand j?arrive dans la salle de bains, je vois ma prof, dans ma douche, me faire signe de venir. La scène est surnaturelle. On dirait un mirage. Comment ma timide enseignante d?histoire des religions peut-elle me demander de lui faire l?amour dans ma douche ? Fasciné par ce qui est en train de se passer, j?approche lentement d?elle, tandis qu?elle commence à faire couler l?eau sur nos corps. Le jet est ni trop faible, ni trop fort, la température est idéale. Ses cheveux se trempent rapidement, dégoulinent sur son corps, viennent se coller contre ses seins.Une fois dans la cabine de douche, je referme la porte derrière moi. La surface est limitée, on ne pourrait guère y mettre plus de 3 personnes. Mais pour l?instant, on n?est que deux, et je suis tout contre elle, dans une délicieuse chaleur humide. L?eau coule sur nos corps, la buée se propage sur les vitres. Elle est contre le mur, elle me sourit. Mon sexe bute contre son ventre, gonflé de désir. Elle passe ses bras autour de moi, solidement, et je comprends où elle veut en venir. Je pose mes mains sur ses fesses, approche mon visage du sien, glisse ma langue entre ses lèvres, et la soulève doucement du sol en le tenant fermement.Alors, une fois, que je la tiens parfaitement, mon sexe se dirige tout seul entre ses cuisses et pénètre à l?intérieur de son ventre. Ça y est. Mon sexe et celui de ma prof ne font plus qu?un. La plaquant contre le mur, je commence de lents va-et-vient dans son minou, tandis qu?elle pose sa tête sur mon épaule et parsème mon cou de baisers. Ce qui m?excite encore plus. Ma queue bien serrée entre ses cuisses, je vais et je viens à l?intérieur d?elle, tout en pétrissant ses fesses de mes mains. Je sens ses seins s?écraser contre mon torse, je sens sa respiration saccadée dans mon cou, je sens la chaleur de son minou se propager le long de mon sexe. Je me plais à penser que je suis en train de baiser ma prof, la dernière chose qu?imagineraient mes camarades de classe, la dernière chose qu?imaginerait son fiancé, la dernière chose que nous imaginerions nous-mêmes au début de la journée.Nous faisons l?amour sous le jet d?eau de ma douche, dans une atmosphère pleine de vapeur et de tabou. Je continue de la limer, ses gémissements s?intensifient progressivement. Quoi de plus excitant que les gémissements d?une femme qui prend son pied ? Mais je sais que je ne pourrai pas continuer éternellement dans cette position. Je me retire doucement, lui fais signe de se retourner. Elle s?exécute aussitôt, repose ses avant-bras et son visage à même le mur, elle se cambre, écarte délicatement les cuisses, et je me fonds à nouveau entre ses petites lèvres, reprenant la cadence de mes coups de reins entre ses cuisses.Je suis en train de prendre ma prof en levrette dans ma propre douche. J?ai du mal à y croire, mais je sais que les frissons que je ressens dans le bas-ventre sont réels, et j?augmente l?allure. La tenant fermement de la main gauche, je ne peux m?empêcher de faire passer mon autre main sur son ventre, caresser ses seins, descendre jusqu?à son minou pour titiller son clito. Elle gémit de plus en plus fort, et je sais que moi-même, je ne pourrai pas me retenir bien longtemps encore. Je rentre et sors de plus en plus rapidement de son vagin, je sens la sève monter. J?essaye de la coller un peu plus contre moi, je la tiens par les hanches, je regarde son visage collé contre la paroi. Ses yeux sont clos, sa bouche entrouverte dans un gémissement, les cheveux trempés plaqués contre le visage, totalement à ma merci.Les secondes qui suivent se figent. Je jouis en elle, parsème son intimité de ma semence, balance mon sperme à l?intérieur de son minou, à l?intérieur de son corps. Je jouis dans le corps de mon enseignante, je me vide de mon plaisir en elle, je la remplis de mon excitation, tandis que l?eau continue de couler, imperturbablement. J?arrête mes va-et-vient, me retire doucement, alors qu?elle reste le visage contre le mur. Bêtement, je me demande si, une fois la jouissance passée, elle réalise ce qu?elle vient de faire. Mes doutes s?envolent aussitôt, lorsque je vois un sourire se dessiner sur son visage. Ses yeux se rouvrent, elle se retourne doucement vers moi. Pendant une seconde, on a sûrement l?air un peu idiot, l?étudiant et la jeune enseignante, face à face après l?amour, sous la douche. Elle m?adresse un petit « Merci » puis dépose un simple smack sur mes lèvres, avec un petit sourire coquin ambigu. Elle n?est pas qu?une prof, c?est aussi une jeune femme, surtout une jeune femme, une jeune femme beaucoup moins sage que ce j?aurais pensé.Je viens de prendre une rapide douche, puis j?ai laissé mon enseignante dans la salle de bains pour qu?elle puisse faire de même. Je suis assis sur mon canapé, seulement vêtu de ma serviette attachée autour de mon bas-ventre. J?att**** mon téléphone, et visionne les photos et la vidéo que j?ai prises tout à l?heure. Je ne pense pas que je pourrais les montrer à qui que ce soit. Pas plus que je ne pourrai le raconter à mes potes. En plus, si je révélais tout, il risquerait de ne pas avoir de prochaine fois, ce qui serait bien dommage.Quelques minutes plus tard, ma prof me rejoint, elle aussi emmitouflée dans la serviette que je lui ai passée. Sauf que mes serviettes sont un peu courtes, et qu?elle a du mal à cacher simultanément ses seins et son sexe. Elle me sourit et vient s?asseoir à côté de moi :? Tu veux que je te serve quelque chose ? lui demandais-je.? Mmmh, si t?as quelque chose d?un peu fort, je veux bien.? Ça va t?empêcher de dormir, à cette heure-là !? Qui t?a dit que je comptais dormir ? me dit-elle les yeux dans les yeux. Non je plaisante, ajoute-t-elle devant mon air effaré, je dois partir tôt demain matin, en plus.? Rhum, ça te va ? dis-je en changeant de sujet.Elle acquiesce, je me dirige vers mon étagère à bouteilles, prends deux petits verres que je remplis de rhum, et reviens m?asseoir à côté de ma prof. On trinque et on commence à boire. Rien de meilleur qu?un bon rhum antillais pour finir la soirée.? Tu as assouvi un de tes fantasmes, alors, ce soir ? me demande-t-elle alors, le verre aux lèvres.? Euh? réponds-je décontenancé. Il semblerait bien, oui. Et toi ? demande-je timidement.? Je ne sais pas, me dit-elle en rigolant. Je ne vais pas te dire que je n?y avais jamais pensé, mais je ne pensais pas du tout que ça se produirait un jour. !? C?est un peu le propre d?un fantasme, lui fais-je remarquer.? C?est vrai, certes. Je peux te poser une question indiscrète ?? Je crois qu?on a déjà dépassé la ligne de l?indiscrétion depuis un petit bout de temps, alors vas-y !? T?as d?autres fantasmes ? Des personnes, des lieux, des situations ? me demande-t-elle en me regardant.C?est assez surnaturel, encore une fois, que de parler de nos fantasmes respectifs avec ma prof, sur mon canapé, à presque minuit, en train de siroter un verre de rhum. Comment vais-je faire la semaine prochaine pour ne pas bander pendant tout le cours ?? Ben, tu sais, à 19 ans. On doit tous rêver d?un plan à trois avec deux charmantes demoiselles. Ou d?une mère de famille un peu volage, ajoute-je en souriant. Je ne sais pas sinon. Y?a des tas de lieux pour le faire.? À la fac, par exemple ? me dit-elle sans me quitter des yeux.? C?est une proposition ? dis-je en haussant les sourcils.? À voir.Elle continue de m?étonner, et sa proposition ne me laisse pas insensible. Je sens mon sexe se durcir à nouveau. Comment vais-je pouvoir dormir après ça ?? Et toi, quels fantasmes ?? Rien de bien original, je pense. Les mêmes que bon nombre de femmes.? T?as déjà fait quelque chose avec une fille ? ose-je enfin lui demander. Genre, quand t?étais au collège ou au lycée.? Dans les dortoirs d?un établissement catholique féminin, c?est là que tu veux en venir ? dit-elle d?un air moqueur. Je vais te décevoir, mais j?ai toujours été dans le public, et je n?ai jamais eu d?expérience lesbienne. Pour l?instant, ajoute-t-elle dans un clin d??il.Nous avons fini de boire nos verres, j?ai éteint quelques lumières et lancé un vieux disque de jazz sur ma chaîne hi-fi. Je me suis remis à ma place, tandis que ma prof s?est allongé sur le dos, la tête sur mes genoux. Je caresse négligemment son ventre par-dessus sa serviette humide.? Je me sens bien, me dit-elle. J?aime bien discuter, prendre un verre, écouter de la musique, après l?amour. Mon fiancé est un amant formidable, mais il a le défaut de s?endormir dans les cinq minutes suivant son orgasme. C?est frustrant.? Tu ne t?en veux pas de l?avoir trompé ? demandai-je, un peu perplexe.? Je vais sûrement passer toute ma vie entière avec lui. Je ne m?en plains pas, ajoute-t-elle. C?est un homme attentionné, qui sera sûrement un bon père de famille. Mais je n?aurai pas 26 ans toute ma vie, j?ai envie d?en profiter un tout petit peu. Je ne suis pas nymphomane pour autant, tu n?es que le troisième garçon avec qui je couche.? Qui était le premier ? demande-je curieux.? Mon petit ami au lycée. Ce n?était pas terrible, m?avoue-t-elle en rigolant. Enfin, pour répondre à ta question, je ne m?en veux pas. Ça restera notre secret.? Et Dieu, là-dedans, qu?en dit-il ? dis-je d?un ton ironique.? Dieu ne nous aurait pas donné un clitoris s?il ne souhaitait pas que nous nous amusions un peu, élude-t-elle élégamment.Ma main gauche caresse négligemment ses seins, elle ferme les yeux. Un peu de sensualité dans ce monde de brutes.? Tu dors dans mon lit, cette nuit ?? Si tu me promets de ne pas me violer pendant mon sommeil, me répond-elle en souriant.? Je ne garantis rien !Quelques minutes plus tard, après avoir ramassé nos affaires éparpillées un peu partout, nous nous retrouvons sur le lit. Elle s?est couchée sur le côté gauche, totalement nue, sur le ventre, les jambes et les fesses recouvertes d?un drap léger. J?éteins la lumière, me penche vers elle, dépose un baiser dans ses cheveux, la remercie pour cette soirée et lui souhaite bonne nuit.Elle s?endort rapidement, son souffle se fait de plus en plus régulier. La lumière venant de la rue éclaire légèrement son corps dont je devine les courbes. Il y a quelques heures, je méprisais presque cette prof, maintenant cette femme dort paisiblement dans mon lit. La vie réserve parfois de ces surprises !Je mets un peu de temps pour m?endormir, mais y parvient finalement, même si je me réveille souvent. Sur le coup de trois heures du matin, je regarde ma prof, qui est passée sur le dos. Elle dort toujours, ses seins se soulevant au rythme de sa respiration. Je dois faire un effort faramineux pour ne pas les embrasser, les lécher. Mon sexe se durcit à nouveau. Je me rendors et fais sûrement des rêves pas très catholiques.Je me réveille de nouveau à six heures du mat?. Le temps que j?émerge, je constate que ma prof n?est plus dans le lit. Sans prendre le temps de me couvrir, je me lève. Ma prof est dans le salon, vers la fenêtre, enroulée dans un drap, regardant la rue encore noire, toujours pluvieuse. Je viens me mettre derrière elle, la prends par les hanches, l?embrasse dans le cou. Je la sens frémir.? T?es vraiment obligée de partir ? On ne peut pas passer la matinée à faire l?amour ? lui dis-je d?une voix encore mal réveillée.Elle sourit puis me répond :? Je dois travailler, tu sais, ce que tu ne fais jamais pendant mes cours ?? Il faudra me punir, alors, car je ne compte toujours pas travailler, lui réponds-je ironiquement.Mes mains remontent sur ses seins, mon sexe durcit de nouveau contre ses fesses.? J?ai envie de toi, de ta bouche, de tes seins, de ta peau, de tes cuisses, de ton corps.? Mmmh, non ! Ne m?excite pas, je dois vraiment y aller, dit-elle en luttant contre son propre désir.Elle se retire de mon emprise, et commence à se diriger vers la salle de bains, puis se retourne en ma direction avant d?y entrer :? Je préférerais mille fois rester ici, en plus dehors, je vais me tremper. Même si, sans aucun doute, tu arriverais sûrement à me rendre également toute mouillée, ici, ajoute-t-elle devant mon sourire goguenard. Ah, et au fait, tu es en train d?exhiber ton sexe en érection devant ta fenêtre.? Oups, dis-je avant de m?écarter.Je me retrouve, sur mon canapé, le sexe tendu, pensant à son corps nu sous la douche. Je pourrais la rejoindre, mais je me retiens et essaye de me calmer. Je me relève, enfile un boxer, prépare du café, et prends mon petit-déj. Quelques minutes plus tard, elle réapparaît dans la pièce, avec les vêtements un peu austères qu?elle a l?habitude de porter.? Je te préfère en petite tenue, tu sais, lui fais-je remarquer.? Ça se comprend, mais si je m?habillais en bimbo devant mes élèves, mes cours risqueraient de dégénérer en gang-bang, dit-elle en rigolant.? Prétentieuse, va ! réponds-je en me moquant.Elle s?assied sur une chaise, et prend un peu de café. On discute de banalités, comme s?il n?y avait pas de situation plus normale que celle-ci. Puis vient le moment où elle doit s?en aller.? Je ne t?embrasse pas, je n?aime pas tellement les baisers au café, dit-elle, ne quittant toujours pas son sourire qui me charme de plus en plus. À une prochaine fois, ajoute-t-elle simplement.Je la raccompagne jusqu?à la porte. Sur le palier, elle me dit « Pense à moi !» en me regardant d?un air ambigu, puis elle s?éloigne dans l?ascenseur.La semaine va être longue.---------------------------------------------------Il est lundi. J?ai passé un week-end classique, entre quelques révisions et beaucoup de sorties. Au final, peu de temps pour moi. Peu de temps pour m?astiquer devant les belles photos faites l?autre soir avec ma prof. Les cours recommencent et autant dire tout de suite que le reste de l?équipe enseignante ne m?excite absolument pas. Non seulement la majorité sont des hommes, mais en plus aucun gay ne serait attiré par eux. Vivement jeudi.Le cours du jour n?étant pas d?un grand intérêt, je mate discrètement les filles de l?amphi, l?air de rien, derrière mon ordinateur. Je ne vais pas mentir, il y a de quoi contenter un honnête homme. À commencer par ma meilleure amie, à côté de moi. Son petit décolleté laisse entrevoir le haut de sa poitrine. Un fantasme que je ne réaliserai sûrement jamais. En avoir réalisé un, c?est déjà pas mal. Deux, ça deviendrait trop technique.De toute façon, elle est loin d?avoir les seins de la prof. Je revois dans mon souvenir ses deux beaux seins, fermes, doux, ronds. Mmmh ! D?autres filles sont jolies dans cet amphi, mais certaines font un peu pétasses, d?autres ont déjà un copain, d?autres ont un caractère de merde gâchant tout l?attrait de leur corps. Et il reste celles, comme ma meilleure amie, qui sont bien foutues mais trop timides. Vous allez me dire : le corps ne fait pas tout. Certes. Mais on va pas se mentir, ça joue un peu. Quand on a eu de grosses déceptions amoureuses, on se contente de fortes amitiés et de sexe. Voilà. Aurais-je l?opportunité d?avoir une nouvelle aventure avec ma prof ? Si seulement?---------------------------------------------------Nous sommes jeudi. Autant dire que depuis lundi, je ne pense qu?à ça. Ma prof a véritablement réveillé une libido un peu morne auparavant. Je me suis surpris à draguer à tout va cette semaine. Certaines m?ont fait comprendre que même en rêve, je ne les toucherai pas. Ma meilleure amie ne semble pas avoir compris qu?une aventure avec elle me plairait. Bande d?ingrates, vous êtes de toute façon pas aussi bien que notre petite chargée de TD !Le temps est plus clément que la semaine dernière. Certes, on est en octobre, le fond de l?air est frais, mais il fait encore suffisamment bon pour traîner sur les pelouses de la fac avec une bande de potes. On parle des cours, de musique, de ciné, bref des choses habituelles. On a encore une heure à glander avant notre TD. Je me demande si ma prof a cours ou si elle attend dans une salle quelconque en notant furieusement nos devoirs ? Si je savais où elle était, je serais bien d?humeur à la taquiner et à la chauffer un peu. Histoire de la perturber avant le cours. Mais je me demande aussi quelle sera sa réaction. Sera-t-elle d?accord pour remettre le couvert ? Ou regrette-t-elle ce qu?on a fait ?? Il fait un peu frais, les mecs, je vais rentrer, je crois, mens-je à mes camarades.? Oh, t?es pas drôle. Nous on reste là, répond un de mes potes, comme je l?avais prévu.Je rentre dans les bâtiments et commence à arpenter les couloirs déserts. Je sais que j?ai autant de chance de tomber sur elle que de trouver une aiguille dans une botte de foin, mais qui ne tente rien n?a rien. Personne dans notre salle de cours. Si elle est déjà à la fac, ou peut-elle être ? La réponse me vient soudainement : à la bibliothèque. Qui se trouve à l?autre bout de la fac.J?arrive enfin à la BU. Peuplée d?étudiants sérieux ? qu?est-ce donc ? ?, mais pas de trace de ma prof. Je vais chercher du côté des petites salles individuelles. Bingo ! Ma prof est dans celle tout au fond. Ce sont de petites salles, fermées et isolées pour travailler en toute quiétude. Ma prof, que je vois de dos, travaille sur de lourds ouvrages poussiéreux. Aurait-elle besoin d?une pause ? Je rentre dans la petite salle. Ma prof sursaute et se retourne :? Aaah ! Ouh, c?est toi. Tu pourrais frapper avant d?entrer !? Pas contente de me voir ? réponds-je amusé.? Si. Mais là, je déborde de travail.? Justement, tu as besoin d?une pause, dis-je avec un grand sourire.Ma prof me regarde, ébahie, l?air de se dire ce garçon est taré, et ça me plait.? N?importe qui peut passer devant la porte, tu sais, me dit-elle, condescendante.? C?est un endroit tellement reculé que personne n?y vient. En plus, il fait beau, les gens bossent dehors.En réalité, je n?étais pas certain que cela soit bien sans risque de faire quoi que ce soit ici. Mais ça pouvait être excitant.? C?est vraiment pas une bonne idée. Et, avant que tu ne me le demandes, je ne suis pas libre ce soir.Je vais me poser tranquillement contre sa table et c?est là que je regarde à quoi elle ressemble aujourd?hui. Chose surprenante, elle a un petit décolleté charmant. Mais l?ensemble de ses fringues pourrait encore être mieux choisi. Ses longs cheveux défaits, sur ses épaules, ont quelque chose de sensuel. Finement maquillée. Elle est à croquer et si je pouvais, je lui ferais l?amour sur cette table.? Il faut poser un peu ces livres, tu sais, dis-je moqueur.? Ce n?est pas ça. Mon fiancé m?invite au resto ce soir.? Ah, réponds-je un peu décontenancé.? Oui, dit-elle gênée.? Donc, y?aura pas d?autre fois ? dis-je embêté.? Bon, c?était vraiment super l?autre soir. Mais?Je n?avais pas prévu ce genre de difficulté. Mais il en faut plus pour me décourager. J?avais plus d?opportunités avec elle qu?avec les filles de mon âge. Je me déplace un peu et me colle dans son dos. Je mets mes mains sur ses épaules et me penche vers elle, lui susurrant dans l?oreille.? Cet homme. Est-ce qu?il embrasse mieux que moi ? Est-ce qu?il prend plus soin de toi, est-ce qu?il caresse mieux ton corps ? Est-ce qu?il est si doué que ça avec sa langue, que tu aies envie de t?acharner sur son sexe comme sur le mien ? Est-ce qu?il te prend comme un fou dans sa douche ? Est-ce qu?il pense à toi toute la semaine, à ton corps, à ta peau, à tes seins, à ta langue ?En lui disant cela, mes mains commencèrent à glisser un peu le long de son cou, en s?approchant doucement de sa poitrine.? Qu?il pense à moi, je l?espère, vu qu?il compte m?épouser, me répond-elle sèchement, sans toutefois me repousser.? Il te fait jouir ? Il t?a fait l?amour depuis que tu l?as retrouvé ?Mes mains saisissent délicatement ses seins. Je les masse légèrement, mes lèvres glissent sur ses joues. Sa poitrine se gonfle sous mes doigts. Je sens le rythme de son c?ur accélérer. Mes lèvres s?avancent jusqu?aux siennes. Ma prof retourne sa tête tout en douceur, entrouvre les lèvres et laisse ma langue y pénétrer. Nos langues recommencent le ballet sensuel qu?elles avaient commencé la semaine dernière. Toute la douceur de cette femme pénètre dans ma bouche durant ce baiser, sa langue caresse la mienne, sa salive se mélange à la mienne. Mes mains quittent provisoirement ses seins pour venir passer dans son décolleté. Elle porte un soutien-gorge, mais je sens largement la chaleur de sa poitrine s?étendre sur mes paumes. Elle m?embrasse sincèrement, franchement. Mon sexe entre déjà en érection.? Je pensais que tu résisterais plus longtemps, lui dis-je une fois notre baiser interrompu.? Mais tu ne m?as pas encore remise dans ton lit, tu sais, me dit-elle, sarcastique.? Pas encore, mais j?embrasse ta merveilleuse bouche et je caresse des seins magnifiques. Et je vais bander pendant tout le cours, à quelques mètres de toi, en pensant à tes lèvres.? Lesquelles ? me répond-elle coquine.? Celles que tu veux.Alors que mes lèvres se posent de nouveau sur les siennes, quelqu?un tape à la porte vitrée derrière nous. Je me retourne, et n?en crois pas mes yeux. Ma meilleure amie me regarde derrière la vitre d?un air surpris. C?est une jolie blonde, un peu timide, mince et gracieuse. Je la regarde d?un air horrifié. Je savais qu?on risquait d?être repérés, mais l?être par elle, c?est vraiment gênant. Elle entre dans la salle, alors que j?enlève mes mains de là où elles sont.? Que fais-tu ? me demande-t-elle suspicieuse.? Je?? Je t?ai vu dans le couloir, je t?ai cherché après, me dit-elle, toujours étonnée. Et? Enfin, c?est? ?? Sa prof, dit cette dernière en se retournant, même pas gênée.? Ah, déclara ma meilleure amie. Euh, bien.? Tu as l?air choquée, dis-je en essayant de faire comme si tout avait l?air normal.? Choquée non. Mais avoue que c?est curieux, répond-elle confuse mais amusée. Tu m?avais dit que tu étais un peu en manque, mais quand même.? Dans ce cas-là, mademoiselle, il fallait vous dévouer, déclare ma prof, tout de go.Ma meilleure amie la regarde, les yeux ronds. Moi-même, je suis terriblement gêné.? Ne me dis pas que c?est sans arrière-pensées que tu racontes tes frustrations sexuelles à des filles ! me dit ma prof.Ma meilleure amie me regarde ébahie, se demandant si derrière mes airs de garçon simple je ne suis pas un grand pervers.? Enfin bref? repris-je. Bien sûr, tu n?as rien vu, dis-je à ma meilleure amie.? T?inquiète, je ne suis pas une commère. Mais je vais mettre du temps pour m?en remettre, ajoute-t-elle en rigolant.? Je ne veux pas vous mettre dehors, mais j?ai encore du travail, dit aimablement ma prof. Vous n?avez qu?à parler de ça dans la cour. Et on se voit tout à l?heure, ajoute-t-elle en m?adressant un clin d??il.Ma meilleure amie et moi, nous sortons de la bibliothèque sans rien dire. Je sais qu?une fois dans la cour, les questions vont fuser.? Ça fait longtemps que ça dure ? me demande-t-elle, curieuse.? Absolument pas ! me défends-je. Une semaine. Enfin, jeudi dernier. J?ai dû l?accueillir chez moi, c?est compliqué, enfin. On a dérapé.? C?est bien la prof que tu critiques tout le temps, c?est ça ?? Ouais, enfin, ça c?était avant, réponds-je gêné.? C?est cool pour toi, depuis le temps que t?étais célib?, me dit-elle moqueuse.? Voilà.? Mais c?est une prof, fais gaffe quand même. Je n?aurais jamais pensé ça de toi, répète-t-elle, songeuse.? À vrai dire moi non plus. Mais les circonstances étaient telles que? Enfin voilà.On continue de marcher silencieusement quelques instants, avant de se poser dans l?herbe, loin de mes potes qui ne m?ont pas vu, heureusement.? Puis ça n?a pas l?air de lui poser problème. C?est pourtant dangereux pour sa carrière.? Ouais. Enfin, ce soir elle dîne avec son futur mari.? Une femme bientôt mariée ? Tu dragues rarement, mais quand tu le fais, c?est pas à moitié !Je souris à cette phrase. Elle n?a décidément pas remarqué que je la drague depuis des mois et encore plus depuis la semaine dernière.? Mais t?es amoureux, ou c?est juste? ?? Je pense que c?est juste sexuel. Elle est sympa, mais ça s?arrête là.Je regarde ma meilleure amie. Je ne peux m?empêcher de penser qu?elle ferait une très bonne alternative à ce que j?avais prévu. Je m?étonne d?être si versatile, moi qui ai longtemps été si romantique. Mais ma prof a éveillé chez moi des envies qui avaient, par dépit, été profondément enfouies.? Et tout à l?heure, quand elle disait? enfin? que j?aurais pu me dévouer. Ça voulait dire quoi ? me demande-t-elle plus sérieuse.? Elle disait ça pour plaisanter, réponds-je de façon évasive, mal à l?aise.On continue de parler d?autres sujets un peu moins sulfureux, le temps passe. Et il est déjà l?heure pour moi de retourner en cours, avec ma prof adorée. Nous nous relevons.? Bon, je retourne à la BU, me dit-elle.? Ok. Tu fais quelque chose ce soir ? T?as rien de prévu ? osé-je enfin.? Euh, non, rien de spécial, pourquoi ?? On peut sortir, boire un verre, ce que tu veux.? Pourquoi pas. T?as qu?à passer chez moi après ton cours, on improvisera.? Ça marche.Nous nous quittons alors et je galope jusqu?à ma salle de cours. Ce n?est pas parce que j?ai peut-être un rencard avec ma meilleure amie que je ne suis pas pressé de retrouver ma prof. J?arrive dans la salle. Où elle est déjà installée, seule. Les autres élèves semblent beaucoup moins pressés de venir, ce qui se comprend : eux n?ont pas couché avec elle.? Décidément, lui dis-je avec un grand sourire.Elle soupire.? J?espère ne pas avoir trop choqué cette fille. C?était qui ?? Ma meilleure amie.? Ah. Et y?a jamais rien eu ?? C?est pas faute d?avoir essayé, réponds-je résigné.Je m?assieds de l?autre côté de sa table et la regarde. Son petit décolleté donne indéniablement envie d?en voir plus.? Tu peux me regarder dans les yeux, tu sais, me dit-elle narquoise.? Tu n?as qu?à te vêtir comme une sage petite enseignante, lui rétorqué-je.? C?est ce que je suis, répond-elle maligne.? Bien sûr.? Écoute, reprend-elle après un petit silence. Je ne dis pas qu?il ne se repassera rien. Mais je vais être occupée dans les semaines à venir, mon fiancé tient à me voir très souvent. Il faudra que tu sois un peu patient.? Je comprends. Mais ça ne va pas m?empêcher de te mater pendant tout le cours.? Sois discret, au moins, me dit-elle en rigolant.? Vous allez faire quoi ce soir ? reprends-je, curieux.? Restau et ciné, répond-elle simplement.Quelques minutes plus tard, je suis assis, toujours au fond, et la prof replonge dans son austérité habituelle. Le cours n?est toujours pas captivant, mais je passe mon temps à essayer de la déshabiller du regard. Je croise de temps en temps ses yeux, mais elle ne me regarde pas. Sans doute n?a-t-elle pas envie d?être troublée tandis qu?elle évoque les sanglantes répressions des hérésies cathares.C?est alors que j?ai l?idée du siècle. Je prends mon portable et envoie un SMS à ma meilleure amie :« Viens me chercher à 20 h à la fac si tu as envie de passer une soirée à la fois d?enquête, de gastronomie, de cinéphilie. Et la suite, on verra. »Je suis conscient qu?il y a deux cas de figure : soit elle est intriguée et elle vient ; soit elle me prend pour un taré et mon plan tombe à l?eau. Mais qui ne tente rien n?a rien.À vingt heures, je quitte la salle sans regarder ma prof et rejoins prestement l?entrée sans avoir reçu de message de ma meilleure amie qui, heureusement, m?attend sagement devant les grandes grilles de la fac.? Je parie que ça a un rapport avec ta prof, me lance-t-elle narquoise.? Tu es si perspicace !Je la regarde. Elle porte elle aussi un joli petit décolleté sur lequel chutent ses beaux cheveux blonds. Je la trouve ravissante.? Quel est le programme alors ?? Son fiancé l?emmène au restau puis au ciné. Par conséquent, je t?y emmène aussi.? Ah, répond-elle en rigolant. J?ai toujours rêvé qu?on m?invite au restau, mais je n?aurais jamais cru que ce serait pour filer une prof cochonne.? C?est ce qui fait de moi un garçon si surprenant et tu devrais être heureuse de m?avoir pour ami, dis-je solennellement. Bon, le seul truc, c?est que je ne sais pas où il l?emmène. Espérons qu?il n?ait pas des goûts trop luxueux.? Tu m?épateras toujours.Ma prof sort par une autre entrée, où l?attend son fiancé. Il fait sombre et ils sont loin, mais je devine que ce n?est pas franchement un Apollon. Alors qu?ils s?éloignent, je prends galamment le bras de ma meilleure amie et nous les suivons de loin. Pendant tout le trajet, ma meilleure amie répète que je suis un garçon absolument fou, mais j?aime à penser que cette petite manigance l?excitera peut-être durant la soirée.? Je suis sûrement la seule fille au monde qui accepterait de faire ça pour son meilleur ami.? Je te dresserai une couronne de lauriers dès que j?aurai tiré mon coup, réponds-je vulgairement.? Avec elle ou avec moi ? rétorque-t-elle avec un sourire étrangement ambigu. Je plaisante, hein ! Enfin, avec ce qu?a dit ta prof tout à l?heure? ajoute-t-elle mystérieuse.Je bredouille une connerie quelconque, mais je ne suis pas sûr d?être extrêmement convaincant. Toujours est-il qu?il est agréable de se balader dans les rues avec cette fille à mon bras. La situation est tellement cocasse.Nous arrivons devant un petit restaurant. Ma prof et son fiancé avaient réservé et sont installés sur une table au fond de la salle. Le restaurant est bien décoré et il y a surtout des couples. Ma meilleure amie semble bien amusée par la situation. Pas fou, je regarde les prix et me dis que c?est abordable. Je canlý bahis siteleri me contenterai de ne pas manger pendant une semaine.? Bonjour, il vous reste de la place pour deux personnes ? demandé-je à un serveur.? Bien sûr ! Installez-vous où vous voulez !Nous choisissons une table ni trop loin, ni trop proche de celle de ma prof. Cette dernière m?a immanquablement repéré et je devine sur son visage une grimace allant de l?exaspération à l?amusement. Un serveur vient prendre nos commandes dans les minutes qui suivent. Je prends soin de ma meilleure amie, faisant des efforts inouïs pour être charmeur et galant. La situation est un peu gênante, d?autant plus qu?elle semble beaucoup amuser ma meilleure amie.? Tu es très jolie, dis-je simplement.? Plus ou moins que ta prof ? répond-elle avec ce sourire moqueur qui ne semble plus quitter son visage.? Mmmh. C?est différent. Toi, tu es une jolie petite blonde de vingt ans, célibataire. Elle, une brune approchant de la trentaine, en passe de se marier.Le repas se déroule tranquillement. Nous parlons de tout et de rien, et ma meilleure amie me demande même quelques détails croustillants de ma nuit passée avec ma prof. Elle semble assez étonnée par ce que je lui raconte, sans doute ne m?imaginait-elle pas comme ça. Serait-elle un peu excitée à l?évocation de mes aventures sexuelles ? Je pourrais me poser la question. Je la sens plus ouverte que d?habitude et peut-être a-t-elle compris que je ne cherche pas seulement à séduire ma prof. Je lance quelques regards à cette dernière, qui semble préférer ne pas y faire attention.? Et au juste, tu vas faire quoi après ? Tu ne pourras sûrement pas conclure une deuxième fois avec elle ce soir ? me fait remarquer ma meilleure amie.? Je sais, mais c?est pour lui montrer que je ne lâcherai pas le morceau.? Et aussi pour la rendre un peu jalouse ? demande-t-elle, un peu accusatrice.? Ça peut jouer. Mais je ne t?aurais pas demandé de venir si je n?avais pas envie de passer la soirée avec toi, lui dis-je en la regardant droit dans les yeux.Je pense que le message est passé. Nous avons fini de manger depuis quelques minutes lorsque ma prof et son fiancé quittent le restaurant. Notre filature recommence. Nous sortons à notre tour, les laissant prendre un peu d?avance. Nous avons déjà fait quelques mètres en leur direction lorsque ma meilleure amie décide de me prendre la main. Je la regarde, interloqué :? Pourquoi pas ? Autant jouer le jeu jusqu?au bout, non ? me dit-elle, espiègle.Un instant, je me demande si je ne ferais pas mieux de laisser tomber mon enquête de la soirée et ramener ma meilleure amie dans mon appart?, pas bien loin, et passer une très bonne nuit avec elle. Mais je devine aussi que mon plan l?excite un peu. Je serre sa main dans la mienne et nous avançons jusqu?au centre-commercial, comme un couple d?amoureux.Ma prof et son fiancé vont donc au multiplex du centre-commercial. Il n?y a pas grand monde à cette heure-là, ce qui nous permet de ratt****r nos cibles et de nous placer derrière eux, dans la file d?attente. Ma prof est juste devant moi, tandis que son fiancé est au guichet. Je lâche la main de mon amie, qui me regarde d?un air entendu, et prends ma prof par les hanches. Elle sursaute, frisonne, mais ne se retourne pas car elle sait très bien que c?est moi. Je me colle contre elle et lui susurre à l?oreille :? Tu passes une bonne soirée ?? Et toi, tu m?as l?air bien accompagné ? me répond-elle presque sans entrouvrir la bouche.? Tu te rappelles ce qu?on faisait, il y a pile une semaine ?Je me recule avant que son fiancé ne se rende compte de ce qu?il se passe. Ils s?en vont en direction de leur salle, tandis que ma meilleure amie commande nos tickets.? On va voir quoi au fait ? lui demandé-je.Elle me répond puis ajoute narquoise :? Forcément, tu ne peux pas la peloter et faire attention à ce qu?ils vont voir.Après avoir payé, nous suivons ma prof et ma meilleure amie reprend ma main dans la sienne. Nous arrivons dans notre salle en quelques instants. Ils sont déjà installés. Il n?y a que trois-quatre personnes en plus, mais elles sont loin.? Tu te mets à côté d?elle, ou on se met plus loin ? me demande discrètement mon amie.? Comme tu le disais tout à l?heure, autant jouer le jeu jusqu?au bout.Et nous allons nous installer, l?air de rien, à côté de ma prof. Si jamais son fiancé nous dit quelque chose, on peut toujours prétexter qu?ils sont sur la rangée la plus élevée, au centre de la salle : le point de vue idéal. Il va de soi que je ne compte pas regarder le film ; en plus, je l?ai déjà vu.Ma prof fait comme si je n?étais pas là. Pour l?instant, je ne peux pas me manifester, j?attends que la salle soit plongée dans le noir.? Et tu fais quoi maintenant ? chuchote ma meilleure amie.? Tu vas voir, lui réponds-je avec un sourire pervers.Quelques minutes plus tard, la salle s?obscurcit enfin et le film commence. Le fiancé suit le film avec attention et je suis presque choqué de voir qu?il ne prend même pas la main de sa future femme. D?un autre côté, ça m?arrange. Ma prof essaye de suivre, mais je sens qu?elle essaye de surveiller ce que je vais bien pouvoir faire. Ma meilleure amie observe mes moindres faits et gestes, curieuse de savoir si je vais oser quoique ce soit, d?un côté comme de l?autre.Au bout de quelques minutes, je pose mon bras sur l?accoudoir gauche, frôlant celui de ma prof, qui instinctivement le retire légèrement. Avant de le rapprocher du mien, l?air de rien. Je laisse mariner quelques instants, puis commence à faire glisser mes doigts sur son avant-bras, en m?assurant que son fiancé regarde ailleurs. Ma prof se laisse faire et je sens pertinemment qu?elle ne suit plus le film. Pendant ce temps, ma meilleure amie semble s?impatienter un peu. Malheureusement, je ne peux pas faire deux choses à la fois. Ma main se pose sur celle de ma prof et dans l?ombre mon visage se penche vers le sien. Je susurre imperceptiblement à son oreille :? T?aurais pas préféré un film érotique ou un porno ?Ma prof ne me répond pas. J?approche doucement mon autre main que je pose sur son sein droit. Son fiancé n?aurait qu?à se retourner pour voir ce qui se passe, mais il semble préférer largement le film au corps de sa future femme. Mes lèvres glissent sur sa joue, ma langue titille le lobe de son oreille, le bout de mes doigts sent son téton se durcir légèrement. Elle ne bronche toujours pas.À ce moment, je sens que ma meilleure amie pose sa main sur ma cuisse. Cela m?étonne. Elle est peut-être timide, mais elle a sûrement compris depuis un bout de temps que je ne lui dirais pas non. Le contact avec ces deux charmantes jeunes femmes entraîne forcément une belle érection qui commence à déformer mon jean. Ma meilleure amie le sent et passe la paume de sa main sur ma bosse. Je frissonne, tout en continuant d?embrasser ma prof dans le cou.Ma prof se retourne doucement et j?en profite pour att****r ses lèvres le plus silencieusement possible. Elle ne me repousse pas, je sens ses lèvres glisser sur les miennes. Puis elle se remet dans son siège, innocemment. Son fiancé n?a pas bougé. Je passe de l?autre côté. Ma meilleure amie continue de me caresser. De la main gauche, j?att**** la sienne, la frôlant du bout des doigts. Mon autre bras passe autour de son cou, elle vient se coller contre moi du mieux qu?elle peut. Je m?approche de son oreille et c?est à elle que je susurre maintenant :? On se révèle au grand jour, dis donc.? Je ne fais que te chauffer un petit peu pour que tu assures avec ta jolie prof, me répond-elle d?une douce voix moqueuse.Ma prof se manifeste de nouveau. Je ne sais plus où donner de la tête et je serais incapable de choisir laquelle j?aurais le plus envie de prendre sur le champ. De sa main droite seulement, ma prof déboutonne agilement mon jean. Sa main frôle la mienne et celle de ma meilleure amie, qui décide de donner un coup de main en descendant silencieusement ma braguette. La proximité de leurs mains m?excite encore plus, et mon sexe bandé déforme mon boxer de façon très peu discrète.Ma prof me caresse discrètement par-dessus mon boxer. Comment réagirait son fiancé s?il voyait cela ? Ma prof a beau être aussi discrète que possible, ça ne peut pas lui échapper bien longtemps. Étrangement, son fiancé lui tourne presque le dos, tellement il est assis bizarrement sur son fauteuil. Ma meilleure amie se dégage de mon emprise et se penche vers moi comme je le faisais vers ma prof, il y a quelques minutes. Elle commence à m?embrasser sur la joue, dans le cou, tout en passant sa main sur mon sexe lorsque ma prof consent à le lâcher. Quelle formidable sensation de se sentir désiré par deux femmes, surtout dans un endroit comme celui-ci.Sans prévenir, ma prof soulève doucement mon boxer. Animé par je ne sais quelle sensation de plaisir, je me soulève légèrement et fais glisser lentement mon jean et mon boxer jusqu?à mes genoux. Si jamais le fiancé se retourne, j?aurais intérêt à vite saisir le premier blouson qui passe.Je me retrouve le sexe à l?air, dans une salle de ciné, coincé entre deux filles qui m?excitent terriblement. Ma prof, sans se tourner vers moi, saisit mon sexe doucement. Ses doigts se referment sur ma verge. Jouissif. Dire qu?elle tient la queue d?un de ses élèves alors que son futur mari est à côté. C?est à peine imaginable. Tandis que ma meilleure amie continue de m?embrasser doucement et que son parfum commence sérieusement à m?enivrer, ma prof lâche mon sexe quelques secondes, se retourne vers son mari, puis revient vers moi en me faisant signe, avec les mains, qu?il est en train de dormir. Elle-même a l?air d?à peine y croire, mais je comprends vite qu?il ne faut pas que je laisse passer cette chance. Surtout qu?ayant déjà vu le film, je sais qu?il a peu de chances de se réveiller avant la fin.Ma prof reprend mon sexe en main et commence à faire de très lents va-et-vient, mais terriblement agréables. Ma meilleure amie me fait alors tourner la tête dans sa direction. Je me retrouve le visage presque collé contre le sien, nos nez se touchent, ses lèvres sont à deux centimètres des miennes. Elle les entrouvre et me dit d?une voix coquine et susurrée :? Et si je me mettais à genoux et que je te suçais ?Je ne sais plus quoi dire, plus quoi faire. À ce moment, deux choix : accepter les délicieuses avances de ma meilleure amie, au risque de se faire choper et de faire un esclandre dans le cinéma heureusement désert ; soit refuser, et tout s?arrête là. La main de ma prof glissant le long de ma queue ne m?aide pas à réfléchir calmement, pas plus que les lèvres chaudes et douces de ma meilleure amie. Un baiser délicieux s?ensuit, sa langue glisse entre mes lèvres, improvise un ballet avec la mienne. Embrasser langoureusement une belle blonde pendant qu?une belle brune est en plein travail manuel sur votre virilité, c?est un vrai rêve. Depuis le temps que je rêvais de faire quelque chose avec elle.? Alors ? me redemande-t-elle en minaudant.Je sens alors sa main rejoindre celle de ma prof. Leurs mains se caressent, se succèdent sur mon sexe, sur mes testicules. Mes deux maîtresses du soir se sourient, fières de l?effet qu?elles me font. J?ai l?impression de ne plus trop savoir ce qui se passe, comme si j?avais fumé un peu trop de joints, mais les effets indésirables en moins. Je suis complètement à leur merci.? Allez ! lui dis-je en chuchotant, pour la provoquer.? Allez ! me répond-elle du tac-au-tac.Et voilà ma meilleure amie, dont je rêve depuis des années pendant mes moments de plaisir solitaire, qui quitte son siège et vient se mettre à genoux, devant moi, les lèvres entrouvertes. Ma prof, qui jette de temps à autre un regard à son futur mari endormi, continue de me masturber pendant que ma plus vieille copine pose sa langue sur mon gland. Je réprime un soupir de plaisir pour ne pas attirer l?attention. Je sens sa langue douce, chaude et humide glisser sur mon sexe, lécher les doigts de ma prof.Je me tourne vers cette dernière. Même si je ne peux pas m?occuper d?elle, elle semble prendre son pied à la vue de ce spectacle surprenant. J?approche mon visage du sien et nos bouches se trouvent immédiatement, comme la semaine dernière. Pendant que je joue avec sa langue, elle lâche mon sexe, aussitôt repris en main, puis en bouche, par ma meilleure amie. Elle commence à me sucer, à faire de longs va-et-vient sur ma queue dressée comme jamais. Imaginer cette fille dont je sais presque tout et qui sait presque tout de moi, à mes genoux, en train de serrer mon sexe entre ses lèvres, ça me plait énormément. Quelque chose de tabou, presque i****tueux, quelque chose de très excitant.Complètement excité et un peu inconscient, tout en embrassant ma prof avec passion, je glisse ma main droite dans son décolleté avantageux. La coquine semble porter un soutien-gorge en dentelle. Sous ma paume, je devine ses seins, ses tétons. Sa poitrine se gonfle au rythme de sa respiration qui accélère. Ma meilleure amie s?applique. Ses caresses buccales sont un enchantement divin. Vu l?entrain qu?elle y met, je ne peux m?empêcher de penser que cela faisait longtemps qu?elle attendait cela. J?aurais donc peut-être pu conclure depuis des années. Mais vu la situation du moment, je ne regrette pas d?avoir attendu tout ce temps. Sa langue titille mon gland puis glisse le long de mon sexe, elle le reprend en bouche, fait quelques va-et-vient, ralentit, me lèche jusqu?aux bourses, reprend mon sexe entre ses lèvres autant qu?elle peut le faire. Elle fait tout cela avec beaucoup de douceur, ses lèvres, sa langue, tout me procure un immense plaisir. Alors qu?elle remet en place une mèche de cheveux qui la gêne, je prends sa tête de ma main libre et caresse doucement ses beaux cheveux blonds qui sont d?une délicatesse angélique.Je n?en oublie pas pour autant ma petite enseignante préférée, dont je n?arrive pas à quitter la bouche, cette même bouche qui me procurait mille plaisirs il y a une semaine. Bien sûr que j?ai envie de mon amie, depuis le temps que je fantasme sur elle, que je la déshabille en silence, que je pense à elle sous la douche. Mais, je ne dirais sûrement pas non à un coup de « Revenez-y » avec cette charmante prof, ses beaux seins généreux, ses cuisses et ses fesses si douces, son sexe si enivrant.Ma main glisse sous son soutien-gorge, je sens son sein nu sous mes doigts, je commence à triturer doucement son téton. Mon Dieu que j?ai envie d?elle ! Mis à part la présence de son fiancé à trente centimètres de nous, je ne sais pas ce qui me retient de lui déchirer son haut, de lui retirer ses dessous en dentelle et de lui lécher les seins avec une gourmandise se mêlant à la luxure.Je reprends mon souffle et quitte ses lèvres. Ma meilleure amie me pompe toujours avec onctuosité. Je ne vais pas tenir bien longtemps. Je ne sais pas jusqu?où elle veut aller, mais je pense qu?elle connait les conséquences de son acte sur un garçon au bord de la jouissance. Je prends sa tête de ma main droite et de ma main gauche, je repars du côté de mon enseignante. Je pose ma main sur sa cuisse. La proximité de son sexe m?excite encore un peu plus, si c?est possible.Alors, comme elle l?a fait avec moi, elle déboutonne son jean. Et comme ma meilleure amie l?a fait avec moi, tout en continuant de me sucer, elle baisse discrètement la fermeture éclair de ma prof. Mon Dieu, si ces deux femmes commencent à s?intéresser l?une à l?autre, je ne vais pas tenir. Et pourtant, c?est ce qui se passe. Alors qu?elle accélère sa cadence sur mon sexe, ma meilleure copine laisse sa main sur la cuisse de ma prof, tout près de ma main. Ma prof se penche vers moi et me susurre :? Leçon n° 1 de la fiancée infidèle : toujours avoir un somnifère à glisser dans le verre de son futur mari.Je mets quelques secondes pour comprendre que le mari n?est pas près de se réveiller et que l?on est à peu près tranquilles. Je n?en reviens pas quand même. Ma prof était-elle à ce point persuadée que j?allais la suivre toute la soirée ? Les femmes me surprendront toujours. En attendant, les autres gens sont à l?autre bout de la salle et il y a encore bien une heure de film.Ma main gauche ne peut pas rester plus longtemps sur la cuisse de ma prof alors que sa petite culotte en dentelle semble m?appeler frénétiquement. Je pose ma main entre ses cuisses et sens la chaleur de son sexe sous mes doigts. Elle est déjà bien humide. Mes mains caressent le creux de ses cuisses, cette peau douce, chaude et si intime, avant de revenir sur ce petit bout de dentelle sur lequel je commence à appliquer mes doigts. Je sens ma prof frissonner. Son sexe me manquait tellement.Alors que ce qui se passe dans cette salle de cinéma devient de plus en plus insensé, je sens que je vais venir dans la bouche de ma meilleure amie. Elle me regarde dans les yeux et je comprends qu?elle veut aller jusqu?au bout. Je lâche sa tête et je la laisse faire.Les secondes qui suivent semblent figées. Mes doigts s?immobilisent sur le sexe de mon enseignante. Je jouis entre les lèvres de la fille en laquelle j?ai le plus confiance au monde. Quelques jets de sperme viennent se jeter sur sa langue, dans sa bouche, au fond de sa gorge. Une fois qu?elle a fini d?avaler ma semence, elle fait doucement glisser mon sexe hors de sa bouche. Elle me regarde, un peu intimidée par ce moment post-jouissance. J?abandonne mon enseignante et prends la tête de ma meilleure amie dans mes deux mains, avant de me pencher vers elle et de l?embrasser langoureusement. Pour l?instant, je ne trouve pas de meilleur moyen de la remercier de partager ce petit moment de tendresse. Elle embrasse aussi bien qu?elle suce. Divinement douée de sa langue.Après ce long baiser avec ma meilleure amie, nous nous rappelons qu?il y a une troisième personne dans cet étrange petit plan à trois. Tenant toujours sa tête entre mes mains, elle me susurre :? Tu crois qu?elle voudrait ?? Que tu te déplaces un peu sur ta droite ? finis-je avec un sourire non feint.Elle hausse les épaules avec un sourire plein de sens. Je me tourne vers ma prof, qui s?adonne alors à une petite séance d?onanisme.? Je pense. Mais toi, les filles ? Tu m?avais caché ça.? Comme ça fait au moins trois, quatre ans que je te cache que je meurs d?envie que tu me sautes dessus.Un sourire désarmant et un dernier baiser plus tard, elle se déplace doucement sur sa droite, à genoux devant ma prof qui retire sa main de là où elle se trouvait. Ma prof me lance un regard qui semble me dire puisqu?on y est, autant en profiter ! Je viens de me faire faire une fellation complète par ma meilleure amie, qui est également attirée par les filles, de même que mon enseignante d?histoire des religions, qui est censé être hyper-catho et bientôt mariée. Je ne pourrais pas rêver mieux.Je regarde mes deux princesses. Ma prof se soulève légèrement de son siège pour faire glisser son jean jusqu?à ses pieds. Quelles belles petites jambes, quelles belles cuisses, quel beau petit minou caché derrière cette barrière de dentelle ! Ma meilleure amie s?installe comme il faut, prenant ma prof par les hanches, et enfouissant son visage entre ses cuisses. Je la devine qui parsème ces dernières de baisers et de petits coups de langues furtifs. Voir ma meilleure amie qui s?apprête à faire un cunni à ma prof préférée me fait vite retrouver une forme correcte.Ma prof se vautre dans son fauteuil de façon à faciliter les caresses de son amante. Dans la pénombre de la salle, je vois ma copine déposer quelques baisers sur le chaud et trempé petit bout de dentelle de ma prof. Elle la lèche à travers sa petite culotte, ma prof tremble légèrement, respire plus vite, contient quelques gémissements.Je redurcis franchement et je sais que je ne pourrai pas rester spectateur trop longtemps. Pendant que je pose distraitement ma main sur mon sexe, je regarde ma meilleure amie qui tire doucement la culotte de ma prof. Celle-ci se relève encore une fois, fait glisser son petit bout de tissu le long de ses jambes. Mon amie le prend et me le passe, me sourit, avant de plaquer son visage entre les cuisses délicieuses de mon enseignante.Je ne peux pas voir avec précision ce que fait ma meilleure amie, mais nul doute que sa petite langue agile est déjà en train d?arpenter les lèvres et le clito de cette belle femme qu?elle ne connaissait pas encore il y a quelques heures. Ma prof se mord les lèvres, se tortille sur son siège, laisse échapper un gémissement. Puisque qu?il est certain qu?on finira au poste si on se fait choper, autant y aller franchement. Je me décide d?aller plus loin et de remonter le haut de ma prof. Elle parvient à se concentrer suffisamment pour lever les bras, et je lui retire complètement. Elle se retrouve seulement vêtue d?un soutien-gorge, qu?elle décide elle-même de dégrafer et de retirer avant de s?affaler de nouveau dans le fauteuil.Ma prof est complètement nue. La petite frimousse blonde de ma meilleure amie entre ses cuisses, en train de lui dévorer le minou. Je ne me retiens pas plus longtemps et me penche vers mon enseignante pour lui caresser doucement le ventre et les seins. Je m?imprègne de la chaleur de sa peau, je sens sa respiration et le rythme de son c?ur sous mes mains. Je prends un téton entre mes lèvres, je le titille du bout de la langue, je le suce. Quels magnifiques seins ! Je pétris l?un, je lèche l?autre, j?inverse. Je lui mange la poitrine avec passion.J?imagine le scandale : « Une enseignante en université a été placée en garde à vue hier soir. Elle a été retrouvée dans un cinéma en train de s?adonner à de scandaleux ébats sexuels avec un de ses élèves et une amie de ce dernier, après avoir délibérément drogué son fiancé ».Tout en m?occupant joyeusement de ses seins, j?imagine ma meilleure amie lécher la cyprine de ma prof, juste après avoir avalé mon propre sperme. Je n?aurais jamais pensé ça d?elle, comme quoi ! Mais rapidement, je sais que j?ai envie de lui donner un petit coup de main. Non seulement parce que j?ai envie de me rapprocher d?elle, mais aussi parce que le sexe de ma prof m?attire irrémédiablement. Je quitte donc ma place et je me glisse en biais à genoux derrière ma meilleure amie.Je la prends par les hanches. Quelle finesse ! Mon sexe bute contre ses petites fesses malheureusement recouvertes d?un jean. Elle ne bronche pas et continue de lécher le minou de mon enseignante. Deux filles bi rien que pour moi, le rêve de la majorité de la population masculine de ce pays !Collé tout contre ma meilleure amie, je la regarde lécher le sexe d?une autre fille et autant dire tout de suite que cela m?excite énormément. Tout en la laissant faire, je commence à faire glisser mes mains sous son haut, le long de ses hanches nues. Quelle peau douce ! J?entends les petits bruits de sa langue sur le minou de ma prof. Je sais le plaisir qu?elle doit prendre à visiter son intimité. Petit à petit, mes mains remontent sur son ventre, et glissent jusqu?à ses seins. Plus petits que ceux de ma prof, mais bien fermes, la peau lisse comme de la soie, les tétons gonflés sous le bout de tissu. C?est tellement irréel de peloter ma meilleure amie qui est train de faire un cunni à une de nos profs. Mais tellement bon.Comprenant que je la trouve beaucoup trop vêtue pour un instant pareil, elle retire momentanément son visage de là où il était, laissant ma prof pousser un soupir de frustration. En dix secondes montre en main, ma meilleure amie retire son haut et son soutien-gorge et les jette sur le siège d?à-côté, avant de replonger entre les cuisses divines de notre amante exceptionnelle.Je plaque mes mains sur ses seins nus que je caresse doucement. Je m?imprègne de leur forme, de leur texture, de leur chaleur. Tripoter une fille qu?on connaît presque depuis l?enfance, ça a quelque chose de délicieusement tabou et j?en profite. Je parsème sa nuque et son dos de baisers, tout en pétrissant délicatement sa poitrine entre mes paumes. Ma prof pousse de légers gémissements que la musique du film couvre à peine. Mes deux princesses semblent aimer le saphisme.Puis, n?y tenant plus, tout en gardant fermement les seins de ma meilleure amie dans mes mains, je me penche par-dessus son épaule en direction des cuisses de ma prof. Elles comprennent toutes les deux où je veux en venir et elles me facilitent l?accès, de telle façon que ma meilleure amie et moi pouvons nous partager la délicieuse petite chatte de mon enseignante.Partager le sexe d?une femme avec la fille qui a été votre fantasme numéro un pendant des années est absolument fascinant. Sans même prendre la peine d?explorer les cuisses de ma prof, je fonds sur son sexe, je lèche ses petites lèvres, titille son clitoris et l?entrée de son vagin, je caresse la langue de ma meilleure amie, cette même langue que je vois s?attarder longuement sur le clito de ma prof depuis quelques minutes. Ce clito, nous nous le partageons, nous le léchons à deux. La mouille de ma prof coule sur nos langues, sur nos mentons. Un festin.Étant insatiable et ne pouvant me contenter de ce que j?ai déjà, mes mains quittent les seins de ma meilleure amie, descendent le long de son ventre, atteignent son pantalon dont je défais le bouton et descends la fermeture éclair. Sans attendre, je plaque ma main droite entre ses cuisses.La coquine n?avait rien mis en dessous. Sous mes doigts, je rencontre directement le sexe chaud et humide. Une fine bande de poils le long des lèvres. Divin ! Mon index et mon majeur s?unissent pour glisser sur son minou qui m?est offert. Sa mouille empreint mes doigts. Je joue doucement avec son clito avec mes doigts comme je joue avec celui de ma prof avec ma langue.Mes deux coquines gémissent le plus discrètement qu?elles peuvent, mais je les sens toutes les deux au bord de l?orgasme. Je m?applique autant sur l?une que sur l?autre. Ma prof semble succomber à nos coups de langues conjugués tandis que ma meilleure amie ne sait plus où donner de la tête entre son expérience lesbienne et son meilleur ami qui lui masse agréablement le minou.N?ayant plus que faire de me faire surprendre, j?entreprends de ma main libre de faire baisser le jean de ma meilleure amie. Je m?en vois un peu et je dois arrêter de m?occuper du sexe de ma prof pour cela, mais au bout d?une minute, ma meilleure amie se retrouve presque nue au beau milieu du cinéma. À ce moment, mon sexe bute durement contre ses fesses nues que je m?empresse de caresser. Le même délice que ses seins.Tout en léchant farouchement ma petite enseignante, ma meilleure amie se cambre alors de façon bien nette, à quatre pattes, et donne de petits coups de reins pour sentir mon sexe. Il ne me faut pas cent-sept ans pour comprendre ce qu?elle veut. Je la prends fermement par les cuisses, ses magnifiques cuisses, me recule autant que la largeur de la travée me le permet, et mon sexe glisse délicieusement à l?intérieur du bas-ventre de ma plus fidèle confidente.Une fois en elle, je savoure. Enfin, je pénètre dans cette étroite petite grotte, bouillante et humide. Enfin, je fais l?amour à cette fille. Mon sexe commence à entrer et sortir d?entre ses cuisses, me donnant une ivresse absolue. Je sens ma queue glisser doucement entre ses petites lèvres. Parfaitement cambrée et ayant du mal à étouffer ses gémissements, elle continue cependant de lécher ma prof avec toujours plus d?ardeur. Ma petite enseignante att**** le soutif de ma meilleure amie et se met à le mordre pour faire taire ses propres cris de plaisir.Je continue de prendre ma copine en levrette comme si nous étions dans un lit à l?abri des regards indiscrets. Outre le fantasme absolu que je suis en train de vivre, la crainte de nous faire prendre agit comme un stimulant et je redouble de vigueur. Mes mains ne tiennent pas en place, elles glissent sur ses cuisses, ses fesses, son ventre, remontent jusqu?à ses seins, redescendent sur son clito, la reprennent fermement par les hanches. Depuis le temps que je la désirais, je peux bien profiter de toutes les beautés de son corps.Ma prof écarte un peu plus outrageusement les cuisses. Je distingue la langue de ma meilleure amie essayer de titiller le plus précisément possible le minou de sa conquête malgré les coups de reins que je prodigue à l?intérieur de son corps. J?augmente la cadence, prêt à jouir, puis ralentis de nouveau. Nous avons encore assez de temps pour nous donner un peu de plaisir.Cependant, les deux femmes gémissent maintenant franchement et le film en est à une scène complètement silencieuse, sans musique et sans dialogues. Malgré mon envie de continuer à prendre fermement ma meilleure amie, je me contente de légers et très lents va-et-vient, en attendant le moment où je pourrai de nouveau y aller plus franchement. Elle-même se voit obligée de baisser l?intensité de son cunni, laissant ma prof mariner. La respiration de cette dernière est très rapide, je devine ses seins se soulever suivant sa cadence. Quelle magnifique poitrine, ronde, ferme, douce.Ma queue toujours fermement enfouie dans le minou de ma meilleure amie, je recommence à lui faire l?amour aussitôt que la musique du film revient. J?y vais avec un mélange de brutalité et de tendresse qui ne semble pas lui déplaire. Ses fesses claquent énergiquement contre mes cuisses. Elle ne parvient plus à s?occuper convenablement de ma prof qui commence à se toucher en nous regardant, tellement excitée qu?il ne lui faudra que quelques secondes pour arriver au plaisir.Faire l?amour à ma meilleure amie en regardant ma prof se donner du plaisir? J?augmente encore le rythme, faisant glisser dans le sexe de ma meilleure amie toute la frustration de ces dernières années passées à penser à elle sous la douche. Ma meilleure amie est en train de venir. Je ne peux pas tenir plus longtemps et au coup de reins suivant, je jouis une deuxième fois en elle. Je sens les jets de sperme se propager dans son ventre pendant quelques secondes où nous sommes tous les deux immobiles, ivres du plaisir partagé. Le temps semble suspendu et enfin, je me retire.Je reste à genoux derrière elle, la laissant reprendre ses esprits. Un petit filet de sperme coule sur ses cuisses. Avançant ma main entre ces dernières, je retiens ce petit filet tandis que ma meilleure amie se redresse doucement et vient se coller dos à moi. Laissant ma main là où elle est, et plaçant l?autre sur ses seins, elle retourne doucement son visage dans ma direction et nos bouches se retrouvent pour un baiser langoureux qui semble se prolonger pendant des heures.Ma main recouverte de sperme se dirigeant vers ses fesses, et l?autre empoignant doucement un de ses magnifiques petits seins, je l?embrasse doucement dans le cou, la nuque, le creux de l?oreille. Elle semble apprécier ce petit moment de complicité post-jouissance, et moi aussi. Au moins aussi bon que des préliminaires.Ma prof nous sourit. La semaine dernière, elle me séduisait par surprise, me faisant réaliser ce qui n?était même pas encore un fantasme, n?y ayant jamais vraiment pensé. Aujourd?hui, elle me permet de faire l?amour à la merveilleuse petite blonde que je tiens entre mes bras.Puis, sachant que l?on ne pourra pas rester indéfiniment dans cette position, ma prof tend son soutien-gorge à ma meilleure amie. Je le lui ragrafe, puis elle se lève doucement afin de remettre son jean, malgré ses belles cuisses encore toutes pleines de ma semence. Elle renfile ensuite son haut, me jette un petit sourire, puis retourne s?asseoir à sa place, en attendant que je me rhabille.Je me retrouve face aux cuisses délicatement écartées de mon enseignante,encore tremblantes, et je ne peux m?empêcher d?y plonger la tête une dernière fois. Je savoure la douceur de ses cuisses, l?odeur de sa mouille, la chaleur de son clito. Mon nez glisse entre ses lèvres, puis ma langue, avant d?y déposer un dernier baiser. Elle a un petit sursaut. Dieu qu?une femme peut être belle.Je récupère mes vêtements et me rhabille aussi discrètement que je peux le faire. Ma prof fait de même, et moins de cinq minutes plus tard, nous voilà tous rhabillés, l?air presque innocent. Ma meilleure amie vient se mettre sur mes genoux, un bras autour de mon cou. Je la tiens naturellement par la hanche. Je sais que notre complicité sort renforcée par cette soirée.? Vous devriez partir maintenant, histoire d?éviter d?éveiller trop de soupçons, nous suggère notre enseignante à voix basse.? J?espère pour toi que le gentil monsieur à ta gauche t?honorera ce soir, tu le mérites, lui dis-je narquois.? Vu la dose que je lui ai mise, j?en doute, ricane-t-elle. Il n?y a pas que lui qui en a pris une bonne dose, d?ailleurs, continue-t-elle en lançant un regard espiègle à ma meilleure amie.? Je ne savais pas non plus, que toi, les filles ? lui dis-je.? Tu ne peux pas tout savoir de moi en une semaine, fait-elle remarquer. Tiens, ça mis à part. Le mariage est en juin prochain. Ça vous dirait de venir ?? Mmh, comment tu expliques à ton jules que tu invites tes élèves à ton mariage ?? Je peux très bien avoir sympathisé avec eux, non ? C?est le cas d?ailleurs, ajoute-t-elle dans un sourire.Nous la quittons alors et partons discrètement de la salle. Dehors, nous sommes toujours au mois d?octobre et il fait froid. Tout naturellement, je prends mon amie dans mes bras et l?embrasse. Je me sens bien.Quelques stations de métro et quelques centaines de mètres plus tard, nous arrivons dans mon appart?. Ma meilleure amie squattant souvent chez moi, elle fonce naturellement dans ma salle de bains pour prendre une bonne douche. J?attends tranquillement sur le canapé, faisant le point sur ma soirée. J?ai le sourire béat du type qui vient d?avoir une super soirée de sexe inespérée. Et en même temps, je me pose une autre question. Aurait-ce été pareil avec une autre fille qu?elle ? Si j?y ai pris tant de plaisir, n?était-ce pas pour une raison un peu plus profonde ? Quelques minutes plus tard, elle arrive nue, trempée, dégoulinant sur mon carrelage.? Tu aurais pu me laisser une serviette ! me dit-elle en levant les yeux au ciel.? Si tu n?avais pas fermé la porte avant que je ne fonce te rejoindre sous la douche, cela aurait été faisable. Tu n?as qu?à prendre la mienne.Elle revient dix secondes plus tard, enrubannée dans une serviette blanche. Comme la semaine dernière avec ma prof, la serviette a un peu de mal à cacher simultanément ses seins et son sexe, ce que je trouve toujours aussi mignon. Elle vient s?allonger sur le canapé, sa tête sur ma cuisse. Je pose une main sur sa hanche, je la regarde. Je la trouve belle. On reste ainsi, sans rien dire, pendant quelques minutes, puis :? Je vais aller me coucher, me dit-elle en se redressant. Et je pense que je ne pourrai pas m?endormir ce soir si je ne suis pas dans tes bras.Un petit bisou dans le cou plus tard, elle se lève, enlève sa serviette et s?en va dans ma chambre, complètement nue. Je suis subjugué par ses hanches et ses fesses. Si j?étais bestial, je la prendrais tout de suite contre le mur. À la place, je fonce prendre une douche, hagard.Je reviens dans ma chambre quelques minutes plus tard et la retrouve nue, allongée sur le ventre, la tête reposant sur un bras, les yeux clos. Belle comme un ange, excitante à souhait. Grimpant sur le lit, je commence à embrasser ses pieds, ses mollets, ses cuisses. Je m?attarde sur ses magnifiques et douces fesses, je remonte le long de la colonne. J?arrive dans la nuque, je passe sur ses joues, je rencontre sa bouche. Nos langues se mêlent de nouveau. Mon sexe entre de nouveau en érection, sans que je ne sache comment c?est encore possible.Pensant qu?elle souhaite dormir, je me retire et la laisse s?allonger sur le dos. Je me pose à côté d?elle, sur le dos moi aussi. Elle bouge alors et vient poser sa tête sur mon épaule. Je la prends dans mes bras. Elle fait passer sa cuisse sur la mienne. Je sens son minou contre ma peau. Elle prend mon sexe en main, le branle doucement. On reste comme ça quelques minutes. Puis, soudainement :? Oh, puis on dormira plus tard ! s?écrie-t-elle.Elle se dégage alors de mon emprise, se met à genoux au-dessus de moi, à califourchon, écartant doucement ses cuisses, y guidant mon sexe. Elle s?empale lentement sur moi. Je suis en elle une nouvelle fois, c?est encore meilleur. Ses beaux cheveux dorés défaits, elle commence à se déhancher comme une amazone sur ma queue. Nous communions ensemble, et tout ne semble plus qu?amour et sexe dans cette pièce.Elle se couche sur moi, pose son visage sur mon épaule. Je passe mon bras gauche autour de son cou, je pose ma main droite sur ses fesses et je la laisse onduler du bassin pour nous deux. Je sens tout son corps sur le mien, ses seins, son ventre, ses cuisses.Nous faisons l?amour ainsi, enlacés, fusionnés, ne faisant qu?un. Quand je jouis une nouvelle fois en elle, je comprends pourquoi elle m?excite autant. Je ne trouve alors que trois mots à lui dire, mais il semble que ce sont ceux qu?elle voulait entendre.
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