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La halte routièreHiver 1981, j'ai 32 ans. Je vis avec une femme depuis 8 ans. Comme toutes les histoires d'amour ça commence avec la passion et ça s'estompe peu à peu. Ma vie sexuelle est un peu morne. J'ai toujours la passion des queues en moi. En fait, je n'ai pas eu d'aventure homo depuis des années.Je me masturbe souvent avec mes souvenirs de jeunesse. Bon sang! Que j'en ai sucé des queues et je réalise que ça me manque parfois. Mais, j'aime beaucoup les femmes, en plus le sida commence à faire des ravages. Donc l'abstinence est de mise.Je suis sur la route et je me rends à un congrès à Toronto. Je pouvais y aller en avion mais j'avais tout mon temps, et passer du temps avec moi-même me plaisait. Je souhaitais quand même embarquer un auto-stoppeur, on se sait jamais. Mais ce n'est pas arrivé. Je me suis rendu à mon hôtel à Toronto, ville que je déteste. Jamais rien à faire dans cette ville de puriste.Le congrès attire bien du monde, les putes surtout. Belles femmes certes mais dispendieuses. Comme je fais souvent dans ma chambre d'hôtel après avoir bu quelques verres avec des confrères, je me fous à poil et je me regarde bander dans le grand miroir. Je me caresse, je regarde mes fesses, qui sont encore imberbes et bien rondes. Je me masturbe un peu, je me couche et je me mets en boule et je continue ma masturbation au-dessus de mon visage. Aujourd'hui j'aurais de la difficulté à faire cela. Je vois mon gland surgir de mon long prépuce, j'ouvre la bouche et j'éjacule. Je reçois de mon sperme au visage et dans ma bouche. J'avale mon sperme et j'aime ça.Je me déroule de mon athlétique position et je continue ma masturbation. Je récupère du sur sperme sur mon visage et je le mets sur mon anus et je m'enfonce un doigt bien creux. J'éjacule de nouveau. Je me dis: « Me voilà comblé pour deux jours!»Le congrès se poursuit, les soupers se succèdent, mes masturbations se poursuivent dans l'intimité de ma chambre. Au bout de la semaine, le congrès était pour se terminer. J'ai donc décidé de partir dans la soirée au lieu du lendemain. Je voulais faire une surprise à ma copine et peut-être aussi de la baiser. Le roule donc vers Montréal et je devais y être vers les dix heures. Heure parfaite pour la baise. C'est l'hiver et les routes sont un peu glacées, je ne dois pas excéder les limites de vitesses. Ça va être long c'est 600 kilomètres. Au bout de deux heures, je vois une halte routière. À l'époque les haltes routières étaient juste une grosse cabane avec des toilettes pour hommes et pour femmes d'un côté. Pas de restos, juste des machines distributrices et même chose pour le café. La halte était construite entre les deux autoroutes. Il y avait un large parking pour les camions et souvent les camionneurs s'y arrêtaient pour dormir. Mais là, il était trop tôt, le parking était désert.J'entre dans la toilette pour hommes. Je suis seul. Il y a des urinoirs et des cabines. Je préfère les cabines car avec mon long prépuce, j'aime bien m'essuyer proprement et assécher mon gland, sinon j'ai toujours l'impression d'être humide. En pissant, j'entends quelqu'un qui entre dans la bâtisse. Quelqu'un est aux urinoirs. Je finis de pisser, je me réajuste les jeans et j'actionne la chasse d'eau. J'ouvre la porte et je vois un type qui se tient de côté avec sa queue en main et parfaitement bandée.Je paralyse dans la porte de la cabine. Il fait «Hi!» avec un air inquiet. Son jean est détaché et je vois son poil pubien. Il a l'air un peu ridicule avec son manche en main et il regarde souvent par-dessus son épaule pour voir si quelqu'un arrive. Dans ma tête ça va vite. J'avais déjà entendu parler que des hommes allaient dans des haltes routières en quête d'aventures homos, mais je ne pensais pas à une route aussi achalandée.J'ai le choix de l'ignorer et de sortir, ou me laisser tenter par cette opportunité. Personne ne me voit, personne ne me connaît, je me dis: «Bof! Pourquoi pas!» Le type avait mon âge sans plus, il était quand même bel homme et il avait tout de même un bel engin. Je me recule et ankara escort bayan je m'assoie sur la toilette et je le regarde. Il s'avance toujours queue en main et il entre dans ma cabine et ferme la porte derrière lui. J'ai sa queue à quelques centimètres de ma bouche. Je la saisis, c'est chaud et dur, c'est une queue de bon calibre. J'ai comme un vertige. J'ouvre la bouche et il avance, sa queue entre dans ma bouche. Je suce cette belle queue, j'en suis tout remué en dedans. Ça goûte bon sur ma langue. Un mélange d'urine et de mouille (precum). Je bande à me faire mal. Il se retire de ma bouche et il me fait signe de me lever. Il passe devant moi, j'ai son visage à quelques centimètres de mon visage. Il dit tout bas en anglais; «My turn!» Je défais mon jean et je sors ma queue. Il la regarde et fait; «Nice!» Sans hésité il avale ma queue et décalotte mon gland dans sa bouche. Il me suce et il suce bien, je me retire de sa bouche pour ne pas jouir et il soulève ma queue et il me bouffe les couilles. Cet homme avait autant envie que moi d'une bonne baise entre hommes.Il me dit ; « Let's go in my truck!» On remet nos queues dans nos culottes et on sort de la bâtisse. Je croyais qu'il conduisait un camion remorque avec un *quot;slepper*quot; dans la cabine. Il conduisait un gros camion cube. Je monte et je m'engouffre dans le camion. On n'était pas assis qu'il avait la bite sortie. Je saisis sa queue en m'approchant de lui. Nous somme à l'étroit et je ne suis pas très à l'aise. Il a deux autres voitures qui arrivent. Des hommes en sortent et entrent dans les toilettes. Nous sommes plus hauts que les voitures, on ne peut nous voir, mais je suis inconfortable de faire cela dans un camion. Tout en astiquant sa belle queue de 18 ou 19 centimètres, je lui demande s'il a du temps devant lui, il me dit que oui, il doit être à Toronto dans la matinée. Je lui fais la suggestion d'aller au prochain motel. Il semble hésité, je lui dis qu'on serait beaucoup mieux et je lui dis que je paie la chambre. Il fait signe que oui. Il me dit qu'il y a un petit motel à quelques kilomètres.Je sors du camion et j'embarque dans ma voiture. Il me suit. Je suis fébrile et nerveux. Le gars me plaît, il est bel homme, il est de ma carrure et de mon âge environ, yeux bleus et cheveux noirs un peu bouclés et il a une magnifique queue. Mon c?ur bat fort au comptoir du motel. Le tenancier me donne ma clef. Je fais signe au chauffeur du camion qui attendait au bout du parking. Avec mes mains de fais *quot;dix*quot;. Les phares s'éteignent et je le vois descendre du camion. J'ouvre la porte de la chambre de motel et on entre ensemble. Il me sourit, je lui souris aussi, on a l'air un peu niais ne sachant par où commencé. Il brise le silence en disant qu'il va aller à la toilette. Il jette son blouson de cuir sur la chaise et entre dans la salle de bain. Je me dis: «Je fais quoi? Je me fous à poil et je m'étends? » De la salle de bain j'entends la douche. Je me dis: « Bonne idée ça! Moi aussi je vais prendre une douche!» Je me déshabille et avant que j'enlève mon caleçon, il sort de la salle de bain à poil et en érection. Il est comme moi peu poilu. Il a une serviette et il continue son essuyage et je lui dis que moi aussi je vais aller me rafraîchir. Il passe non loin de moi et allume la télé, je vois ses fesses rondes et dodues. «Je rêve!» Que je me dis.Sous la douche je me savonne rapidement et je me rentre un doigt bien profond et je constate que j'ai le rectum parfaitement vide. Je sors moi aussi à poil et en érection. Il est sur le lit étendu sur le dos, il a en main sa queue qu'il caresse. Il me regarde sans rien dire. J'embarque un genou dans le lit et je m'étends sur lui. Il m'accueille entre ses bras et ses cuisses. Le contact est électrisant, nos queues se chamaillent. Je relève un peu le visage et avant même que je réagisse, il me rentre sa langue dans ma bouche. Je n'aime pas que les hommes m'embrassent, j'ai toujours eu une réticence face aux baisers entre hommes. Il sent mon inconfort et il me demande en anglais: escort ankara - Tu n'est pas gay toi?- Non! Pas vraiment!- Moi non plus! Marié?- Heu! Oui!- Moi aussi! Ta femme sait?- Heu! Non!- Moi non plus!On ne dit rien et on se sourit. J'avoue que son baiser m'avait un peu ébranlé, j'avais aimé cela. Il semblait gêné de m'avoir embrassé. Alors je me suis avancé la bouche et on s'est frenché un bon moment. Les yeux fermés, il n'a pas de différence entre un homme ou une femme. Puis, j'ai commencé à lui embrasser le corps, sucer ses mamelons pour arriver à sa queue. Je lui fais remonter les cuisses et j'ai devant mes yeux ses testicules de la grosseur d'un petit ?uf chacun. Je vois sa queue érigé comme un monument. Belle et large avec un gland déployé comme un champignon. Il a une raie poilue et fournie, je ne distingue pas sa rosette. Je lèche doucement le duvet de ses couilles et je les suce une à une doucement et délicatement. Il gémit un peu, je lèche sa queue jusqu'au frein de son gland et j'embouche son gland loin dans ma gorge et je suce ce beau fuit de chair. Je reprends mon point de départ sur ses couilles et là j'aventure ma langue dans sa raie et je lèche sa rosette. Il fait un «ooooo!» Je sais qu'il est adepte de la sodomie, son trou se détend il est ouvert et ma langue s'enfonce dans son cul. On devient comme un a****l affamé quand on commence cela. Je me régale de son cul et de sa queue. Après un moment il me demande de ralentir, il ne veut pas jouir toute suite. On reprend nos sens et je me couche à côté et il se jette sur moi. Me frenche encore et encore, je me laisse faire et il descend sur mon sexe. Il lui aussi, il me mange le cul et la queue. Suce mes couilles. Bref, il fait ce que tout hommes aiment se faire faire.Je suis au bord de l'éjaculation et je lui demande moi aussi de cesser un peu, le temps de reprendre nos esprits échauffés par le désir. Mais la pause ne dure pas, il se place au-dessus de moi en 69. C'est le festival de la fellation et du mange cul. Je me considère chanceux d'avoir rencontré ce mec. Il n'est pas coincé, il aime ça autant que moi. On se régale vraiment. Puis, c'est les doigts enfoncés dans nos orifices anaux. C'est vraiment bon et excitant. Durant qu'on se bouffe le cul, je pense que je ne connais même pas son nom. Mais ce n'est pas le temps de faire les présentations, c'est le temps de jouir. On devient fortement excité, il va éjaculer et moi aussi. On grogne de plaisir, et voilà que je lâche tout et lui aussi. J'ai avalé je ne sais pas combien de fois, mais j'ai tout avalé et lui aussi. C'était abondant, épais et goûteux. Même si on a joui on continue à se lécher les boules et le cul. J'adore le sperme, le mien ou celui des autres. Les premières fois, je n'ai pas trop aimé. J'avais eu des avants goût parfois avec des partenaires dont la queue bavait tout le temps, mais quand vint la grande rasade, ça été difficile d'avaler. Après 4 ou 5 fois, j'ai comme apprécié de plus en plus le goût. Rien de plus excitant qu'une queue bien dure qui se vide dans votre bouche.Il se lève de moi et il demeure à genoux à côté de moi. Sa queue est un peu pendante comme la mienne un peu dégonflée. Je m'attends à ce qu'il me dise «Thanks» et qu'il s'habille et parte. Mais non, au lieu de ça il me dit toujours en anglais:- Wow! C'était très bon ça! J'espère que ce n'est pas fini?Il saisit ma queue, me masturbe lentement. Je lui fais signe que non et je l'invite à reprendre le 69. Je lui dis que j'aime voir son beau cul. Il se replace en me souriant et on repend notre bouffe de cul. J'ai les genoux remontés, il est vorace entre mes cuisses, il est comme moi il en profite et surement autant que comme moi. Il doit se considérer lui aussi chanceux. Puis, on change de positon, toujours en 69 mais sur le côté, on a les cuisses ouvertes et on se déguste du gland à la rosette.Arrive la question « Can I fuck you?» Je lui dis oui évidemment. Il se lève et fouille dans son blouson et il en sort des condoms et un tube de KY qu'il me montre fièrement. ankara escort bayan Je me place à quatre pattes les genoux au bord du lit. Il est debout et il me donne des coups de queue sur les fesses. Puis, il rage à se mettre un condom. Je lui dis en anglais que ce n'était pas indispensable. Il me répond qu'il a peur du sida. Il me fait réfléchir et je lui réponds que c'était plus prudent. Puis, mon partenaire se choque car il vient de débander. Je lui dis qu'on va arranger ça. Je me place sur le dos, la tête hors du matelas et j'entreprends à lui sucer les couilles et lécher sa belle rosette distendue. Il se masturbe et là, il vient mettre sa queue au fond de ma gorge. Je lui sers et caresse les fesses, il plie les genoux pour me forniquer la bouche. Il redevient dur et il se met le condom durant que je lui bouffe le cul. Enfin prêt, je viens pour me replacer à quatre pattes et il me dit non. Il me veut sur le dos les cuisses remontées. Il appuie ses genoux sur le bord de lit. Il applique du KY sur mon cul et son gland. Il place son gland sur ma rosette et sans trop de ménagement, il pousse et il me pénètre. Je n'ai aucune douleur, c'est merveilleusement bon. Je ne sens pas différence avec le condom, mais je sais que je ne sentirais pas son éjaculation en moi. Il y va à grands coups, il se porte sur ses mains et il vient me mettre sa langue dans ma bouche. On se suce les langues et je viens de réaliser que j'avais refusé toute ma vie de jeune les baisers entre hommes. Mon ami Yves me disait que c'était excitant et j'avais eu toujours dédain de ça.Puis, je me suis mis à me masturber, il m'a dit de ne pas jouir car il voulait ma queue dans son cul. Il a ses mains sur mes genoux me tenant les cuisses écartelées. Il à la bouche ouverte et les yeux fermés, il y va à grands coups dans mon cul. Il fait un long «haaaaaaa!» Il jouit, 3 ou 4 coups de herse bien creux et il sort de moi avec un condom rempli de sperme. Je m'assieds au bord du lit et je lui retire le condom et j'embouche sa queue pour bien la laver avec ma langue. Il fait des petits «Haaa! Haaa!» visiblement sensible du gland que je lèche.Il tombe à plat ventre de travers dans le lit, il me dit que c'était génial qu'il avait jouit comme un cochon. Je me suis dit; «Me voilà bon pour une branlette!» J'ai devant moi ses jolies fesses que je caresse. Il ouvre les cuisses et je sens ses fesses se soulever sous mes caresses. Je m'installe entre ses cuisses qu'il ouvre encore plus. J'enfouis mon visage dans sa raie et je lui bouffe le troufion en tenant à deux mains ses fesses dodues. Il fait des «Mmmm!» Je le pénètre du pointu de ma langue et il suit le mouvement. Je me régale de son beau cul, il est presque à quatre pattes. Je vois sa queue pendouiller sous lui. Je la saisis d'une main, il n'est pas bandé mais disons enflé. Puis, il est maintenant à quatre pattes, cul offert et trou dilaté. C'est à moi de me battre avec un condom mais je ne débande pas. Je déroule le condom sur ma queue et je mets du Ky. Je place mon gland sur son anus, je pousse et je vois ma queue disparaître peu à peu entre ses belles fesses rondes et pâles. J'y vais moi aussi à grands coups et il va au-devant de mes coups de reins. C'est bon, je suis haletant. J'ai l'impression que son cul me suce la queue. Il se masturbe à grande vitesse. Ça y est, je viens, j'éjacule. Je ne sais si lui aussi éjacule mais je me vide. Suite à l'accalmie, je sors de son cul. Le bout du condom est pendant et rempli de mon sperme. Je vais à la toilette et à mon retour mon amant inconnu dors avec les couvertures jusqu'au cou. Je me glisse moi aussi doucement sous les couvertures sans le déranger, et moi aussi je m'endors. Aux lueurs de matin, il n'était pas à côté de moi. Il était parti. Il y une note sur la table de chevet à côté de moi qui disait ceci; «Thanks for the exciting night! It's was good and you've been good too! Hope to see you again! Josh!» À la lecture du petit mémo, j'ai eu une érection. Je venais de vivre une belle expérience avec un pur étranger. Je me suis masturbé à jouir et j'ai léché mon sperme que j'avais sur ma main. Hé oui! J'ai passé et arrêté souvent à cette halte routière, mais malheureusement ça été qu'une seule fois et je n'ai jamais vécu d'autres aventures dans des haltes routières.