FilatureVêtue BCBG à votre habitude, vous quittez votre domicile pour courir les magasins. Sitôt dans la rue, vous sentez une présence, un regard. Cette sensation est excitante et inquiétante. Admirateur ou prédateur. En quelques instants vous oubliez la mauvaise impression, vous gardez juste le souvenir d'un parfum masculin flottant dans le hall d'immeuble. Un sillage frais et distingué. Mon eau de toilette *quot;Eau sauvage*quot; de Dior. Cette effluve vous suit partout et vous la croisez au détour des rayons de magasins et dans les rues. Rassurée mais curieuse, vous essayez de trouver son porteur. Ce jeune homme en jean: non, trop décalé. Ce quadra en complet sombre: non, trop typé jeune cadre dynamique. Cet homme âgé d'environ 60 ans, habillé discrètement mais très classe: peut être. Emoustillée de vous savoir suivie, vous usez de tous les stratagèmes pour piéger cet inconnu. Aucune de vos feintes ne permet d'identifier à coup sûr l'admirateur.
canlı bahis şirketleri Mais toujours ce parfum enivrant qui vous poursuit. Elégante, allure décidée, grâce naturelle définissent votre prestance. Sobrement maquillée, les cheveux soigneusement peignés, tailleur strict mais chic, bas résille avec une couture arrière dressée au cordeau : une jeune femme désirable et un peu difficile à aborder. Un sourire qui fait fondre et un regard un peu timide sont assez paradoxaux mais terriblement séduisants. Je vous suis, vous observe, guette chaque geste qui pourrait m'offrir l'opportunité de plonger dans votre décolleté, de surprendre un instantané de vos cuisses au dessus des bandeaux de dentelles de vos bas, de glisser le regard dans l'entrebâillement de votre chemisier tendu sur vos seins magnifiques. Une occasion inespérée: vous vous dirigez vers les cabines d'essayage les bras chargés. En cette période de soldes, l'affluence
canlı kaçak iddaa est telle que je peux vous surveiller à ma guise sans me démasquer. J'emporte au vol un vêtement quelconque et vous suis. Lorsque vous êtes entrée en cabine, je me poste devant la cabine voisine avec l'allure de l'homme prévenant qui aide sa compagne dans ses courses. Totalement invisible dans cette cohue, je peux à loisir vous dévorer des yeux dans l'intervalle mouvant du rideau toujours mal tiré dans ce genre de cabine. En deux temps trois mouvements vous êtes en sous vêtements: soutien gorge balconnet noir, culotte porte jarretelles et bas noirs également. Fière de votre anatomie, vous vous admirez dans le miroir. Ensuite, c'est une cavalcade d'essayages qui m'offrent des points de vue imprenables sur vos charmes. Votre chute de reins, vos fesses rondes, votre cul haut perché, vos cuisses galbées n'ont plus de secret pour moi. A un moment, vous
canlı kaçak bahis ôtez même votre soutien gorge libérant vos seins fermes qui décidément n'ont pas besoin de cet ustensile inutile sinon pour mieux les valoriser. La fièvre me monte aux tempes et je triture nerveusement mon alibi. Cet effeuillage juste pour essayer un chemisier ample et un peu transparent. Vous voulez savoir si le tissu diaphane et le drapé souple mettront en valeur le galbe de votre poitrine, les renflements granuleux de vos mamelons et épouseront suffisamment de prés vos tétons aguicheurs. Que vos seins sont beaux avec ce petit grain de beauté posé à la naissance de la vallée. Sans doute que mon regard est trop brulant car vous fermez l'interstice du rideau me laissant là sur ma faim planté comme un idiot. Je m'éclipse rapidement et heureusement car vous sortez aussi vite. Réfugié dans un rayon masculin tout proche, je vous dévore du regard. Je devine à votre moue à la fois irritée et satisfaite que vous venez de détecter ma trace parfumée. Rétrospectivement, sure d'avoir été épiée dans cette cabine, vous esquissez un sourire à l'attention de votre admirateur que vous savez proche et vos joues rosissent de plaisir.