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Alt 09-28-2020, 06:25 PM   #1
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Standart Le garçon qui ne voulait pas grandir

Le garçon qui ne voulait pas grandirAttention, histoire extrême et dérangeante !Une fois le bac en poche, ma mère m?a proposé de rester à la maison sans rien faire, ni travail ni études, simplement oisif pendant que mon père travaillait et qu?elle-même invitait des amantes et des amants, car elle est bisexuelle. Fils unique et choyé, depuis tout petit, j?ai toujours préféré les jeux de fille à ceux du genre que la nature m?a donné. Ma mère m?avait éduqué dans ce sens. Elle ne m?avait d?ailleurs pas caché qu?elle aurait préféré que je fusse une demoiselle. Elle m?avait appris à croiser mes jambes en toutes circonstances et à préférer les sentiments à l?action. Parfois, après m?avoir épilé avec soin sur toute la surface de ma peau, elle se plaisait à m?habiller d?une robe et d?un corsage rose ou mauve, me maquillait et m?oignait le corps de parfums féminins ; il m?était arrivé d?aller au lycée vêtu ainsi, ce qui bien sûr m?attirait toutes sortes de moqueries, surtout de la part des jolies lycéennes, de sorte que je restais puceau ? ma mère n?était aucunement disposée à me partager avec une personne de mon âge. Mes cheveux bruns, qu?elle coiffait avec soin chaque matin, étaient longs et lousses. Mais la plupart du temps, pour rester à la maison qui était bien chauffée, j?étais complètement nu. Souvent, accroupi sur le tapis du salon, je jouais aux poupées Barbie. Pas de Ken ! Mais une ribambelle de la star de Mattel accompagnée d?une Steffie brune et d?une Miko, toutes lesbiennes jusqu?au bout des minuscules orteils que je les faisais se grignoter à longueur de journée, quand elles ne se léchaient pas la fente que leurs entrejambes lisses n?avaient pas, mais que j?imaginais tout doux et d?une odeur différente que celle du plastique. Ce jeudi-là, tout en présidant aux accouplements saphiques de mes poupées préférées, je bandais d?autant mieux que je ne m?étais pas masturbé depuis la veille. Maman m?interdisait de le faire hors de sa présence et je dormais toujours avec une cage pénienne. Pendant ce temps, assise tout près de moi sur le canapé, elle regardait une cassette VHS porno à la télé, où une fille en sodomisait une autre avec un gode-ceinture. C?est le genre d?accessoire que ma mère utilisait fréquemment avec ses partenaires des deux sexes, et aussi qu?elle me procurait en miniature, afin d?en équiper mes petites Barbie d?une façon réaliste. Trois heures de l?après-midi sonnaient à l?horloge du quartier. Dans mon jeu, Barbie était attachée par les poignets, suspendue, les pieds à quelques centimètres du sol, et la cruelle Steffie, après l?avoir forcée à se déshabiller, la fouettait impitoyablement, tandis que Miko, spectatrice, se caressait afin d?éprouver des orgasmes sadiques. Maman me regardait jouer, une main glissée dans sa culotte, car elle trouvait souvent mes scénarios plus excitants que les films qu?elle visionnait. Parfois, elle me soufflait une idée qu?elle avait vécue réellement dans sa foisonnante vie sexuelle, ou qu?elle avait envie de vivre par procuration. Elle a joui en même temps que Miko, alors que la pauvre Barbie hurlait sous le fouet de la méchante Steffie. Mais dans mon histoire, Barbie n?était pas totalement innocente : elle était une espionne que les deux autres venaient de surprendre en train de tenter de voler des plans secrets. Pour la faire parler, il faudra lui ensuite lui chatouiller les pieds et la faire jouir implacablement sous le feu d?un puissant vibrateur. La belle blonde ultramince n?allait pas tarder à se venger et les rôles du bourreau et de la victime devaient bientôt s?échanger. Cependant, pour l?heure, les tourments de Barbie n?étaient pas terminés : Steffie et Miko enfilaient leurs godes autour de leur bassin afin de s?enfoncer dans leur soumise en double pénétration. Barbie protestait, mais elle adorait cela, au point qu?elle s?était laissée prendre volontairement afin de tomber entre les griffes de ses tortionnaires de charme, et bientôt, elle criait sous les orgasmes délirants qui déferlaient sur elle. J?imitais très bien ses cris aigus, disait ma mère. Malgré ma voix de garçon. Je me souviens de la première fois où Maman s?est masturbée devant moi. C?était six mois auparavant. Elle me l?avait proposé, alors que j?étais encore innocent des réalités de l?anatomie féminine. Elle s?est déshabillée complètement, a pris ses jouets sexuels et m?a tout montré de son corps, en procédant lentement pour que je comprenne bien ? un vrai corps de femme à portée de moi, mais que je ne pouvais pas toucher ! Puis elle a joui en murmurant : dommage que tu ne sois pas une fille. Depuis, elle ne me cache plus rien de sa sexualité, ni solitaire, ni en couple. Une sexualité frénétique. Parfois, Maman se levait de son canapé pour venir jouer avec moi, comme une grande s?ur lubrique. Tous les deux, nous inventions de nouveaux scénarios aux parfums de cyprine pour mes Barbie dévergondées. Elles s?aimaient, copulaient amoureusement entre elles, se trahissaient, se détestaient, se déchiraient, abusaient sexuellement les unes des autres, finalement se réconciliaient sur l?oreiller, et tout recommençait dans un éternel ballet de luxure où les hommes n?avaient pas leur place. Sans jamais avoir fait l?amour, je connaissais tout des positions de la sexualité lesbienne, toutes les pratiques, toutes les perversions, y compris les plus extrêmes, et je possédais tous les accessoires coquins en miniature. J?avais même un Sybian à l?échelle aydýn escort de mes poupées qui vibrait vraiment et sur lesquelles mes personnages de plastiques s?envoyaient en l?air comme des grandes. Quand, dans notre histoire, elles atteignaient l?orgasme, c?était comme si je le ressentais moi-même, mystérieusement. Puis ma mère me chatouillait les bourses du bout des doigts pendant que je m?astiquais ; elle recueillait mon sperme dans une tasse et m?obligeait à l?avaler, parfois allongé d?une larme de whisky, lorsque j?avais été docile à ses fantaisies. Ou bien, à titre de récompense pour lui avoir inventé un conte érotique qui l?avait bien excité, elle me donnait à boire de sa mouille qu?elle faisait gicler d?elle avec l?aide un gros godemiché, sans aucun contact physique entre nous. À la fin de la journée, j?enfilais mon plug anal et je me pelotonnais, tout nu, contre Charlotte, ma grosse ourse en peluche ? presque aussi haute que moi ? pour l?étreindre et lui murmurer à l?oreille mes chagrins secrets, mes fantasmes les plus obscurs, et des mots d?amour obscènes réservés à mon doudou préféré. Parfois, je l?habillais avec des sous-vêtements que Maman me prêtait, afin de les lui retirer comme un amant passionné, et chaque mois, je lui mettais un tampon usagé que ma mère me fournissait, afin qu?elle ait ses règles comme toutes les autres oursonnes nubiles de son âge. C?était possible, car elle possédait, caché sous son épais pelage, un trou entre les pattes arrière. Je pouvais ainsi la pénétrer comme une épouse et juter dans le kapok, sous l??il attendri de ma mère, qui ne perdait jamais rien de ces étranges accouplements, voire me filmait avec son caméscope. Comme je suis hétérosexuel, ma mère avait cousu des seins à Charlotte que je pouvais peloter à loisir, et elle était douée pour la couture, parce qu?ils ressemblaient à des vrais, et non pas ceux des plantigrades, mais ceux de l?espèce humaine. Plus tard, j?ai su qu?un petit dictaphone se trouvait dissimulé à mon insu à l?intérieur de Charlotte, afin d?enregistrer ce que je disais à ma fidèle compagne. Ma mère notait tout sur des fiches classées par thème. Pour elle, le jouet, c?était tout simplement son fils unique. Une fois soulagé dans le vagin en peluche, j?enfilais mon obligatoire cage pénienne, puis finissais souvent par m?endormir, blotti contre Charlotte, le pouce dans la bouche, ou bien une tétine que Maman me donnait. Elle venait tendrement recouvrir notre sommeil d?une couverture. Parfois, elle s?asseyait sur le bord de mon lit pour me raconter une histoire comme les Onze mille verges de Guillaume Apollinaire, ou bien Mademoiselle de Mustelle et ses amies de Pierre du Bourdel, en y mettant le ton dans les passages les plus obscènes de ces chefs d??uvres de la littérature érotique française. Une fois, j?ai surpris Charlotte en train de forniquer avec Maman, sur le canapé. Elles ont fait ça la nuit, les coquines, pendant qu?elles croyaient que je dormais ; mais ma cage pénienne me faisait tellement souffrir que je ne pouvais pas fermer l??il. Charlotte était affublée d?un gode-ceinture et enculait ma mère qui la tenait à pleines mains pour se l?envoyer frénétiquement dans le derrière, couchée sur le dos, les jambes relevées et les yeux révulsés sous l?effet de la volupté que lui procurait le fouillement anal. Cette coquine de Charlotte souriait, comme à son habitude, et elle aussi semblait prendre son pied. J?étais choqué d?une telle infidélité. Je crois que ma mère se sentait penaude comme une épouse adultère surprise en plein ébat, sauf que l?amant était un ours en peluche et le cocu, son fils en pleine crise de puberté ! J?étais en colère. Il fallait une punition exemplaire : je l?ai fouettée sévèrement, après l?avoir attachée au plafond par les pieds. La pauvre Charlotte en a perdu une partie de son pelage. Maman m?a regardé infliger la punition sans rien dire. Puis elle est venue m?aider à augmenter ses souffrances en lui insérant de petites aiguilles dans les seins. J?ai trouvé cela horrible ! Dans mon imagination, la pauvre Charlotte criait et pleurait pour que le supplice s?arrête. C?était pire que si on me l?infligeait. ? Non, ai-je crié finalement : je préfère que tu me le fasses à moi ! ? À toi, mon grand ? C?est une idée, ça. Pourquoi pas ! Mais tu crois que tu pourras le supporter ? ? Pauvre Charlotte, regarde : elle est traumatisée, ai-je répondu en la détachant et en la serrant dans mes bras ! Puis j?ai tout pardonné à mon doudou préféré, et pour tout oublier, Maman m?a libéré de ma cage, nous avons fait l?amour, bouche-à-bouche et sexe à sexe, pendant que la mère nous filmait. Charlotte m?a juré qu?elle ne serait plus jamais adultère. D?ailleurs, à cette occasion, nous nous sommes promis en mariage. Elle avait toujours son gode-ceinture, et nous avons pratiqué le chevillage : elle m?a sodomisé profondément, ce qui était pour moi une découverte. Pendant ce temps, Maman nous filmait. Je crois qu?elle a beaucoup aimé ce qu?elle a vu. Souvent, dans ce salon, elle recevait sur ce même canapé des partenaires de sexe, tantôt des hommes, tantôt des femmes, ou même à l?occasion des groupes, afin de pratiquer le gang-bang ? une fois même, une compagnie entière de légionnaires parachutistes qui venait de fêter la promotion de l?un des leurs. J?étais parfois autorisé à y assister (habillé en fille), mais pas à y participer. Maman se faisait remettre de l?argent pour cela. Quand escort aydýn même, j?avais peur pour elle, parce que les individus qu?elle rencontrait étaient parfois bizarres, pervers, voire brutaux, et ils me regardaient d?une manière assez déstabilisante. Alors, je me suis consolé dans les bras doux de Charlotte, qui me comprenait si bien. Ce n?était pas avec ce que gagnait mon père que nous aurions pu soutenir le train de vie que nous avions. Dans le monde de la prostitution, Maman était ce que l?on appelle une châtelaine : elle ne refusait rien, et tout le monde ne pouvait pas se la payer. Tous les dimanches matin, nous allions à la messe. Les paroissiens et les paroissiennes étaient tous des croyants à l?image des clients de Maman : pervers, nymphomanes ou obsédés sexuels, masochistes, sadiques ou bien les deux. Leur Bible semblait avoir été écrite par le marquis de Sade ? quoique la vraie Bible, en matière d?érotisme, contienne des morceaux d?anthologie si extrêmes que l?on ne pourrait les raconter ici sans risquer la censure, en particulier dans l?Ancien Testament. J?y allais en tenue de fille, maquillé, parfumé et pomponné, avec une robe assez courte qui permettait à mes voisines, toujours des femmes, de me peloter pendant l?office, voire carrément de me branler à pleine main, tandis que ma mère lisait au micro les textes sacrés choisis parmi les plus épicés. Parfois, elle récitait ceux qu?elle connaissait par c?ur, car elle avait une excellente mémoire.Lors de chaque célébration, un membre de l?assemblée se faisait crucifier, avec des cordes, voire avec de vrais clous, à la manière des Philippins. Ils étaient bien sûr nus sur le bois du supplice pendant que le prêtre récitait la prière eucharistique, avec un sédile enfoncé dans l?anus. Lorsqu?il s?agissait d?une femme, le curé la pénétrait toujours au moment de l?élévation ? sans préservatif, car c?est interdit par l?Église catholique. Mais revenons à ce fameux jeudi, où nous étions tous les trois à la maison, Maman, Charlotte et moi. Sous les pantoufles, les pieds de maman, que ses jambes croisées amenaient à la hauteur de mon nez, m?excitaient beaucoup. Ils diffusaient des odeurs merveilleuses. C?était la seule partie du corps de ma mère que j?avais le droit de toucher. Je lui ai demandé la permission de jouer avec. Accordé, à la condition de lui prodiguer un long massage à l?huile d?argan. J?avais l?habitude et pratiquais le pétrissage plantaire avec un art consommé, depuis mon plus jeune âge. Puis, après avoir sucé un à un les orteils, j?ai frotté ma verge tendue entre les deux petons maternels, afin de me soulager de la tension sexuelle qui m?opprimait depuis le matin. Habituellement, j?inondais les pieds d?une giclée de semence que je devais lécher ensuite. Mais ce jour-là, ma mère a regardé sa montre et dit : ? Oh, il est déjà l?heure ! Habille-toi vite, on y va !? Où allons-nous ?? Tu verras bien. Tout ce que je te demande, c?est d?être obéissant. Tu m?avais bien dit que tu n?aimes que moi et que tu es disposé à tout faire pour que je sois contente ? ? Oui, Maman.? C?est parfait. Si tu venais à changer d?avis, Charlotte en subirait les conséquences. ? Jamais de la vie ! Plutôt crever ! ? Alors, sois obéissant et dépêche-toi. Nous sommes montés dans sa voiture. Pendant le trajet, Maman n?a rien dit. Elle semblait gênée, et en même temps excitée de ce qui allait se produire. J?avais obtenu la permission d?emmener Charlotte, ce qui n?était pas si fréquent, et de m?habiller en garçon, ce qui était encore plus rare. J?étais frustré de ne pas avoir eu le droit d?éjaculer. Puis nous sommes arrivés dans un vaste manoir en périphérie de la ville, avec un jardin entouré d?une épaisse rangée de buissons. Ma mère a sonné à la porte et une domestique en tenue de soubrette est venue nous ouvrir, afin de nous mener dans un grand salon où deux dames qui se ressemblaient beaucoup étaient assises sur un sofa rouge sang. Elles étaient vêtues de tailleurs, tirées à quatre épingles, bottées de cuir noir, maquillées, coiffées. C?étaient des femmes mûres, d?une cinquantaine d?années, dont l?air sévère m?intimidait. Un silence pesant régnait sur la pièce qui était plutôt sombre, avec de lourds rideaux ocre qui masquaient la lumière d?hiver. Les meubles eux-mêmes, massivement sculptés, semblaient se souvenir des siècles d?obscurantisme où aucune joie n?était tolérée. J?étais mal à l?aise. ? Ce jeune homme est-il bien à jeun d?éjaculation, a demandé la dame de droite ?? Oui, Madame, a répondu ma mère d?une voix hésitante.? Depuis combien de temps ?? Depuis hier.? C?est peu.? Mais c?est un chaud lapin. Habituellement, il éjacule trois à quatre fois par jour, au moins.? Dans ce cas, nous devrons nous en satisfaire. À partir du moment où il est bien puceau.? Il l?est. ? Ni fille, ni garçon ? ? J?y ai veillé. Faites-moi confiance. ? Il doit consentir d?avance à tout ce qu?il subira, a dit la femme de gauche. ? Il consent. N?est-ce pas, Stéphane ?? Euh? oui ! Je consens.? Mais il doit ignorer la suite.? Il l?ignore.? Très bien. Dans ce cas, pour que tout soit clair, je vais vous payer d?avance.Elle a tendu à ma mère une enveloppe que celle-ci a ouverte : elle était remplie de billets. ? Déshabille-toi, jeune homme, a dit la dame de gauche d?un ton qui n?admettait pas la controverse.J?ai obtempéré, quelque peu intimidé, mais aussi excité par cette situation. ? C?est un bel engin que tu as là, déjà en érection. Félicitation, aydýn escort bayan Madame.? Merci.Elle m?a touché le pénis et palpé les testicules, comme un médecin qui vérifie que tout est en place, ce qui n?a fait que renforcer mon érection. ? Tu aimes quand je te tripote, n?est-ce-pas ?? Oui, Madame.Elle essayait d?abaisser à la main mon pénis en position de repos, et naturellement, il retournait toujours vers le haut dès qu?elle le lâchait, encore plus ferme qu?auparavant. Elle a constaté que de la rosée du désir s?écoulait, ce qui semblait la satisfaire : elle a hoché la tête et les regards des deux dames se sont croisés. ? Voyons, mon garçon, tu dois avoir l?habitude de te caresser le zizi, n?est-ce pas ?? Plusieurs fois par jour, sous ma direction, a répondu ma mère à ma place.? C?est bien. Mets-toi à genoux devant nous, et fais-le, je te prie. Elle a pris en mains une longue règle de métal qui m?inquiétait un peu. Je me suis astiqué fermement. Mais, juste avant de venir, elle m?a tapé sur les testicules avec sa règle. ? Ça suffit ! Maintenant, suis-moi. Je n?ai pas été autorisé à remettre mes vêtements, mais pas contre, j?ai pu emmener Charlotte. Je me suis retrouvé dans une cellule avec un autre garçon, nu également. Il était en érection et son sexe était de très grande taille. ? Salut ! Moi, c?est Pierre, et toi ? ? Stéphane. ? Bienvenue en enfer ! C?est la première fois que tu viens ici, n?est-ce-pas ? ? Oui. Et toi ? ? Je viens ici chaque semaine. En fait, j?adore ça. Son érection s?est encore renforcée au moment où il a dit cela. La taille de son sexe était impressionnante, et sa musculature aussi : un véritable étalon. ? Tu adores quoi ? ? Subir des tortures sexuelles de la part de femmes qui se caressent pendant que je souffre. Tu vas voir : tu vas dérouiller comme tu n?imaginais pas que la douleur soit possible. C?est juste l?enfer. ? Si je n?acceptais pas de subir ça, elles le feraient à Charlotte, et je ne veux pas, ai-je en serrant ma compagne dans les bras le plus fort que je pouvais. ? Qui ça, ta peluche ? Il a haussé les épaules. Un ange est passé. Puis il a dû remarquer que Charlotte avait un vagin. ? Tu me la prêtes, a-t-il repris ? Si tu acceptes que je tire un coup avec elle, je proposerai à nos maîtresses de subir le double de torture à ta place. ? Jamais ! Charlotte est à moi, et je suis prêt à crever pour elle. ? Tu regretteras. Tu n?imagines même pas ce dont elles sont capables. Nos deux maîtresses, vêtues de blouses blanches comme des médecins, et accompagnées de ma mère et d?une dame que je ne connaissais pas, mais qui devait être la maman de Pierre, sont arrivées pour nous sortir de notre cellule. Nous avons marché dans des couloirs sombres et glaciaux, où tout était glauque et effrayant. Enfin, nous sommes arrivés au donjon, derrière une lourde porte de fer qui fermait à clé ? l?une de nos geôlières a refermé derrière nous. Impossible de s?enfuir. Le fauteuil de torture se trouvait au centre de la pièce. Des chaises étaient positionnées en face. Maman et moi, ainsi que la mère de Pierre, avons été priés de nous assoir, tandis que Pierre s?est installé dans le dispositif qui ressemblait à un siège de gynécologue, avec des étriers pour les pieds, ce qui maintenait les jambes largement écartées et le bassin légèrement renversé, de sorte que les organes génitaux ainsi que l?anus du soumis étaient facilement accessibles. Pierre ne s?est pas fait prier pour se mettre en position, et se laisser attacher les membres et les épaules. Il était complètement immobilisé. Inquiet, je regardais tout cela en serrant Charlotte contre moi. Je savais que mon tour allait bientôt venir. Ce qu?il a subi était incroyablement cruel. Elles lui ont enfoncé un plug dans l?anus, puis une tige métallique dans l?urètre, et le tout était relié à des fils électriques qui menaient à un générateur. Quand elles ont branché le courant, il a hurlé. Je blêmissais. Mais ce n?était pas fini. Elles ont enfoncé de petites aiguilles chirurgicales dans ses testicules, lentement, une à une, en lui montrant bien les petites pointes de métal stérilisé avant de les planter dans ses boules. Le pauvre n?avait plus de voix pour s?égosiller. Les quatre femmes se masturbaient pendant ce temps. Ma mère avait son vibromasseur, et celle de Pierre, le sien. Enfin, elles ont enlevé tout leur matériel et il s?est levé, un peu étourdi. Incroyablement, il avait l?air content. ? Bravo, Pierre, lui a dit sa maman. Tu as été très courageux. ? C?est à toi, m?a dit l?une des bourreaux. Mais tu peux renoncer, tu sais. Il faudra seulement renoncer aussi à l?argent que nous avons donné à ta maman. ? Allons, sois courageux, m?a dit Maman. Je resterai près de toi. Il n?y a pas que l?argent : tu n?imagines pas à quel point je suis contente d?être ici avec toi, parce que j?éprouve toujours de merveilleux orgasmes à voir quelqu?un souffrir. Surtout toi, mon chéri. J?ai besoin de ça. Merci pour tout ce que tu vas endurer pour moi. L?une des maîtresses du lieu m?a ausculté. Elle a hoché la tête avec satisfaction. ? Il est en parfaite forme, a-t-elle dit. Nous allons pouvoir pousser le courant au maximum, et enfoncer toute une boite d?aiguilles. ? Cela promet un fabuleux moment de douleur érotique, a dit sa complice. Si cela le rassure, il peut garder son ours en peluche pendant que nous le torturons, a dit l?autre tortionnaire. Je me suis installé dans le fauteuil, et laissé docilement attacher, sauf un bras pour tenir Charlotte. ? Tu sais, lui ai-je dit à l?oreille, je t?aime et je ne te quitterai jamais. Avec toi, j?irais partout, même en enfer. ? Surtout en enfer, m?a répondu Charlotte. Moi aussi, je t?aime.
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